Souffrances Morales

entendues et enregistrées « On ne doit pas dire par exemple ‘ne vous faites pas de souci, cela va aller mieux’ » (page 38). Le danger est de perdre sa compassion en maîtrisant les réactions spontanées. Il faut être capable de compatir à la souffrance de l’autre en donnant le meilleur de nous même. Il ne faut surtout pas s’identifier au patient, car c’est le patient qui vit l’épreuve avec son histoire et ses ressources personnelles. Le soignant doit sortir de son schéma personnel pour entendre

lexical de la maladie (déjà évoqué) qui tend vers la mort avec l’adjectif « morte » qui se retrouve à une place privilégiée, dernier mot du poème. Ainsi le champ lexical de la douleur physique, mais surtout morale se mêle à celui de la morbidité, ce qui a pour effet d’associer l’automne à la souffrance, à la détresse psychologique et à la mort. Conclusion : Ainsi, le poème permet à Verlaine d’exprimer une conscience malheureuse, en associant cette dernière à un cadre naturel qui lui, saurait l’accueillir

personnes en grandes difficultés fréquentent chaque jour l'espace solidarité (en grande majorité des hommes, des "habitués" ou des personnes "de passage"). Ces usagers sont souvent en situation de rupture sociale, familiale, professionnelle, en souffrance psychique, en errance, avec un état médical et un lieu résidence très précaire, voire "sans domicile fixe". Ce public a souvent connu des parcours chaotiques, souffre de nombreuses problématiques addictives (alcool, toxicomanie, médicaments, parfois

d'abord, la famille est une communauté de personnes réunies par des liens de parenté. Elle est dotée d'une personnalité juridique, d'un nom, d'un domicile et d'un patrimoine commun, et crée entre ses membres une obligation juridique de solidarité morale[] et matérielle[, censée les protéger et favoriser leur développement social, physique et affectif[]. I- Les relations avec les parents Parents - enfants Dans l’ensemble, les relations entre parents et enfants sont assez bonnes pour la

Introduction [Amorce] Le xxe siècle est marqué par les traumatismes de l’histoire (deux guerres mondiales, régimes totalitaires) et la perte des repères (religieux, moraux…) traditionnels. Le théâtre de l’absurde, et notamment Ionesco, s’en fait l’écho. Prenant le contre-pied du théâtre traditionnel, il se caractérise par un mélange des registres très dérangeant : le spectateur se prend à rire, mais en même temps se sent mal à l’aise. [Présentation du texte] Dans La Leçon (1951), Ionesco met en

pour qu’elles émeuvent qui que ce soit. Les criminologues et les policiers le savent pertinemment mais cela excite le monde qu’on ait arrêté le coupable (lui ou un autre), on va pouvoir le punir, ce qui signifie se venger (« vengeance : dédommagement moral de l’offensé par la punition de l’offenseur ». Définition du dictionnaire Robert). Il faut noter cependant que le désir de vengeance n’est pas naturel, il est le fruit d’une culture fondée par exemple sur un certain code de l’honneur. Il y entre une

jamais autrui dans les yeux. La sympathie naît de cette capacité proprement humaine qu’à l’individu d’éprouver les mêmes choses qu’autrui. Ainsi la pitié peut-elle être considérée comme une forme de sympathie : je suis capable de me représenter la souffrance de l’autre parce que je sais que je pourrais souffrir comme lui. L’empathie est le fait d’éprouver ce que l’autre éprouve, comme s’il faisait partie de nous-mêmes, comme si il était une partie de notre moi. Certaines mères, par exemple, ressentent

il a le visage embroussaillé, il est vêtu de noir. Il a « le front moussu et sale », il est rabougri, contrefait et hirsute. Quand il lit, il se berce « à la manière des juifs lisant le Talmud », se balance « comme un buisson sous le vent ». 2) Moral: Il ne se soucie pas de ce qui l’entour, il n’entend rien et ne voit rien. Il lit « comme d’autres prient, comme des joueurs se passionnent pour leur partie, ou comme des ivrognes suivent une idée fixe. » Il pense que les bibliothécaires « feraient

sentait entre elle et lui comme un voile, un obstacle, s’apercevant pour la première fois que deux personnes ne se pénètrent jamais jusqu’à l’âme, jusqu’ au fond des pensées, qu’elles marchent côte à côte, enlaces parfois, mais non mêlées, et que l’être moral de chacun de nous reste éterbellement seul par la vie.( Maupassant, 1988:52) Ils ont adoré la folie. Jeanne souvent se promenait avec sa mère. Modification du temps, l'incertitude portait. après le retour du voyage, Jeanne et Julien ne

entretien informel, semi directif afin de respecter la spontanéité du moment. Un entretien d’écoute de la personne en crise dit aussi entretien à chaud me semble le plus approprié dans cette situation. En effet, il permet de réduire l’état de crise, la souffrance psychique, de desserrer l‘angoisse de la personne, pour établir un minimum de contact. Aussi, lors de cet entretien, je mets en application les principes de Karl Rogers qui sont l'écoute active, l'empathie (capacité à comprendre ce que l’autre ressent