Sommes Nous Conscients Ou Avons Nous à être Conscients

Avant-propos 3 Avertissement 3 Première partie. De la nature du psychisme 4 Chapitre I. L'appareil psychique 5 Chapitre II. Théorie des pulsions 9 Chapitre III. Le développement de la fonction sexuelle 14 Chapitre IV. Les qualités psychiques 20 Chapitre V. À propos de l'interprétation du rêve 30 Deuxième partie. Le travail pratique 38 Chapitre VI. De la technique psychanalytique 39 Chapitre VII. Un exemple de travail psychanalytique 52 Troisième partie. Les progrès théoriques 66 Chapitre VIII. L'appareil

Sujet : Sommes-nous responsables de nos désirs ? Chaque être humain recherche en permanence un objet qui serait source de sa satisfaction même la plus petite : le désir, qui n’est pas maîtrisable mais dont la fin est jugée bonne par l’homme. Il est certain que le désir fait partie de ce que nous sommes mais peut-on dire que nous sommes la cause de nos désirs ou que nous devrions les assumer ? En définitif, sommes-nous responsables de nos désirs ? C’est sur ce problème que nous ferons notre réflexion

Etre conscient de soi est-ce être maitre de soi ? Avoir conscience de soi : c'est certes avoir conscience que  l'on existe, mais il me semble aussi avoir conscience de ses attitudes, du regard que les autres portent sur nous, c'est-à-dire de l'image que l'on véhicule. Maîtriser son image est-ce se maîtriser soi-même ? La tension de ce sujet est palpable : d'un côté la conscience de soi nous invite à penser que l'on sait entièrement ce que l'on est -puisqu'on en a  conscience- mais en face,

de sa vie, a au moins une fois l’impression d’être incompris des autres. Mais il a le sentiment de se connaître, et de savoir qui il est puisqu’il est conscient de lui-même. Pourtant il est possible que je fasse erreur sur ce que je pense être. C’est pour cela qu’on se demande si je suis le mieux placé pour savoir qui je suis, c’est-à-dire si je suis vraiment ce que je suis d’après ma conscience Pourtant, comment la connaissance du sujet est-elle possible étant donné que nous sommes en constante

suivant, un lien d'affection qui unit une personne à une autre. On voit l’amitié partout au monde, à l’école, au travail et même à la maison. Mais l’amitié est-elle important à la vie? Ma réponse par rapport à cette question est oui. Premièrement, avoir des amis qui t’aime te donne une sensation que tu es important. Sans amis tu te sens que personne ne t’aime et tu développes beaucoup de tristesse. En effet, j’ai déjà eu la sensation de ne pas être aimé. Je n’étais pas la même personne, je ne sortais

mais caractérise le sujet. Ca va être une interrogation sur le sujet lui-même. Au quotidien : * Domaine médical : être conscient/être inconscient = la vigilance= être éveillé * Conscience de soi = conscience de ses pensées = « J’en ai conscience » * Conscience morale : « avoir la conscience tranquille » RABELAIS : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » : faculté de faire un retour sur ses actes et de les juger DESCARTES : « Rien ne peut être en moi dont je n’ai conscience »

Dans notre société, de nombreux slogans nous poussent à être nous-mêmes. Ces leitmotivs nous demandent d’être spontanés, authentiques, naturels, donc de ne pas jouer de rôles d’interprétation. Mais qui sommes-nous sinon nous-mêmes ? L’expression « être soi même » n’est elle pas un pléonasme ? car nous ne pouvons être que nous-mêmes. Nul ne peut échapper à la présence de soi. Quand nous disons ‘je », nous faisons systématiquement la différence entre ce qui est « moi » et ce qui ne l’est pas

N’importe quel faits divers tragique peut servir de support à notre interrogation au sujet du caractère équivoque de la conscience basée sur les deux critères : intention et résultat. Le problème concerne l’attribution de la responsabilité. Mais de quelle responsabilité parle-t-on morale ou juridique ? Est-ce que l’inconscient en nous pourrait offrir une excuse à nos actions ? Dans ce cas peut-on souhaiter devenir ignorant de toutes choses, totalement inconscient afin de se décharger de toute responsabilité

citation : Etre libre implique-t-il d’être responsable ? La notion de liberté signifie l'absence de contraintes, la possibilité d’accomplir nos désirs personnels sans rencontrer d'interdiction. Cette liberté est imposée à chaque homme, il ne peut la refuser. Mais est-ce que la responsabilité est-elle également imposée à l’homme ? La liberté et la responsabilité sont-elles liées ? Tout d’abord, la liberté est quelque chose d’obligatoire dans la vie, nous sommes tous condamnés à la liberté

correspondant à la guerre franco-prussiènne et au début de la 2ème guerre mondiale, ce qui a influencé ses intérêts pour l'agressivité et la violence. Etant juif, Freud a rencontré des problèmes d'antisémitisme et ses livres ont plusieurs fois été brûlé sur la place publique. Jusqu'à lui, les philosophes étaient persuadés qu'il n'existait qu'une seule unité de conscience: «Je pense donc je suis». Ce qui veut dire que lorsqu'une personne pense à quelque-chose, elle en est totalement consciente. Mais pour