Souffrances Morales

Introduction. I - Le désir est souffrance. Premièrement, prenons comme exemple le désir amoureux ; en effet ce qui est vrai pour le désir amoureux est vrai pour les autres désirs : l’envie, la convoitise, la réussite… On sait que celui qui désire être aimé souffre d’aimer car il se demande sans cesse si son partenaire éprouve les mêmes sentiments que lui. Ce désir est donc bien une cause de souffrance. De plus les enfants à qui on ne donne pas ce qu’ils réclament, donc ce qu’ils désirent ont

moi-même » (l.4 texte 2) ; le récit est conduit à la 1ère personne du singulier et il permet au lecteur de partager la douleur des jeunes amants. Au contraire, dans le texte de Flaubert, le point de vue est omniscient : le narrateur évoque tantôt les souffrances de l’héroïne qui vient de s’empoisonner, tantôt l’angoisse et l’incompréhension de son mari. La compassion du lecteur est sollicitée mais pas de la même façon. La description de l’agonie et de la mort suscite également l’horreur et la pitié du

échouées, Phèdre devient désirante de mourir pour achever sa souffrance. Enfin donc, le désir de mourir de Phèdre transparaît dans le texte. On trouve un fort champ lexical de la mort « remèdes impuissants v 283, implorait v 285, misère v 289, cris éternels v 295, Vaines précautions ! Cruelle destinée ! V301, J’ai pris la vie en haine et ma flamme en horreur v307, mort v 313, vains secours v315 ». On remarque aussi la métaphore filée de la souffrance « trouble v 274, mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais

surhumains, provoquer l’enthousiasme et sans sentiment d’appartenance à une collectivité. - Vocabulaire : le vocabulaire sera emprunté au lexique guerrier. L'exaltation des vertus héroïques s'inscrira aussi dans le vocabulaire mélioratif des qualités morales (sacrifice, énergie, hauteur stoïque). Parce qu'il est confronté à des obstacles surhumains ou des déchaînements cosmiques,  le héros épique est souvent accompagné d'un vocabulaire mythologique. profusion de pluriels. Champ lexical manichéen (la Bien

« mal absolu », « souffrance », «châtiment divin »… a/ Les deux adjectifs qualificatifs synonymes sont « « terribles » et « horribles ». b/ Les termes appartenant à la famille du mot « terrible » sont les suivants : terriblement (adverbe), terreur (nom), terrifier (verbe). b/ Le ton de Gaston est amer… c/ L’expression familière qui signifie « en être réchappé » est « « s’en tirer ». a/ Il y a la souffrance physique et la souffrance morale. La soif, la faim

: Comment s'exprime l'engagement du poète ? En premier lieu on étudiera la description de la ville de Paris pendant l'occupation allemande avec une ville affaiblit sur le plan matériel et physique , puis une ville dans le malheur d'un plan moral. En seconde partie , les qualités de Paris avec l'admiration du poète pour cette ville puis en dernier axe, l'engagement de l'auteur avec un message à transmettre d'espoir et d'un appel à la résistance. I) La description de la ville de Paris pendant

effet épris de l'Anglaise Maria Anna Elisa Birch qu'il espérait épouser, projet qui n'allait pas sans difficultés matérielles, la mère de la jeune fille s'y refusant car le poète était «sans emploi ni fortune», ce qui ne manquait de retentir sur son moral (il ne fut définitivement décidé qu'en mars 1820). Étude des principaux thèmes du courant romantique présents dans ce poème : l'admiration de la nature, le mal de vivre et la nostalgie ainsi que l'expression lyrique. Dans un de ses poèmes

rester isolé. La méchanceté est un habitus, une manière d’être d’un individu. «Des fautes aussi fréquentes que l’on voudra demeurent intermittentes auprès de la continuité du vice».2) L’analyse de la méchanceté nous amène à récuser l’optimisme moral exprimé par l’intellectualisme, selon lequel le mal n’est jamais que l’ignorance du vrai bien (ainsi pour Socrate la faute est le résultat d’une méprise: désirer le mal, c’est se tromper, c’est croire que le mal est un bien). Il faut poser l’irréductibilité

Qu'est-ce que le mal ? Question difficile. Le terme revêt tellement de sens (mal physique, moral...), ou plus exactement nous l'appelons tellement différemment selon les cultures, les époques, les idéologies. En Inde, on ne parle pas de mal mais de souffrance et l'on dit qu'elle fait partie intégrante du monde. On ne peut rien y faire, rien y changer. Misère, famine, maladies et inégalités perdurent depuis des siècles parce que la croyance fige littéralement les esprits et les volontés. Toujours

Travail dirigé Plan : Axe I ; Les conditions de travail. A. Une vision réaliste. B. Une vision effrayante. Axe II ; Les émotions du personnage. A. Les souffrances. B. La dégradation physique et morale. Emile Zola (1840-1902) est un romancier naturaliste. « Il est indéniable que le roman naturaliste tel que nous le comprenons, à cette heure, est une expérience véritable que le romancier fait sur l’homme, en s’aidant de l’observation ». Telle est la définition que donne