Sommes Nous Maitres De Nos Désirs

un manque qu’il faut satisfaire, le corps « réclame », si on ne le satisfait il y a des carences (L’absence ou l’apport insuffisant d’une ou de plusieurs substances nécessaires à la croissance et à l’équilibre d’un organisme), voir la mort. Nous sommes contraints de satisfaire nos besoins. Le besoin est objectif, c’est à dire qu’un objet correspond à un besoin. (J’ai faim, n’importe quel aliment comblera ce besoin). De plus, les besoins sont quantifiables (Pour la nourriture par exemple, un homme

[Accroche :] « Vos pensées sont des citations, vos émotions sont des imitations, vos actions sont des caricatures. », disait Prajnanpad à ses disciples recherchant la connaissance de soi. On comprend que ce que nous sommes est alors un reflet d’autrui ou une réaction à autrui. Nous sommes alors déterminés par notre relation aux autres. Nous ne nous connaissons pas nous-mêmes. [Citation du sujet :] Alors Autrui est-il un obstacle à la connaissance de soi ? [Analyse problématique :] La connaissance

Sommes-nous toujours libre ou avons-nous à le devenir ? Introduction Ce sujet juxtapose deux propositions qui peuvent soit s’opposer soit ce compléter. D’une part, pour la première hypothèse, l’homme par nature ou par essence. Pour reprendre l’expression de Jean Paul Sartre : « l’homme serait condamné à être libre ». Cela veut dire que même la présence de l’adversité, voir d’obstacles, ne font en réalité que solliciter, voir même accroître, l’exercice de ma volonté. L’esclave lui-même ne fait-il

il peut légitimement apparaître sous le visage de la servitude (troisième partie)?     I) Le travail comme servitude   Un état de servitude est un état de soumission forcée à une force extérieure. Ainsi l’esclave est-il soumis par la force du maître, étant forcé de travailler pour ce dernier, sous le risque de perdre sa vie. A quoi s’oppose l’état de celui qui n’est nullement contraint. Un tel état définit, en un premier sens, la liberté négativement – ne pas être contraint. Positivement, la

séries générales et technologiques auxquels ils se réfèrent. Ces notions ont été classées par ordre alphabétique. Pour chaque notion, nous avons rappelé au(x) programme(s) de quelle(s) série(s) elle se rapporte. Pour des raisons pratiques, nous nous sommes restreints à la liste des notions des programmes actuellement en vigueur, datant de la rentrée de 2003 pour les séries générales et celle de 2006 pour les séries technologiques. Certaines notions des programmes antérieurs ayant disparu (par exemple

l’inconscient est le lieu d’expression pour nos désirs et nos pulsions. Pour Freud, l’inconscient est une force psychique ayant ses propres lois et interférant avec la conscience. Le moi désigne ici la personne, le sujet Ainsi, notre inconscience peut-il modifier notre façon d’être ? Est-ce mon inconscient qui fait de moi ce que je suis ? Pour répondre à cette problématique, nous verrons tout d’abord que oui, notre inconscient fait de nos ce que nous sommes consciemment puis ensuite nous étudierons ensuite

notion de «désir» et nous expliquerons dans un même temps, les raisons pour lesquelles il ne peut coïncider avec la réalité. Puis, dans un second temps, nous verrons qu’il peut exister deux types de désirs; ceux qui sont possibles et ceux qui ne le sont pas. Et nous terminerons en montrant que même nos désirs les plus fous dérivent pourtant de la réalité. Le désir a souvent été considéré par la philosophie classique comme un problème, sans doute parce que sa nature est contradictoire, ou en tout cas

humain est conscient de lui-même. On peut même dire que c'est à travers ses désirs que l'homme prend conscience de son existence. Le désir nous donne l'idée du caractère temporel : on envisage une satisfaction dans le futur. => Le fait que le désir soit accompagné de conscience implique-t-il que le désir soit soumis à la conscience ? => Quel est le rapport du désir à la volonté ? => Est-il possible de vouloir contre nos désirs, ou bien la volonté n'est-elle que le jouet de nos pulsions ? Exister

ou "censure de la conscience". La liberté est un mot intense et fort à la fois; il désigne une certaine puissance car il signifie que le sujet en question ne peut être contraint ou ne peut être soumis à agir ou penser comme bon lui semble, il est maître des ses pensées et de ses agissements. Or en philosophie, la liberté prend un autre sens; en effet, l'Homme peut assouvir ses envies grâce à elle mais d'après Kant, la liberté a ses propres limites, on ne peut être libre que par une certaine responsabilité

nous de ce qui ne l'est pas. Nous pouvons donc penser qu'il est difficile, voire impossible de ne pas être soi-même, que nous n'avons pas le choix d’être autre chose que ce que nous sommes. Pourtant, il nous ait tous déjà arrivé de dire "je n'étais plus moi-même", ce qui signifie que n’étions plus ce que nous sommes réellement à ce moment-là, et nous remettons alors en cause notre identité. Mais dans quelles mesures pouvons-nous ne pas être nous-même et quelles raisons nous poussent à ne plus l’être