Sourire

Qu’il est déçu. Il sent mon regard : - Pourquoi tu ne dors pas ? Tu devrais dormir tu sais, tu devrais abaisser ton siège et t’endormir. La route est encore longue… - Je ne peux pas, je lui réponds, je veille sur vous. Il me sourit. C’est à peine un sourire. - Non… c’est moi. Et nous retournons dans nos pensées. Et je pleure derrière mes mains. 2. Nous sommes garés devant une station-service. Je profite de son absence pour interroger mon portable. Aucun message. Bien sûr. Suis-je bête. Suis-je bête…

joie et le plaisir ne dépend pas de ce qui nous arrive, mais de ce que nous provoquons. Initier son rire et offrir un sourire, c’est prendre conscience de la responsabilité que nous avons d’être les auteurs de notre joie et de notre enthousiasme, de les cultiver et de les diffuser. Le rire est une énergie qui illumine le visage et le regard de ceux que l’on croise. Rire et sourire dans un atelier, nous rappelle que nous devons, tous les jours, utiliser ces outils pour notre bien être et celui de notre

poursuivre sa carrière d acteur qu il avait juger plus importante qu un avenir en famille.il n avait cependant visiblement pas encore percé dans le metier.je pense que sa mère ne s y est jamais remise mais elle avait tendance à le nier grâce à un sourire qu elle portait constamment sur le visage qui doit probablement lui servir de masque.C était profondément une bonne femme.quand à Taylor,nous n y avons jamais vraiment parlé.c était sans doute un des seuls sujets auquel en parler était ambigu autant

Exactement, je suis content que vous soyez du même avis que le mien. Merci de votre attention. Miss Woodard : Mais de rien. Je vous envoie M. Mungo. ( Elle sort tandis que monsieur Benson fume son cigare songeur. M.Mungo entre, des papiers à la main, tout sourire. ) Harvey : Alors avais-je raison ? A-t-elle rencontré un des hommes dont je vous avais donné les noms ? Mungo : Oui monsieur , (en souriant ) Harvey : Lequel ? Mungo : Elle a rencontré l'architecte. Harvey : Donald Arkwright ? Mungo : Oui monsieur

l’honnête homme : le respect et la tolérance. Pour être agréable, l’honnête homme a aussi un bon sens de l’humour : il est l’incarnation, aux yeux de ses contemporains, de l’élégance de l’esprit autant que de celle des manières. Il a un esprit qui fait sourire plutôt que rire. L’honnête homme est aussi très cultivé. Il est instruit de tout, voire expert de tous les domaines pour pouvoir discuter avec tous sans être pédant. Il doit toujours s’adapter à ses interlocuteurs, qui n’ont pas nécessairement une

« objets » différents, ils créent la dynamique de la scène nous obligeant nous aussi à déplacer notre regard. Le tricheur en portant son regard sur l’espace du spectateur nous implique en tant que témoin silencieux et donc complice de sa duperie. Son sourire en coin est une ultime provocation, il est là comme pour nous dire que quoi qu’il arrive : que l’on approuve ou non, tout se déroulera selon ses plans. L’espace laissé entre le tricheur et le jeune homme est juste assez large pour que l’on s’y installe

comme si elle n'avait pas compris et qu'elle en serait encore amoureuse, comme si elle mendiait quelque chose de quelqu'un qui l'a fait souffrir. Elvire semble toujours l'aimer, être encore sous son charme : elle "semblait lui réclamer un suprême sourire" alors que Don Juan considère que c'est terminé entre eux : "perfide", Elvire possède donc de la naïveté. Le grand homme de pierre est rigoureux : "tout droit", "armure", "coupait le flot noir" (le destin est comme un couperet), il représente le destin

tendresse. « L’homme s’assit près de la femme morte, lui caressa les cheveux et lui sourit » Il l’appelle « Mon amour. Mon amour. » Il colle même son visage au sien, dans le sang de sa bouche. Un photographe le prend « assis et souriant », son sourire témoigne de son détachement par rapport au crime commis, ou peut être alors ne se rend-t-il pas compte de ce qui se passe. Cela peut presque être un moment intime entre eux deux. Entouré par la foule, il continue tout de même ces gestes d’affection

une métaphore saisissante mettant en opposition la vieille femme et ceux qui la regarde. D'un côté il présente « une petite vieille femme », l.1 usée qui n'a fait que travailler et servir avec beaucoup de souffrances, ne sachant visiblement plus sourire, et de l'autre, il présente les « bourgeois  épanouis », l.18 et 19, qui sourient. Cette métaphore est mise en évidence par sa position en fin de paragraphe et par l'inversion du sujet «  ce demi-siècle de servitude », l.19, représentant la vieille

est belle est plus qu’un film, c’est une leçon de vie. De son titre original «La vità è bella», cette comédie dramatique se déroulant pendant l’holocauste nous enseigne les vertus de l’optimisme et du courage. Elle nous montre surtout que garder le sourire face à l’adversité et rire de ses problèmes est le meilleur moyen de les surmonter. Dans ce chef d’œuvre cinématographique, Roberto Benigni réalise l’exploit de nous faire rire aux éclats et nous laisser les larmes aux yeux dans le même film. Que