Sommes Nous Libres De Penser Ce Que Nous Voulons

grâce au personnage Candide. I. Voltaire se sert d’une histoire Après avoir vu la description du nègre et de Candide, nous étudierons le discours du nègre. A. Récit description de candide / esclave Candide et son valet Cacambo, hommes libres, rencontrent un nègre, immobile, étendu par terre. La présentation du nègre est faite sans apitoiement. D'abord à travers des détails vestimentaires " la moitié de son habit", "pauvre Homme", "caleçon de toile"(qui était à l’origine fait pour emballer

La liberté est-elle un fardeau ? « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. »: Voici comment commence la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen du 26 août 1789. En effet, cet article est le fondement de nos sociétés actuelles. Mais que ce fut laborieux ! Il aura fallu des siècles de protestations, de batailles et des révolutions pour rendre se droit acquis : pendant longtemps les sociétés ont

religion catholique. Non ! Nous avons déjà eu l'occasion de le dire dans cette émission il y a quelques années, mais il n'est peut-être pas mauvais de le répéter : la Franc-Maçonnerie n'est pas une religion. Nous ne sommes pas, en tant que Francs-Maçons, les adeptes d'une religion. Nous ne le sommes pas parce que dans nos Loges nous ne célébrons aucun culte, nous n'adorons aucun Dieu, et surtout, surtout, nous n'avons aucun dogme. Peut-on concevoir une religion sans dogme ? Il est vrai que toute la symbolique

certains aient des droits que d’autres n’ont pas ? Par la question « pourquoi », ce que nous demandons, c’est une explication d’un état de fait. Nous ne voulons pas seulement savoir quelle est l’origine de cette inégalité ; nous ne serons pas satisfaits si on nous répond que Cendrillon doit faire le ménage parce qu’elle a été recueillie. Ce que nous voulons connaître, c’est le fondement de cette inégalité, la raison qui fait que cette inégalité est justifiée. Nous considérerons dont une inégalité comme

nous savons de nous-même c’est que nous somme libres- la morale c’est se penser libre ; la conscience de soi est première ; on ne peut rien apprendre sur le monde si on ne s’apprend pas soi-même- exemples : * rêve / éveil : 0 cohérence, 0 logique, on est « spectateur » ; on n’arrive plus à s’orienter dans l’espace et dans le temps * perception : il n’y a jamais 2 choses / expériences pareilles ; la conscience unifie la réalité- être objectif c’est penser qu’il y a des objets dans le monde, c’est être

Si chacun de nous avouait son désir le plus secret, celui qui inspire tous ses projets et tous ses actes, il dirait : « Je veux être loué. » (…). Personne n'est sûr de ce qu'il est, ni de ce qu'il fait. Si imbus que nous soyons de nos mérites, nous sommes rongés par l'inquiétude et ne demandons, pour la surmonter, qu'à être trompés, qu'à recevoir de l'approbation de n'importe où et de n'importe qui. L'observateur décèle une nuance suppliante dans le regard de quiconque a terminé une entreprise ou une

fabriquer), il fait surgir le Tout (et non de simples fragments) instantané, intemporel, direct, sans l'intermédiaire d'aucun démiurge. S'il est libre, c'est en tant qu'il crée par raison et sagesse. Liberté métaphysique : démontrer, c'est penser par soi-même. Libre signifie doué de raison, capable par nature de connaître la vérité. (Choix de la vérité ou de la raison) ⇒ obligation morale. Selon Sartre, Descartes, en homme de son siècle, met en Dieu la liberté créatrice que lui voit en l'homme

suivre, une chose à observer, car la vie moderne a fait éclater le silence et démolir l’espace. Nous avons créé une société dans laquelle nous sommes sans cesse actifs, nous ne savons pas nous reposer, nous détendre, ni même simplement être. Notre vie est bousculée, notre cerveau brillant s’ingénie à trouver des moyens de nous faciliter la vie et pourtant nous sommes toujours épuisés. Des gadgets sont censés nous faire gagner du temps, nous permettent de tout faire en appuyant simplement sur un bouton

l’esclave de soi même : un paradoxe parfait  a. L’esclavage : une soumission à autrui ? Comme nous l’avons posé en introduction, il n’y a d’esclavage que relativement à autrui. En effet, l’esclavage est la situation d’un être qui ne peut agir ni penser à sa convenance, mais dont l’action et la pensée émanent directement de la volonté d’un autre être, qui à tout pouvoir sur lui. Dans une parabole célèbre (la « parabole du maître et de l’esclave ») Hegel évoque la situation de deux hommes, qui font

(facticité = fait d’être de telle manière). Mais c’est l’homme qui donne un sens à la situation. Ainsi, une situation n’est pas insupportable en soi, elle le devient parce qu’un projet de révolte lui a donné ce sens. “Jamais nous n’avons été aussi libres que sous l’Occupation“. Une situation tragique rend d’autant plus urgente l’action. Le monde n’est jamais que le miroir de ma liberté. La liberté est vue par Sartre comme un pouvoir de néantisation, comme un dépassement du donné (l’homme est un “pour-soi”)