Sommes Nous Plus Ou Moins Libres

Philosophie. Choisit-on d'être celui que l'on est ? Les choix que nous sommes tous amenés à faire sont chacun plus ou moins compliqué, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'être celui que nous sommes, la réponse est moins évidente. En effet, on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". Au contraire, on peut être convaincu que la conscience ne permet pas une telle affirmation

Pouvons-nous savoir avec certitude que nous sommes libres ? Le sujet nous amène à nous interroger sur l’existence de la liberté. En effet, nous nous considérons souvent comme relativement libres et, dans une certaine mesure, maîtres de nos actions et de nos choix. Le monde nous impose tout de même des contraintes. Il y a des contraintes naturelles : nous avons un corps et des besoins, le temps s’écoule sans que nous puissions le contrôler et la mort nous attend. Nous avons aussi des obligations

il semblerait donc que la liberté ne soit qu'illusion, c'est-à-dire tromperie et fausse croyance. Ces illusions qui aveuglent l'homme, ne peuvent l'empêcher de croire à sa liberté. De plus la polysémie même de la liberté multiplie les difficultés pour, si ce n'est la définir, ressentir au moins que nous sommes libres. Il faut pouvoir différencier liberté politique et individuelle ou bien savoir si l'on parle de la Liberté ou des libertés. Il serait donc arbitraire d'estimer que tous les hommes sont

passions sont un obstacle à notre liberté, car ils dominent notre volonté. On peut devenir des esclaves de nos passions. Condition social et économique limite notre liberté. Mais aussi les conditions politiques. Selon le régime politique on a plus ou moins de la liberté. Une autolimitation ou une limitation par la loi. Les sociétés imposent volontairement des limites à notre liberté. La nature nous impose une limite. Quand on veut transformer la nature, cela nécessite un travail humain. Les autres

l'existence précède l'essence'' et Freud a inventé '' la cure par la parole''. Ceci- dit, sommes-nous responsables de nos actes ? Selon Sartre nous sommes responsable puisqu'on est condamné à être libre et parce que nous choisissons le sens qu'on donne à toutes choses. Selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos actes puisqu'on est pas maître de soi-même sauf si l'on pratique la psychanalyse. Selon moi, nous sommes responsables de nos actes, car c'est à nos de prévoir l'imprévu. La responsabilité

nouveau y replonger tête baissée et les yeux fermés ne laissent que peu de place à l’alignement de ces pensées. Lorsque de plus s’enchaînent et se déchaînent d’autres ardeurs encore plus vitales, c’en est fini du temps laissé au travail de la raison qui peut apporter la sagesse nécessaire à la conduite d’une tel questionnement. Tout était autrement plus urgent et semblait plus important. A l’heure où toutes ces importances et ces urgences semblent s’être éloignées de moi, il reste un vide inquiétant

essayons d’être en accord avec nos désirs. Robert Misrahi : « Résistances », « obstacles »… La psychanalyse part du principe que nous sommes malades ! Et si nous commencions par considérer un individu qui aille bien ? Un individu qui puisse se dire : « Si je ne veux pas le faire, je peux ne pas le faire » ? Je pense que nous sommes tout-puissants. Nous sommes totalement libres de choisir notre vie et d’accéder par là au bonheur. Si nous pouvons choisir, alors pourquoi faisons-nous si souvent notre malheur

âme plus libre et moins soumise à la supériorité. En étant éduqué, le peuple aurait des idées plus critiques et plus réfléchies. Nous serions donc, plus libre de s'exprimer et de s'imposer face à la vie politique et sociale. Alors l'éducation philosophique obligatoire contribuerait énormément au bien commun de notre société. Le discours rationnel cohérant critique défini bien la philosophie. De ce fait, on peut constater que notre société est très peu développé. Les gens ne sont pas libres de s'exprimer

sont chacun plus ou moins ardus, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'être celui que nous sommes, la réponse est d'autant moins évidente. En effet, l'onpourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario, l'on peut être convaincu que la conscience, seule, ne permet pas une telleaffirmation, voir même que ce choix est inenvisageable car finalement, peut -être ne choisissons nous pas qui nous sommes et qui nous

" Bref, nous sommes libres quand nos actes émanent de notre personnalité entière, quand ils l’expriment, quand ils ont avec elle cette indéfinissable ressemblance qu’on trouve parfois entre l’oeuvre et l’artiste. En vain on allèguera que nous cédons alors à l’influence toute-puissante de notre caractère. Notre caractère, c’est encore nous ; et parce qu’on s’est plu à scinder la personne en deux parties pour considérer tour à tour, par un effort d’abstraction, le moi qui sent ou pense et le moi qui