Sorbon

ALBERT MEMMI Albert Memmi, né à Tunis le 15 décembre 1920, est un écrivain et essayiste Tunisien. Tunisien , formé par l'école française, d'abord au lycée Carnot de Tunis, puis à l'université d'Alger où il étudie la philosophie, et enfin à la Sorbonne à Paris. Memmi se trouve au carrefour de trois cultures et construit son œuvre sur la difficulté de trouver un équilibre entre l'Orient et l'Occident. Parallèlement à son œuvre littéraire, il poursuit une carrière d'enseignant, d'abord comme professeur

nouvelles et l’Église représentée par la Sorbonne. Taxée d’ignorance, celle-ci réagit en accusant les humanistes d’hérésie, d’immoralité, de paganisme et, surtout, de complicité avec les idées de « la Réforme » (ce qui est vrai au début, jusqu’en 1534). * LES VICTOIRES : 1530-1549 : - La vulgarisation : création de bibliothèques (celle de François Ier) - Création du « Collège des lecteurs royaux » (1530) : les professeurs y échappent à la tutelle de la Sorbonne - De grands professeurs (ex. Dorat à

de congés payés. La CGT et la CFDT proposent des grèves dans les usines de textiles, des salariés de l’usine Sud-Aviation-Bouguenais manifestent dans les rues. Dans la nuit la Sorbonne est attaquée par un groupe fasciste, « Occident ». Le 3 mai, la faculté de Lettres de Nanterre est fermée, ainsi que la Sorbonne ferme, où il y a un meeting de solidarité envers Cohn-Bendit. Plusieurs étudiants sont arrêtés. En réaction, une manifestation de leur part s’organise à laquelle répond les forces

tout en amusant. Ainsi, la naissance extraordinaire du fils de Grandgousier ne pourrait être qu’une histoire comique et populaire, mais elle sert également à exposer un des thèmes pour lesquels Rabelais s’est régulièrement battu: la critique de la Sorbonne. Il reprochait en effet à cette école de n’enseigner que des dogmes, d’abrutir ses élèves en ne leur faisant jamais ni réfléchir, ni se poser de questions sur leur enseignements ou sur les textes sur lesquels ceux-ci portaient. On en voit donc, juste

COMPTE RENDU DE LECTURE « Le soi, le couple et la famille » De François DE SINGLY 1. Présentation L'auteur est un sociologue, professeur à la faculté des sciences sociales de la Sorbonne, et directeur du centre de recherches sur des liens sociaux (CERLIS CNRS Université de Paris V). Spécialiste reconnu des la Famille, il a publié de nombreux ouvrages en autre « libres ensembles » en 2000 et « la famille: l'état des savoirs » en 1991. 2. Le compte-rendu Dans le soi, la

très renommé Pantagruel Roi des Dipsodes, fils du Grand Géant Gargantua, plus connu sous le nom de Pantagruel, est le premier roman de Rabelais et a été publié en 1532. Il l'a d'ailleurs publié sous le pseudonyme d’Alcofrybas Nasier (censure de La Sorbonne), qui est l'anagramme de François Rabelais. 1/ RESUME DE L'OEUVRE Le roman de Rabelais, qui relate les aventures du géant Pantagruel, fils de Gargantua, est composé d’un prologue et de 23 chapitres. Prologue Rabelais s’adresse directement

notaire. Après le collège, il poursuit des études de droit à Paris, tout en étant un jeune clerc de notaire chez un ami des Balzac (dont le personnage et l’étude serviront de modèles pour Derville dans le Colonel Chabert). Il suit aussi des cours à la Sorbonne où il découvre la philosophie et affirme une vocation littéraire. Il côtoie le succès avec « Les Chouans » en 1829, confirme son talent avec l’œuvre romanesque de sa vie « La Comédie Humaine ». Cette œuvre rassemble tous ses romans écrits depuis

Baron mais ce titre est inutilisable… En 1838 il retourna à Paris, mais ne pu se réintégrer dans un école de mathématiques car il fit toujours pas allégeance à Louis Philippe. En 1848 il retrouva enfin sa place à l’Académie avec un professorat à la Sorbonne après la Révolution de juillet et la fuite de Louis Philippe. Il fut exempté d’allégeance à Napoléon III car celui-ci reconnaissant la valeur de Cauchy à l’académie. Augustin prenait part a de nombreuses organisations de charité et faisait professions

muraille ? ) - Frère Jean se montre-t-il anticlérical en concevant cette inscription ou bien s’en prend-il aux vrais ennemis de la religion : qui sont-ils ? (se renseigner sur l’affaire des Placards, en octobre 1534 qui accroît la menace de la Sorbonne contre les évangélistes ou soupçonnés partisans de la Réforme) - Sur quelle antithèse, renforcée par la construction anaphorique, est fondée cette inscription ? - LV, LVI = - Qu’y a-t-il de curieux, peut-être choquant pour nous,

toujours nous-mêmes mais habités par un sang neuf. Je ne crois qu'au sang métissé. Jacques Lacarrière Sous une forme révisée et même nettement renouvelée, ce texte reprend une suite de réflexions faites et écrites à l'occasion des « Rencontres de la Sorbonne » de février 1983 où plusieurs centaines d'intellectuels de tous pays se réunirent pour réfléchir ensemble aux problèmes de la culture contemporaine.