Sourdine

amoureux ou Ninette à la Cour, comédie en deux actes mêlée d’ariettes, 1756) auquel Verlaine s’est intéressé grâce à Rimbaud. Le poème donne à entendre le frêle murmure (v. 7) de voix mystérieuses au sein d’un paysage-monde de sensations, un chant en sourdine hésitant entre « l’extase » et la plainte. L’histoire peut être celle de deux âmes anonymes (v. 16) ou d’une seule qui se confierait à elle-même sa tristesse. Ariette du balancement de Verlaine entre Mathilde et Rimbaud : « le symbole de la vie

proche de la nature, de lui-même, plus ses sens s’aiguisent, et il lui est donné alors, dans ces instants privilégiés, de voir en une parfaite harmonie, les collines infinies que cache l’épie silencieux. La poésie de Roud est, pour ainsi dire, en sourdine, en rondeur, loin des montagnes étriquées De Ramuz. Dans la campagne vaudoise, règne la rondeur du paysage, la douceur des champs de blé. L’écriture : Dans sa prose poétique, Roud prend la plume comme lyre et les mots comme divines mélodies. Il n’a

section. (8 points) 1 - 26 Partie A sol mineur 1 - 2 Courte introduction 3 - 6 Phrase a a 1 (antécédent de deux mesures) sol mineur a 2 (conséquent de deux mesures) (couleur modale) Contrebasse solo avec sourdine 7 - 10 Phrase a’ a 1 reprise variée sol mineur a 2 (couleur modale) Contrebasse solo/monnayage à l’alto solo 11 - 14 Phrase a a 1 seulement la première période élargie mi mineur Sax ténor/bassons/cor anglais

derrière la peur banale de tomber dans la rue peut exister une authentique agoraphobie. Ces peurs contiennent un incontestable appel à l’aide. C. L’hystérie L’hystérie évolue par cris des conversions et d’anxiétés. Entre deux crises, elle se met en sourdine ; on observe une persistance voire une aggravation des symptômes qui sont surtout corporels (crises émotionnelles, anesthésies, paralysies, boule dans la gorge), cependant l’existence d’une vie relativement épanouie permet généralement de les atténuer

mélodie simple facile à retenir, permettant de porter avec simplicité un message difficile à entendre, à faire accepter "je m'en vais déserter". Introduction et Coda : L'introduction est jouée par des instruments à vent, la trompette dominant (avec sourdine). Elle introduit sur un tempo lent et avec un caractère grave et solennel rendu par cette introduction pourrait évoquer des funérailles militaires. Strophe 2 : L'accompagnement instrumental change pour illustrer musicalement les paroles : "Quand

 l’innocence de la Beauté s’incarnant dans la diérèse: rien… etc.  ∙  Les  sonorité  se  veulent  aussi   musicales:  l’attaque  de  l’Incipit  sent  son Racine, avec ses   voyelles  très  fermées,  ses  deux  dentales  successives,  après  la  fricatives,  repris  comme   en  sourdine,  et  l’écho en reprise  du  deuxième:  tu.  Au  v.2 –ard est repris en assonance par –al, comme  le O d’apostrophe par celui de Beauté. Etc.  ∙  Le plan  est  de  même  très rigoureux,  très classique  – nous connaissons l’attention porté par  les 

le dancing et le fond sonore ; il y a bcp de détails sur le dancing , sur le timbre et le rythme des instruments de en plus en plus sonore et intense : dans le dancing « ses bâtons dansaient «  « les cymbale éclataient » « l’orchestre  jouait en sourdine »  «  les cuivres résonnaient ». Ce rythme de + en +rapide et soutenu se transmet au corps humain, à celui du musicien. Le corps du musicien est lui-même instrument de musique «  les bras et les pieds de Tommy volaient …  caressaient la batterie »

Janvier 2009) contribueront à faire de la flûte un instrument qui trouvera sa place en soliste (par ses qualités expressives) et en musique de chambre où elle se marie à merveille avec les nouvelles sonorités de ses collègues (piano préparés, sourdines diverses, ...) et n'est plus limitée par sa puissance. Les compositeurs aiment s'y intéresser car ses possibilités sont multiples. Ce qui rend en relation avec le compositeur d'autant plus enrichissant, l'instrumentaliste peut aider à traduire

des rencontres qui lui inspirèrent des personnages et même des chansons. A voir la tronche chafouine de « Bison Ravi » le jour de son mariage avec Michelle, c’est Boris qui enterrait sa vie libre et entrait en famille à reculons, en chantant en sourdine pour son épouse « Ne vous mariez pas les filles » ! Son esprit de corps ouvert se traduisait aussi selon l’équation pour le moins rationnelle dévolue aux arts et expressions en liberté, lorsqu’on lui posait la question sur la raison pour laquelle

>> créé une ambiance tendue, mystérieuse. trompette avec sourdine >> son très feutré, intimiste. Timbre vocal : voix puissante, émotionnelle, sensualité toujours présente, vibrato constamment contrôlé. « Sweet and fresh » (doux et frais) >> couleur harmonique différente. Accord final très coloré (accord mineur avec une sixte majeure). Introduction en 2 parties : - cymbales + cuivres (trompette avec sourdine >> son très feutré, intimiste) - puis piano avec contrebasse