Sophiste

cours de l'histoire de la philosophie à la suite de l'influence des ouvrages de Platon et Aristote qui ont critiqué certains raisonnements des sophistes. À l'origine, les sophistes étaient appelés ainsi parce que c'était des savants. Mais ces authentiques savants ont été des «penseurs maudits» condamnés comme faux philosophes ou imposteurs. Les sophistes étaient des professeurs d'éloquence. Enseignants itinérants, ils voulaient préparer les citoyens à discuter dans les assemblées. On peut dire que

Protagoras Qui est Protagoras ? Quelle réputation a-t-il ? Quel enseignement les jeunes gens bien nés d'Athènes en attendent-ils ? Platon condamne les sophistes d'« apparence de savoir », sophòs=savant ; penseurs itinérants qui s'engageaient à enseigner leur savoir ; fils de Ménandrios ; initiateur du mvt sophiste (1er à revendiquer le titre de sophiste)(1er à donner des cours rémunérés) ; -492à-422 ; né d'un père très riche, élevé enfant par des mages perses ; ou famille modeste, aurait exercé un métier

raisonné qui lui est prodigué. Lorsque Socrate s’adresse à Hippias en le questionnant sur un sujet aussi général que le beau, en prétendant qu’il ne peut produire personnellement une réponse à son questionnement, il fait appel à la connaissance naïve du sophiste. De fait, tout questionnement philosophique doit se baser sur un savoir instinctif qui suscite l’interrogation et pousse celui qui se questionne à réfléchir plus intensément à son sujet dans le but d’aboutir à une connaissance qui se rapproche le

dialogue de jeunesse. Des préoccupations mathématiques interviennent (problème de la duplication du carré). Or c’est lors de ses premiers voyages que Platon commence à s’y intéresser en rencontrant des mathématiciens. De plus la polémique contre les sophistes (notamment au début du dialogue) est caractéristique des œuvres de maturité. Enfin le thème de la réminiscence est un thème platonicien et non socratique. Platon élabore déjà sa philosophie. On peut donc penser que ce dialogue est un dialogue de

Tisias, enseignent la rhétorique dans la première moitié du 5ème siècle. Ils sont sans doute à l'origine des principales parties du discours : l'exorde, la narration, la discussion, la péroraison, et peut-être de la notion de vraisemblance, dont les Sophistes et les rhéteurs feront grand usage. Puis l'éloquence gagne la Grèce continentale, notamment grâce à deux personnages surtout connus au travers des œuvres de Platon : Protagoras (486-410) et Gorgias (485-374). Protagoras aurait codifié les règles

s’ils étaient moins orgueilleux.  L’origine grecque Opposition faite entre les sophistes et les philosophes. Le philosophe (Socrate) et le sophiste (Protagoras) sont impliqués dans l’humanisme. Deux formules :   Socrate : « connais-toi, toi-même » Protagoras « l’Homme est la mesure de toute chose » Le problème philosophique : « il y a des vérités absolues » ex : a=a (une chose est = à elle-même). Les sophistes disent : « il n’y a pas de vérités absolues, est vrai ce qui réussit »ex : la physique

l’interlocuteur apte a trouver la premiere La pensee selon un sophiste: le dialogue interieur et silencieux de l’ame avec elle-meme Dans le Theetete: penser:ame / dialoguer: s’adresser a elle-meme questions et reponses( affirmation a la negation) Les Dialogues : problemes d’authenticite/ chronologie Vocabulaire de Platon: la stylometrie: des datations sures Des dialogues surs: socrate/ gorgias/criton/critias/Protagoras/sophiste etc… Platon: pas d’ecrit qui soit de lui Qu’il fait se garder

se mettre au service du pouvoir. Les sophistes (sophos=savants, sophistes= très savants) sont des rhétoriciens, rhéteurs. La rhétorique est l’art de persuader, art que l’on vend aux chefs politiques ou aux ambitieux (des gens qui veulent acquérir le pouvoir). La vérité n’existe pas mais l’influence, l’action, la manipulation oui. La philosophie a d’abord été une pratique de discours qui consistait à combattre les effets nocifs de la sophistique. Les sophistes ont favorisé des guerres qui ont créé

 Ce dernier ne  rédige pas cette anecdote en son nom propre, mais la fait raconter par ​ Glaucon​  qui est  un sophiste, le fils d’Aristote et le jeune frère de Platon et d’Adimantes. Il est un des  disciples de Socrate et est présent dans ​ Le Parménide ​ et apparait  également dans ​ La  République​  comme le principale interlocuteur de Socrate. Il est également porte­parole  de Thrasymaque, un autre sophiste. Cet extrait est un monologue de Glaucon. Celui­ci  aimerait démontrer que l’Homme n’est pas naturellement juste mais qu’il se comporte de 

Nous verrons que la révolution de la pensée platonicienne consiste à poser des normes absolues du jugement qu'il appelle les essences. Nous y reviendrons mais contentons nous de dire que Platon s'opposait aux sophistes pour qui « l'homme est la mesure de toute chose ». Cette thèse des sophistes entraîne une forme de relativisme, c'est à dire une théorie pour laquelle chacun à « sa » vérité. Si telle chose nous paraît bonne, c'est qu'elle est bonne. Platon oppose à cette thèse l'idée d'une essence qui