Soubrette

ironique. Parmi les personnages on a le couple Lisette et Merlin. Lisette est maligne et connaît très bien les intentions de Merlin quant a sa pièce. Merlin annonce son rôle dans la pièce qu’elle tient aussi dans la vraie vie : “ une maligne soubrette a qui l’on en fait point accroire” l.7. Dans cette réplique de Merlin on sent un peu d’ironie. Lisette ne se laisse pas avoir par le jeu de Merlin et l’avertit qu’elle risque de se fâcher : “ Ecoutez Monsieur le joli homme, que ceci, ne passe point

parce qu’elle prend Dorante pour un valet et ne peut s’imaginer lier son sort au sien sans déchoir. Si elle est l’héroïne de la pièce, c’est que seul son amour-propre ne cède pas : Dorante, en revanche, la demandera en mariage en la prenant pour une soubrette. L’art de Marivaux transcende ainsi, sans les rompre, ces barrières irréelles qu’impose la comédie italienne et ce dernier cadre aboutit à un mélange d’une extrême singularité, profondeur et transparence complète, réel et irréel. L’irréel et le

parce qu’elle prend Dorante pour un valet et ne peut s’imaginer lier son sort au sien sans déchoir. Si elle est l’héroïne de la pièce, c’est que seul son amour-propre ne cède pas : Dorante, en revanche, la demandera en mariage en la prenant pour une soubrette. L’art de Marivaux transcende ainsi, sans les rompre, ces barrières irréelles qu’impose la comédie italienne et ce dernier cadre aboutit à un mélange d’une extrême singularité, profondeur et transparence complète, réel et irréel. L’irréel et le

femmes qui donnent toujours le petit coup de langue en passant, et seraient bien fâchées d'avoir souffert qu'on eût dit du biên du prochâin ;je crois que vous ne vous acquitterez pas mal de ce ôle. (A Madomoiselle HeNê.) et pour vous, vous êles la soubrette de la précieuse, qui se mèle de temps dans la conversation, et attrape comme elle peut tous les termes de sa maîtresse:je vous dis tous vos caractères, afin que vous vous les imprimiez fortement dans l'esprit. Commençons mâintenant à épéter, et voyons

étrange mouvement sous son voilier qui le fait ballotter comme au milieu d'une tempête. Il décide de tirer son ancre et de s'en aller, mais quelque chose au fond de la rivière l'en empêche. Caché par un brouillard opaque et subit, un coup sec le fit soubreter et il se sent de nouveau étrangement agité. Un malaise horrible, puis un frisson d'épouvante le fait râler de peur qui, grandissant toujours, devient une véritable terreur. Il crie au secours inutilement. Pour se donner du courage il boit du rhum

fiancés à son fils, Mario, et ceci permet aux deux de contrôler certains aspects de la situation. Mario déclare : « C’est une aventure qui ne saurait manquer de nous divertir. Je veux me trouver au début et les agacer tous deux19 ». Entretemps, la soubrette de Silvia déguisée en femme de condition, qui n’est pas informée des circonstances pour ne pas détruire le plan initial, est convaincue par la tolérance de M. Orgon qu’elle peut séduire et se marier avec le faux Dorante. Ceci, par conséquent, met

la boîte), qui plaisante et raille les courtisans ("Oh ! La duègne !", "Oh ! Respectable aïeule !"), qui manie l'ironie (v. 688) sans craindre la hiérarchie (v. 645) et rit sans cesse. "Ris, folle", lui lance du reste la reine. Croisement de la soubrette et du valet, de bouffon de la comédie et de la confidente de tragédie, Casilda réalise le mélange de ces deux genres pour composer un vrai personnage de drame Le drame romantique : synthèse Le drame romantique a vécu une vingtaine d’années dans

joyeuse, expressive, rebelle et | | | | |réactive lorsqu'on la punit. Prénom ref à une soubrette | | | | |chz Molière. Suffixe « -ette » valeur féminisante et | | |

Sarah SerbTravail d’écriture1DDans un premier temps, nous discuterons de la maîtrise admirable des techniques de composition dont Molière fait preuve sur le plan de l’organisation générale de sa pièce. Tout d’abord, nous nous pencherons sur l’apparition des personnages au cours de la pièce et sur ce que cela révèle quant aux thèmes abordés. Le degré d’apparition d’un personnage peut-être corrélé à la prédominance de certains sujets : Argan, désigné par la périphrase « Le Malade imaginaire », est

elle avouera avoir des goûts " canailles " et forcera Duroy à l'emmener dans un bastringue. Elle conduira son amant dans " tous les endroits louches où s'amuse le peuple " et aime à s'habiller " d'une robe de toile, la tête couverte d'un bonnet de soubrette […] elle gardait ses bagues, ses bracelets et ses boucles d'oreilles en brillant " Elle aime le danger et c'est ce qui l'amènera à inviter Duroy à dîner avec son mari.         Madame de Marelle a aussi beaucoup besoin d'amour. En effet son mari