Soupirail

pénétrante S'infiltrer dans ses os. Jamais de feu ; la pluie inonde la lucarne ; L'oeil en ces souterrains où le malheur s'acharne Sur vous, ô travailleurs, Près du rouet qui tourne et du fil qu'on dévide, Voit des larves errer dans la lueur livide Du soupirail en pleurs. Misère ! l'homme songe en regardant la femme. Le père, autour de lui sentant l'angoisse infâme Etreindre la vertu, Voit sa fille rentrer sinistre sous la porte, Et n'ose, l'oeil fixé sur le pain qu'elle apporte, Lui dire : D'où viens-tu

chère… » eh bien, je le tue… Ou je lui ôte un œil. Ou je le mets dans la cave. KIKI-LA-DOUCETTE, pour lui-même. – Dans la cave ? Je considérerais cela comme une récompense, car la cave est un enviable séjour, d’une obscurité bleutée par le soupirail, embaumé de paille moisie et de l’odeur alliacée du rat… TOBY-CHIEN, sans entendre. – « J’en ai assez, vous dis-je ! » (Elle criait cela à des personnes invisibles, et moi, pauvre moi, je tremblais sous la table.) « Et je ne verrai plus ces

21. Mishima rabat au-dessus de lui la trappe de la cave, allume une ampoule pâlotte puis descend l’escalier de vertige où s’abîme son âme. Il tient à la main la carte postale hologramme d’Alan et sous la clarté de fin d’après-midi hivernal du soupirail, adossé contre un mur, il la lit : Chers maman, papa, je vous aime… Mishima en a le cœur traversé de lumière. Ce, parfois, rouleur de mécaniques au magasin ou à l’étage ne la ramène plus quand il est seul au fond de la cave à lire les mots de son

a un accident, mais conduit pas un voleur qui a braqué une banque et roulant a vive allure. Alors il se fait attraper. La perte du fruit d’un vol n’est pas une perte légitime. Deuxième exemple, un passant jette un mégot, ce mégot tomber dans un soupirail, alors provoque un incendie dans la cave où il y a une imprimerie de faux billets, tout brule, ce n’est pas un préjudice légitime. Selon la Ccass de la deuxième chambre civile : 24 janvier 2002, parle de licéité de l’objet perdu ; dans la même veine

– Il entr'ouvre son manteau, qui laisse voir un superbe pourpoint de satin rose brodé d'or. Les poches en sont pleines De billets doux au comte adressés par centaines. Souvent, pauvre, amoureux, n'ayant rien sous la dent, J'avise une cuisine au soupirail ardent D'où la vapeur des mets aux narines me monte. Je m'assieds là. J'y lis les billets doux du comte, Et, trompant l'estomac et le coeur tour à tour, J'ai l'odeur du festin et l'ombre de l'amour ! DON SALLUSTE. Don César... DON CÉSAR. Mon cousin

ma chère… » eh bien, je le tue… Ou je lui ôte un œil. Ou je le mets dans la cave. KIKI-LA-DOUCETTE, pour lui-même. – Dans la cave ? Je considérerais cela comme une récompense, car la caveest un enviable séjour, d’une obscurité bleutée par le soupirail, embaumé de paille moisie et de l’odeur alliacée du rat… TOBY-CHIEN, sans entendre. – « J’en ai assez, vous dis-je ! » (Elle criait cela à des personnes invisibles, et moi, pauvre moi, je tremblais sous la table.) « Et je ne verrai plus ces tortues-là

n’aura pas pensé au dehors. Vas-y et cherche. Je t’attends. Raoul n’écouta pas davantage. Il avait réfléchi et commençait à comprendre, depuis que Jodot avait parlé de la cave. Cette cave devait s’étendre d’un point à l’autre de la maison, avec un soupirail sur la rue, et un autre sur l’autre façade. La communication était aisée par cette voie. Vivement, il monta au premier étage dont une des chambres dominait le terrain vague, et, tout de suite, il constata la justesse de sa supposition. Au milieu

devant ses premiers critiques , Les Mouches et Huis Clos,Paris, Edition l’Harmattant, 2001, p.51 30 « Pourquoi te soucies-tu de ces hommes ? Dans six mois ils se terreront dans une cave et la première grenade qu’on jettera sur eux par un soupirail mettra le point final à toute cette histoire. C’est tout le reste qui compte. Le monde et ce que tu fais dans le monde, les copains et ce que tu fais pour eux53. » A travers ces paroles, on remarque que Canoris défend l’action politique. Pour lui

à la vue de tous, et notamment celle du propriétaire. Arrêt de la première chambre civile de la cour de cassation, 4 mai 1965 : possession d’une cave, qui a été considérée comme clandestine puisque l’accès à la cave se faisait par le biais d’un soupirail qui permettait une communication directe de l’immeuble du possesseur à la cave. S’agissant des servitudes, l'article 691 dispose que les servitudes continues non apparentes ne peuvent s’établir que par titre, la possession, même immémoriale, ne

d'œil chez Gregers ? GINA. — Oui, bien sûr. Ah, c'est gentil chez lui ! Il en a fait du propre, à peine installé. HJALMAR. — Comment cela ? GINA. — Il a voulu faire sa chambre lui-même, a-t-il dit. Et il a voulu faire du feu. Et alors il a fermé le soupirail au lieu de l'ouvrir, si bien que la chambre est pleine de fumée. Ouf, ça vous prend à la gorge, bon Dieu ! HJALMAR. — Allons donc ! GINA. — Mais ce n'est pas tout. Le pire, c'est qu'il a voulu éteindre, et alors il a vidé le pot à eau dans le poêle