Son Altesse Royale

Mémoires ait été facilitée par le fait qu’ils contiennent une description de Jean-Baptiste Cant-Hanet, dit Cléry[6], frère aîné de l’auteur, valet de chambre de Louis XVI. D’ailleurs, le sous-titre de l’ouvrage est « ancien valet de chambre de Madame Royale, aujourd’hui Dauphine, et frère de Cléry, dernier valet de chambre de Louis XVI » puis après une description des principaux titres qu’il a acquis, le mémorialiste ajoute « avec portraits des deux frères ». Ces précisions feront certainement naître

MADAME, Ce n’est pas sans sujet que je mets votre illustre nom à la tête de cet ouvrage. Et de quel autre nom pourrais-je éblouir les yeux de mes lecteurs, que de celui dont mes spectateurs ont été si heureusement éblouis ? On savait que VOTRE ALTESSE ROYALE avait daigné prendre soin de la conduite de ma tragédie ; on savait que vous m’aviez prêté quelques-unes de vos lumières pour y ajouter de nouveaux ornements ; on savait enfin que vous l’aviez honorée de quelques larmes dès la première lecture

MADAME, Ce n'est pas sans sujet que je mets votre illustre nom à la tête de cet ouvrage. Et de quel autre nom pourrais−je éblouir les yeux de mes lecteurs, que de celui dont mes spectateurs ont été si heureusement éblouis ? On savait que VOTRE ALTESSE ROYALE avait daigné prendre soin de la conduite de ma tragédie ; on savait que vous m'aviez prêté quelques−unes de vos lumières pour y ajouter de nouveaux ornements ; on savait enfin que vous l'aviez honorée de quelques larmes dès la première lecture

MADAME, Ce n’est pas sans sujet que je mets votre illustre nom à la tête de cet ouvrage. Et de quel autre nom pourrais-je éblouir les yeux de mes lecteurs, que de celui dont mes spectateurs ont été si heureusement éblouis ? On savait que VOTRE ALTESSE ROYALE avait daigné prendre soin de la conduite de ma tragédie ; on savait que vous m’aviez prêté quelques-unes de vos lumières pour y ajouter de nouveaux ornements ; on savait enfin que vous l’aviez honorée de quelques larmes dès la première lecture

GRETE VENUS LA FILLE DE VAISSELLE VIOLANTE LES ONDINES LES DAMES DE LA COUR LES SERVANTES LE CHEVALIER HANS LE CHAMBELLAN AUGUSTE LE ROI DES ONDINS LE ROI LE PREMIER JUGE MATHO LE SECOND JUGE LE POETE LE BOURREAU LE SURINTENDANT DES THÉÂTRES ROYAUX LE PECHEUR ULRICH BERTRAM LE GARDEUR DE PORCS LE MONTREUR DE PHOQUES LES CHEVALIERS Domaine public – Texte retraité par Libre Théâtre 1Acte I Une cabane de pêcheurs. Orage au-dehors. Scène première LE VIEIL AUGUSTE, LA VIEILLE EUGÉNIE PUIS DES

pourquoi, au milieu de tous ces doutes et de toutes ces incertitudes, je me suis arrêté à un parti qui va bien vous surprendre : demain, sans plus tarder, je veux que Sigismond, tout en ignorant qu’il est mon fils et votre roi, s’asseye sur mon trône royal, pour vous gouverner en mon lieu et place, et que tous vous acceptiez son gouvernement et lui juriez obéissance. Par là j’obtiens trois avantages qui correspondent aux trois difficultés que j’ai dites. D’abord, c’est que si l’habitant des montagnes

Les embellissements urbains Les places royales à Paris et en province, Place Royale de Bordeaux (1739-1749) Place Louis XV à Paris (place de la concorde) Place royale de Nancy d’Emmanuel Hervé (1755-1775) ! Bordeaux création d’une place et enlève les remparts ce qui constitue une promenade la ville, façade de la ville qui s’offre à la rivière. Jacques V et A.J Gabriel sont les architectes qui vont mettre en place ces places royales. Ces grandes place royales sont dans des endroits majeurs de la

Belgique, des Pays-Bas et du Luxembourg. Le traité de Rome 25 mars 1957. « SA MAJESTÉ LE ROI DES BELGES, LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D'ALLEMAGNE, LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ITALIENNE, SON ALTESSE ROYALE LA GRANDE-DUCHESSE DE LUXEMBOURG, SA MAJESTÉ LA REINE DES PAYS-BAS, DÉTERMINÉS à établir les fondements d'une union sans cesse plus étroite entre les peuples européens, DÉCIDÉS à assurer par une action commune le progrès économique et social de

en cette salle le chevalier de Wittenstein qui s'est enfin décidé, après trois mois de lune de miel, à présenter sa jeune épouse à la Cour. Sa Hautesse entend qu'un divertissement clôture la solennité... Vous, Monsieur le surintendant des théâtres royaux, que nous proposez-vous? LE SURINTENDANT Salammbô! LE CHAMBELLAN C'est triste, Salammbô! Et vous nous l'avez déjà donné dimanche, pour le bout de l'an de la margrave. LE SURINTENDANT C'est .triste, mais c'est prêt... LE CHAMBELLAN

GIOMO. J'y venais rejoindre Son Altesse le duc Alexandre. LE HONGROIS. Et moi, je l'attends. GIOMO. Il n'est donc pas au couvent de la Sainte-Croix ? ACTE I, SCENE I. LE 5 HONGROIS. Non. GIOMO. Par quel hasard? il devait y passer la nuit. LE HONGROIS. Qui; mais nous avons trouvé toute la communauté en révolution ; une religieuse était à l'agonie, ou même était morte, je ne sais plus bien ; de sorte que la bonne abbesse, tout en remerciant Son Altesse de l'honneur qu'elle daignait lui