Sonnet 176

Concordance La césure : correspond généralement à un moment d’articulation grammaticale. De même à l’hémistiche : mais les poètes de la fin du XIXè, défiant la convention, feront à l’occasion passer la césure au milieu d’un groupe : Prends ton sonnet, moi ta// sonnette à faveur rose (Corbière). Discordance La règle de la concordance mètre/syntaxe n’est pas toujours respectée, Ronsard préconise la plus grande liberté en ce domaine et se montre favorable aux décalages entre la structure métrique du

« Quand, les deux yeux fermés, ». Le passage témoigne de la présence du rêve dans le poème ce qui illustre un moment de parfait bonheur dans lequel il peut s’éloigner de toutes contraintes en fuyant vers l’inconscient. De plus, dans le premier vers du sonnet, l’image de l’idéal apparait « Une Île paresseuse où la nature donne ». Dans cet alexandrin, Baudelaire rend concrète une illustration abstraite. La personnification de l’île la rend plus utopique, c’est-à-dire une conception irréaliste dans le monde

comme des formes majeures[], mais il utilisera de plus en plus le sonnet transplanté en France par Marot en 1536. Ronsard aborde à maintes reprises le thème de la mort dans son œuvre poétique. A la fin de sa vie, épuisé par la maladie, en proie à de redoutables insomnies, Ronsard choisit d'évoquer dans ses Derniers vers, avec une émouvante simplicité, l'approche imminente de sa propre mort dans : Je n'ai plus que les os. Le sonnet liminaire de ce court recueil publié par ses amis juste après sa

Mignonne allons voir si la rose… » De Pierre RONSARD  Ronsard et Du Bellay ont créé la pléiade. Ce mouvement cherche à enrichir la langue française et ambitionne d’atteindre la perfection par le respect d’une seule règle stricte. (Forme contraire : 2 sonnet, 2 tercet)  Ronsard né en 1524 et meurt en 1585, est le prince des poètes, il passe une partie de sa vie sous François 1er (le père et le restaurateur des lettres) issue d’une famille noble, d’Orléans, il va devenir page à la cours (entre le valet

moyen d'expression privilégié des sentiments personnels du poète : le registre lyrique y est fréquent, notamment pour exprimer la dou- leur. Les poèmes se font l'écho des 'chagrins d'amour' de leurs auteurs, comme c'est le cas pour Louise Labé dans le sonnet « Tant que mes yeux pourront larmes épandre », ou pour Alfred de Musset lui-même (« J'ai dit à mon cœur, mort faible cœur... »). D'autres poèmes sont restés célèbres parce que, exprimant une douleur intime du poète, ils touchent le lecteur par le

TB :’’nuit’’,’’adieu’’, TC : ‘’sort’’, ‘’canon’’) sont présents, auxquels s’ajoutent dans le texte B deux champs lexicaux opposés celui de l’obscurité (‘’nuit’’ (v7)) et celui de la lumière (‘’brille’’ (3), ‘’éclaircirait’’ (v8)). Le texte A,  est un sonnet, dans la tradition Pétrarquiste qui est basé sur la personnalité des sentiments, tandis que le texte B est une poésie Baroque (La pléiade) qui exprime avec simplicité des sentiments graves, dans ce poème il est question d’un rêve où il y aura une

" Correspondances " et les sens de l'homme donc l’apparition de synesthésie . Le poète et la poésie sont l'intermédiaire du monde vivant et de la nature . Seul l'auteur est capable de déchiffrer le monde . Nous verrons , comment Baudelaire dans ce sonnet , expose la théorie des " correspondances ". Premièrement , nous étudierons la découverte des correspondances avant d'étudier une conception spiritualiste du monde et de la poésie . Conclusion : Poème fondateur de la poétique de Baudelaire

Alfred de Musset écrit en 1840 le poème «Tristesse », peu de temps après avoir été abandonné par sa femme George Sand. Dans ce sonnet l’auteur écrit pour lui même de manière très brève. Dans le premier quatrain l’auteur énumère ce qu’il a perdu, afin d’insister il se sert de deux figures de style, il utilise l’anaphore (j’ai perdu) et l’énumération (relié par « et ») qui permet de nous faire passer d’un vers octosyllabique à un vers double. Musset décrit à l’aide de quelques mots très simple

Baudelaire , à travers des sonnets extraient de "Derniers vers" 1857 ," recueil de quelques vers burlesques" 1654 et "les fleurs du mal" 1857 , ont tout trois abordes le thème de la laideur. Ronsard évoque la laideur de la vieillesse , Scarron fait un contre blason en faisant un blême de la laideur d'une femme tandis que Baudelaire à travers la laideur des aveugles évoque sa laideur intérieur. Ce qui nous amène à nous demander : a l'aide de quels procédés leurs sonnet décrivent ils la laideurs ?

de péché et de mort, de perdition et de néant : le charme physique de la femme aimée éveillait irrésistiblement l’horreur du tombeau, de la décomposition de la chair, et la hantise du péché qui prépare les longs remords. Dans ‘’Remords posthume’’, sonnet en alexandrins écrit en 1847, qui parut le 1er juin 1855, dans ‘’La revue des deux mondes’’ puis fut, en 1857, placé dans le recueil ‘’Les fleurs du mal’’, dans cette partie de “Spleen et idéal” qui est dominée par le thème de la femme sensuelle,