Sommes Nous Responsable De Nos Désirs

refuser les contraintes que résiderait la liberté, pouvoir d’ailleurs équivalent au pouvoir qu’il faut acquérir selon Hobbes dans le chapitre XI du Léviathan pour obtenir ce qu’on désire. Et pourtant, il n’en est rien. En effet, suivre simplement ses désirs, c’est se contenter de se laisser guider par ce qu’on n’a pas choisi. Imaginons un homme dont le seul désir serait de regarder des émissions dites de « télé réalité » et qui aurait fait un héritage le lui permettant. Qui dirait qu’il est libre ? Qui

Beigbeder publié en 2000, est l’autobiographie d’un homme travaillant en tant que publicitaire. Enfin « les choses », un roman de Georges Perec paru en 1965, fait l’état d’un couple plein d’envies matérialiste dans le Paris des années 1960. Comment sommes-nous influencés à toujours consommer plus ? Nous allons répondre à cette question en expliquant la place importante de la publicité dans notre consommation ainsi que dans nos rêves et nos envies. La publicité fait partie intégrante de notre vie

éduqués à être de bonnes personnes, et les bonnes personnes, ne peuvent que faire le Bien, n'ont pas le droit de se défendre, ne peuvent pas contester. Donc il faut être faible pour obéir aux lois de divines. Il faut faire abnégation de ses besoins, désirs, de sa propre personne pour le bien de notre âme pour le bien des autres. Mais si le faible pardonne et aide les autres et est souvent celui, qui se fait abuser soit par les autres, soit par les prêtres, vaut-t-il mieux être faible et ou forts??

    L’homme s’est toujours considéré comme un être parfaitement conscient, responsable de la totalité de ses actes. Mais Freud, plus tard, contredit cette pensée en prouvant l’existence de l’inconscient chez l’homme. Cet inconscient serait une partie du psychisme humain dans laquelle se retrouvent les désirs, les sentiments, les souhaits refoulés par l’homme. Cependant, un tel aspect chez la personne humaine n’influence-t-il pas sa liberté ? Si la présence de l’inconscient a bien un impact sur la

incapacité d’agissement face aux différentes embarrassantes situations dans lesquelles on est ou pourrait se trouver. Cependant d’où nait véritablement cette peur? Qu’est-ce qui est responsable de notre état de frayeur? Quel est l’agent pathogène de notre trouble? Ne nous rendons pas difficile la tache. Tous ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons et façonnons nos êtres. C’est parce que je pense que j’ai peur. C’est le résultat de l’intériorisation du danger, de l’échec

positivement apparentée avec l’infini. Roger Caillois, P43 recueil Audencia. 1913/1978, L’incertitude qui vient des rêves, 1956. Remarque : Nos rêves, par le souvenir que nous en gardons, nous fascinent. Ne seraient-ils pas l’expression de nos désirs inconscients ? En réalité, on peut être piégé par un fait de langage : le « rêve » en est venu, subrepticement, à signifier « désir irréalisable ». C’est une illusion : oblitération (oblitérer : effacer peu à peu) de la différence radicale entre le

situations morales. "La libertée de notre volonté se connait sans preuves par la seule expereience que nous en avons." Le libre arbitre, doit etre présupposé par les exigeances de la morale. Pour KANT la morale ne fait sens, que si nous sommes responsables. C'est à dire si nous en somme les auteurs. B) SPINOZA ET SA CRITIQUE DU LIBRE ARBITRE. Les H pensent etre libres par la conscience, par la representation qu'ils se font d'eux meme. Peut on considerer que cette conscience de soi soit objective

pensée qui considère que le bonheur réside dans la maximisation des plaisirs. Le bonheur n’étant pas un état stable, un état de béatitude comblée mais bien un sentiment de plaisir dont l’intensité dépend de la capacité de satisfaire un maximum de désirs. Le culte hédoniste de la jouissance s’oppose donc radicalement à l’austérité de la démarche volontaire et rationnelle de l’eudémonisme. D’un côté, nous avons le culte du libre abandon à la jouissance, de l’autre, celui de la maîtrise rationnelle

prisonnière ni sous la dépendance de quelqu'un. On peut dire aussi que la liberté donne le droit à chacun d'agir librement sans encourir de mesures arbitraires malgré les lois de nos sociétés. Le « bonheur » est un état de satisfaction de complétion des désirs, caractérisé par sa plénitude et sa stabilité. Distinct du plaisir, très éphémère, et de la joie, plus dynamique que le bonheur.  Pour être heureux, il faut avoir la possibilité de rechercher le bonheur, c'est-à-dire le pouvoir vivre des instants

de même que les éoliennes - dont le nom vient du dieu grec Éole, le dieu du vent - transforment la force du vent en énergie électrique. Grâce à ces inventions, nous sommes en quelque sorte devenus des Éoles, des dieux du vent, car nous maîtrisons celui-ci et utilisons sa force à notre avantage. Grâce à la technique nous sommes devenus supérieurs aux éléments naturels, ce qui a pour conséquence de produire chez les êtres humains un sentiment de fierté : « Les hommes sont fiers de ces conquêtes