Sommes Nous Libres Ou Le Devenons Nous

davantage. Je ne partage pas cette opinion, vous m’en voyez désolé. Mais il vous faudra accepter le fait que la science joue un rôle essentiel dans l’humanité, comme je vais tenter de vous l’expliquer. Je veux vous dire dans un premier temps que nous sommes bien d’accord sur le fait que la science répond à un besoin. Mais il me semble pour ma part que, bien loin du besoin de combler seulement l’oisiveté, la culture scientifique et la connaissance qui en découle répond plutôt à un besoin essentiel de

| |Nous l’avons compris : la conscience n’est pas une donnée ; c’est une tâche, la nôtre dans le monde. Elle conduit à la conquête de la | |liberté grâce à laquelle nous devenons ce que nous sommes, sans lâcheté ni mauvaise foi. L’existentialisme qui affirme que « nous sommes | |condamnés à être libres » (Sartre) est un hymne à la transcendance : l’homme est obligé de se dépasser, de réagir à une situation | |contraignante ; il doit orienter son avenir, s’élancer vers le

que l’on veut. ( loi du plus fort . Est libre celui qui est le plus fort. Esclavage de tous les autres. Ce n’est pas tant notre volonté que nous suivons mais plutôt nos penchants, nos pulsions. Si on laisse libre cours à nos pulsions, nous en devenons esclaves. La liberté suppose la maîtrise de soi. Laisser libre cours à ses pulsions, c’est être déterminé par elles. «  Suivre l’impulsion du seul appétit, c’est devenir esclave de ses penchants ». ROUSSEAU I. LE DETERMINISME 1) Notion

revenir sur ce qui nous constitue, et donc sur les événements de notre passé. A partir de notre conscience réfléchie, nous pouvons donc revenir sur ce que nous avons fait et en prendre connaissance. De ce fait, c’est parce que nous sommes des êtres conscients que nous sommes aussi des êtres responsables, susceptibles d’être jugés moralement. En outre, nous ne pouvons pas juger d’un individu qui n’a pas de conscience puisque cet individu serait incapable de savoir qui il est, ce qu’il a fait et ce

dire que les dirigeant des régimes totalitaires du début XXème siècles, Joseph Staline, Adolf Hitler et Benito Mussolini seraient donc les hommes les plus libres de cette époque, ils avaient soumis tous leurs peuples à eux, par la force et la peur de ses peuples. Les rois de France de Clovis à la Ier République seraient aussi des hommes libres. Ces hommes ne rencontrèrent aucun obstacle a leur satisfaction de leurs désirs. Cette vison de la liberté est plutôt effrayante, ne serait-elle pas synonyme

moins celle de la perdition. Tiraillée comme elle est, entre l’irresponsabilité et la peur, il lui manque une direction morale. N’allons donc pas plus en avant, même si le monde autour de nous, s’obstine. Ayons l’honnêteté de reconnaître que nous nous sommes trompés, même s’il en coûte à notre orgueil. Ne persévérons pas, faisons demi-tour comme le fils prodigue de la parabole (Luc 15, verset 18) : c’est ce qui s’appelle « se convertir » Le monde est comme est rempli de boue au contact de laquelle nous

et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain, quoique fûmes occis Par justice. Toutefois, vous savez Que tous hommes n'ont pas bon sens rassis. Excusez-nous, puisque sommes transis, Envers le fils de la Vierge Marie, Que sa grâce ne soit pour nous tarie, Nous préservant de l'infernale foudre. Nous sommes morts, âme ne nous harie, Mais

quant aux vertus de l’évolution des individus libres de se définir en toutes circonstances. Le thème de la liquidité est utilisé comme métaphore, il essaye de montrer théoriquement comment d’un corps solide « notre société » passe à celui de liquide. Quand il évoque une société solide cela sous-entend une institution stable ou chaque être/individu sait qu’elles vont durer, être pérennes dans le temps tant dis que cette société liquide que nous devenons contre ou avec notre accord démontre que les

seule face à la nature. Elle est donc SUBSTANCE, c'est-à-dire la seule cause de ses actes (cause première). Elle est donc libre et responsable d’elle-même. Thèse 2 : La conscience est la source de nos préjugés, elle n’en finit pas de douter. Nous sommes déterminés par nos habitudes, par nos traditions, par notre culture et par nos origines sociales. La liberté n’est donc elle-même qu’une illusion. Thèse 3 : La conscience est fondamentalement néantisation ou négation de la nature et de toute forme

n’acceptaient pas un pacte de soumission à une autorité supérieure capable de leur imposer une loi. => Le Contrat Social de JJ. Rousseau fait la synthèse de ces 2 aspects : il imagine la création de la société par l’association volontaire d’êtres humains libres et égaux, et il institue le pouvoir politique légitime par la soumission des intérêts particuliers à l’intérêt général. B. Les théories du lien social. 1. Emile DURKHEIM. Le contrat social est une fiction. La société préexiste à l’existence de chaque