Souffle

des buissons. Elle regarde, puis reviens à elle, et continue. (la vision se rafraîchit, apparition de couleur froide donnant le ton flippant) Judith accélère légèrement le pas. Des bruits (souffles et gémissements non rassurants se font entendre) Judith commence à courir en regardant autour d'elle, son souffle s’amplifie. La vue essaye de tenir face à elle (hélas toujours en mouvement rapide) parfois de dos, elle se retournant sans cesse. Elle cour dans la forêt, et s'arrête dans un coin (début)

de mouvements violents. Leur respiration est normale. Les 8 % environ de blessures qui surviennent proviennent sûrement de mauvais échauffement. Puis après un quart d'heure, on atteint 15 % de blessures, l'usure se fait sentir dans les corps aux souffles erratiques. A la première mi-temps, leur forme est déjà moins bonne : ils sont essoufflés, beaucoup de muscles et d'articulations ont été sollicités plus ou moins intensivement. Les joueurs sont fatigués. Les 23 % de blessures sont dues à ces

purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d'Est Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée Femme noire, femme obscure Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète, aux flancs des princes du Mali Gazelle aux attaches célestes, les perles sont étoiles sur la nuit de ta peau. Délices des jeux de l'Esprit, les reflets de l'or ronge ta peau qui se moire A l'ombre de ta

autres signes sont inconstants : à l'auscultation cardiaque peut exister un souffle d'insuffisance mitrale fonctionnelle, à l'auscultation pulmonaire, des râles crépitants, un épanchement pleural. Enfin des signes de la maladie cardiaque en cause peuvent être retrouvés. Dans l'insuffisance ventriculaire droite, l'examen clinique retrouve également une tachycardie, et de manière insconstante, à l'auscultation cardiaque, un souffle d'insuffisance tricuspide fonctionnelle, un éclat du B2 (deuxième bruit

d’avoir accueilli. Les clés s'y rouillent aux serrures, Car les cœurs n’ont plus de secrets ; Le temps y ternit les dorures, Mais fait ressembler les portraits. Des voix chères dorment en elles, Et dans les rideaux des grands lits Un souffle d’âmes paternelles Remue encor les anciens plis. ____________________________ L’humanité des vielles maisons : (Faire introduction… style, auteur, thème, genre) René Armand François Prudhomme, dit Sully Prudhomme, est né à Paris en mars

mon amour jamais trop. Ma France, mon ancienne et nouvelle querelle, Sol semé de héros, ciel plein de passereaux… Je vous salue, ma France, où les vents se calmèrent ! Ma France de toujours, que la géographie Ouvre comme une paume aux souffles de la mer Pour que l’oiseau du large y vienne et se confie. Patrie également à la colombe ou l’aigle, De l’audace et du chant doublement habitée ! Je vous salue, ma France, où les blés et les seigles Mûrissent au soleil de la diversité…

 Seul l'Esprit, s'il souffle sur la glaise, peut créer l'Homme Cette phrase fait allusion à la Genèse L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. Dans Terre des hommes de Saint-Exupéry, on se souvient de la belle méditation humaniste de l’auteur, alors grand reporté, en partance pour la Russie, qui s’interroge sur les conséquences de la misère. Dans le train, mêlé aux immigrés polonais qui s’entassent

Un enfant qui coupe le souffle. Mon neveu a quatre ans, et il aime prendre les photos en donnant des câlins. Je l’ai même pris en photo quand il jouait dans un parc d’attraction. C’est un petit garçon qui a plein d’énergie et qui aime bien chanter et danser. Chez ma mère, ainsi sa grand-mère, il possède une petite bibliothèque en bois en forme de pirogue où il range soigneusement ses livres. Chaque week-end qu’il passe chez sa grand-mère, il en lit un avant de dormir. C’est également

nous apprennent, c’est que l’humain n’est pas cloisonné dans sa structure propre. Il fait partie d’un tout dont il est le centre. Justifiez Genèse 2.7 : « L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. » Genèse 2.19-20 : « L'Éternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l'homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être

effet, le narrateur nous montre un lieu enfermé tellement sombre et froid qu'il fait songer à un trou. Dans ce lieu nous nous sentons étouffés. Cet étouffement est lié au couleur et aux odeurs. Les murs « suant d’une humidité âcre » ainsi que « les souffles froids de caveau » nous empêche de respirer. Les couleurs ou leur absence sont là pour donner la forte impression d'un lieu où la lumière pénètre à peine : le vitrage noir de crasse ne laisse passer qu'une « clarté blanchâtre » ou « de la nuit »