Sonnet Alexandrin

là"régler" (v.9) > cérémonie pleine de fasteAu cours de cette cérémonie, le roi va vérifier sa puissance et les courtisans vont se faire valoir, c'est un test de leur influence auprès du roi."Un tel jour, en tel lieu; ses prévôts y seraient" (v.8) > alexandrin > par ce rythme solennel, on a l'impression d'entendre le roi parler. Pour laisser l'ambiguïté, le rendez vous n'est pas précisé.4) 4ème scène (v.11 à 16): la cérémonie"Jugez si chacun s'y trouva" (v.11) > nouvelle intervention du narrateur, complicité

tous ses amis parisiens, il se retrouve seul à Charente) que Vigny a écrit en 1843, en une nuit et une partie du jour suivant le poème intitulé « la mort du loup » paru dans le recueil posthume les Destinées en 1864 (ßSituation). Ce long poème en alexandrin à rimes plates (ß Forme) décrit une chasse nocturne qui se termine par la mort héroïque du loup suivie d'une réflexion morale sur le sens de la vie. Vigny utilise la figure du Loup pour illustrer sa philosophie et poser l’animal en exemple pour

conjonction de coordination « et », très fréquente en poésie →Vers 10 : « longus et annus », « et » équivaut à etiam (même) →La traduction des 5 derniers vers est la plus fidèle, au niveau de la versification et du vocabulaire employé. Toutefois, les alexandrins ne respectent pas la rythmique du texte original. Le décasyllabe final respecte cependant à peu près cette alternance, uniquement sur le vers final, le pentamètre. II. La préciosité poétique : →La préciosité est un excès de figures de style

passant, comme chez Rimbaud, par un stade de brouillage. C’est ce vers qui, pour les tenants de la prosaïsation, tendrait vers la prose. Un commentateur de l’œuvre de Saint-John Perse, appréciant l’absence d’une véritable carrure métrique dans les alexandrins des premiers poèmes, estime qu’ils y « descendent parfois jusqu’à la prose8 », ajoutant : « comme celui-ci, digne de François Coppée : “Ma bonne était métisse et sentait le ricin” ». Coppée, le maître du cliché sentimental, du lyrisme gnangnan.

Ce poème aligne trois strophes irrégulières formées successivement de sept vers, de cinq vers, de trois vers, des vers aux rimes suivies qui sont pour la plupart des alexandrins, certains étant cependant formés de deux hémistiches (vers 2 et 3), d’autres, légèrement plus longs (vers 6, 8, 9, 10, 11, 12, 14), pouvant avoir douze syllabes, au prix de quelques élisions audacieuses (par exemple : «Qui batt(ent) comme les fleurs battent au vent dément», mais que l'on peut également considérer comme

majestueuse ‘‘vastes oiseaux des mers’’ est antithétique avec les autres vers ce qui tant à prouver que ce qui touche aux cieux n’est que facilité et ce qui touche au sol n’est qu‘infirmité. L’allongement des phrases, les césures à l’hémistiche, les alexandrins augmentent le coté majestueux de l’oiseau. Plus on avance dans le poème plus l’image de l’oiseau se détériore. 3)-Explication de la condition du poète : -La clé du poème est dans la dernière strophe : Elle démarre sur la comparaison:

j’ai battu le rappel. ». Tous ces actes, ce passent autour de la poésie. En effet, nous restons dans un cadre très poétique, avec le champ lexical de la poésie. Il utilise parfaitement les bons termes pour désigner la poésie, comme par exemple : Alexandrin, syllabes. Très typique de la poésie. Mais, ce sont des mots que n’importe quel individu pourrait comprendre. C’est ce qu’il essaie d’ailleurs de faire comprendre aux auteurs du XVIIIX°. Mais pour vraiment, marquer ces autres, il vient à faire des

« strophe » unique. Hugo a fait cela exprès pour que le lecteur soit entrainé dans ce poème sans même pouvoir respirer tellement il y a de force dans celui-ci. Il mise sur la continuité, déjà avec la composition des vers qui sont tous formés en alexandrin pour que ce soit fluide, cela donne aussi un côté solennel du sujet. Il fait sentir au lecteur que ce texte est très régulier avec cette formation de vers, et donc que ces vers ne sont pas libres, ils sont réguliers. Comme les vers sont fluides

(6)+ jeu sur les antithèses « paix »/ « guerre » (1-2), « vainqueur »/ « vaincu » (16) + apostrophes lyriques « Amour tu perdis Troie » (3) +hyperboles « ou du sang des Dieux on vit le Xanthe teint » (5) * L’hétéromère =>utilisation des alexandrins, vers nobles et solennel par excellence 2) L’humour du fabuliste= un anthropomorphisme plaisant Fable rendue savoureuse par l’anthropomorphisme [attitudes humaine a des animaux] des animaux qui se conduit comme des hommes = mise en scène

« rêve plein d’amour »,  « le germe n’est pas éclot ». Ainsi Victor Hugo privilégie dans la fonction du poète la communion avec les autres l’empathie. Quand à Th-G, il présente le rôle du poème et de la poésie avec une structure classique quatrain, alexandrin, rime croisée, une ponctuation exclamative et interrogative et plusieurs champs lexicaux. Grace à la personnification de la montagne T-G présente le poète comme un nourricier : « source »au vers 16. Conclusion : c’est deux auteurs ils ont donné