Souffrance Et Discours Philosophique

Théodicée [modifier] Le terme de « théodicée » signifie étymologiquement « justice de Dieu » (du grec théos, Dieu, et dikè, 1justice), c’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »[4]. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence

Chapitre premier jusqu'à « et par conséquent de toute la terre » Introduction : Le conte philosophique Candide (1759) est l'ouvrage le plus connu de Voltaire, le grand philosophe français du XVIIIème siècle. Candide est le jeune homme à travers qui nous découvriront son histoire. Nous analyserons successivement dans ce passage les éléments qui relèvent du conte puis la manière dont l'auteur les utilise pour dresser une satire de la noblesse et d'une certaine conception de la philosophie. I

à considérer deux situations opposées dans lesquelles les hommes peuvent se trouver à vivre, l’Etat et l’absence d’Etat, et de les comparer, puisque il faut établir laquelle est à considérer la plus dangereuse, la plus oppressante. La pensée philosophique, et politique, a élaboré nombreuses réflexions différentes sur ce sujet pendant les siècles, et la raison est surtout que « Etat » et « absence d’Etat » sont deux concepts qu’ont été interprétés en plusieurs manières. Il s’agit d’options qui contiennent

Intro : En novembre 1753, un terrible tremblement de terre à Lisbonne émeut tt l’Europe et provoque une série de débats philosophiques sur le mal après la Théodicée de Leibniz en 1710. Pour Leibniz l’univers crée par Dieu est à la fois imparfait et le meilleur des mondes possibles. Le pb débattu est celui de concilier la croyance en un Dieu bon et le constat de l’existence du mal. Voltaire poursuit la polémique avec Candide publié en 1759 qui montre l’impuissance de l’homme face au mal. Il invente

XXème siècles Albert Camus L’Etranger (1942) C’est une histoire qui raconte les causes et les conséquences d’un crime absurde. Le choix du titre pourrait déjà le montrer. C’est un roman des essaies philosophiques des pièces de théâtre. Camus était un écrivain engagé sur les lutte par exemple : contre la colonisation. Il est né à Alger il fait son enfance et adolescence à Alger. Il est venu en métropole pour travailler. Il est à la fois Franco algérien

communiquer, et leurs discours et dialogues ont une cohérence, mais c’est celle d’une illusion partagée. L’allégorie raconte aussi, cependant, comment un des prisonniers échappe à ce destin, est détaché de ses chaînes, puis traîné hors de la caverne, forcé de grimper la pente escarpée qui mène au monde extérieur et à la lumière du jour. Cette libération et ce mouvement ascensionnel symbolisent la libération de l’âme à l’égard des réalités sensibles et l’ascension philosophique vers le monde intelligible

s’agit par exemple de la cristallisation, on s’imagine que l’être aimé a pleins de qualités alors qu’en réalité c’est un être normal. De plus, selon Bachelard, l’imagination a des conséquences sur le plan éthique, elle nous plonge dans une vie de souffrance et d’intranquillité, avec des moments de bonheur intense, mais aussi des périodes de grand désespoir, qui nous empêche d’atteindre la sérénité et donc d’éprouver un bonheur véritable. Le bonheur ne se présente que lorsque l’individu n’a pas de troubles

écrire, jusqu’au moment où il lui sera physiquement impossible de continuer. Nous sommes ici au tout début du roman ; l’extrait se compose de l’ensemble du chapitre premier. Le protagoniste vient d’apprendre qu’il est condamné à mort, et la longue souffrance de l’attente dans la cellule va commencer. Le roman se concentre sur ses quelques instants entre la certitude de sa mort imminente et la mort effective ; ce moment d’angoisse pure. Il s’agira de voir comment Victor Hugo traite ce thème de la mort

SECTION 1 : ANTHROPOLOGIE PHILOSOPHIQUE « Qui suis-je, moi qui dis « je » ? » CH1 : L’HOMME, DANS LA LUMIERE DE LA CONSCIENCE I) Etymologie : Du latin conscientia : con- (« avec ») et scientia (« connaissance »). Conscience= intuition + ou – claire qu’un esprit a de ses états ou de ses actes =capacité à représenter qui né du caractère auto-réflexif de l’activité humaine |Pensée (elle ne peut être vu lorsqu’elle est éclairée)

désirs un droit égal sur sa vie. Neanmoins, la philo n’oppose pas forcément Raison/ Désir, affect La vocation philosophique nait d’un désir intellectuel. Platon (phedre) : le discours politique est liée a une folie de type erotique ( L’eros philosophique). Une folie, differente de celle qui mene au désir insatiable de jouissances sensibles (Schop : vouées au manque, souffrance et ennui) car elle embrase directement l’intellect, partie plus noble du corps. Le socrate de Platon ne connaît par