Sourire

ce qui, dans la situation, est humouristique parce que invraisemblable et ce qui, dans le personnage de Christian, est un peu ridicule. Étudiez les niveaux de langue et certaines images cocasses. En quoi certaines attitudes de Roxane font-elles sourire ? Explorez les différents procédés de l'humour : répétition, décalage, contraste... Présentation Introduction Amorce : À la fin du xixe siècle, la pièce d'Edmond Rostand Cyrano de Bergerac, histoire d'amour et d'amitié qui se déroule vers 1640

montèrent dans le bus, ils se dirigèrent vers l'emplacement ou il y a 4 places face à face... Natsu allait s'asseoir ailleurs mais Mira le retint par le poignet... Mira: Attend Natsu ça peut le faire mais si tu prend Lucy sur tes genoux... Natsu (sourire de pervers): Avec plaisir Lucy: et si moi je suis pas d'accord?   Natsu: Aller tu voudrais pas décevoir ton grand frère Lucy: Grand frère de malheur je te déteste Natsu (la regarde tendrement): Tes sûre Celle ci se mit à rougir, une fois arrivé au

sur le trottoir quand j’ai entendu un cri déchirant : une femme avait brutalement glissé dans la descente de la rue d’El Monte. Elle gisait à terre, apparemment blessée, quand un escadron s’est approché. L’un d’eux s’est avancé plus près encore, un sourire gouailleur aux lèvres et de son fusil il a soulevé la jupe rouge de la jeune fille. Je l’ai vu mimer des gestes obscènes. Mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai accouru. Je me suis retrouvé penaud face aux soldats, avec ma rage pour seule défense. Le

Il nous répond alors : «  Moi je m’appelle Jassim, tu as vu Marine le petit lapin à la télé ? » Je lui réponds en souriant : « Oh oui ! Qu’il est beau dis-donc, il est tout blanc. Tu aimes les lapins toi ? » L’infirmière me regarde avec un sourire et me dit : «  C’est la première fois que je l’entends parler, c’est super ! » Jassim surenchérit à son tour : «  Je crois que je vais le mettre plus souvent le masque, comme ça je pourrais plus vous parlez et ça sera mieux ! » L’infirmière :

calembour, un gag, une farce, un mot d’esprit ou même encore l’ironie n’aient pas forcément les mêmes impacts dans la relation. Transférabilité (utilité professionnelle/apports personnels/questionnements) : L’humour induisant le rire ou du moins le sourire nous apparaît utile dans la relation patient-infirmier. Il permet de désamorcer certaines situations embarrassantes, de baisser le niveau de stress des différents acteurs de la relation. Il peut aider au bon déroulement de la communication. En un

du DF5. Le choix de la personne J’ ai choisi ce résident qui est autonome mais avec de grande difficultés pour la marche. C’ est un homme souriant, agréable, sociable et respectueux avec l’ équipe. Il a attiré mon attention car malgré son sourire, il avait l’ aire très seul et ne voulait pas sortir de sa chambre. Pour comprendre son envie de s’ isoler, j’ ai l’ accord du resident puis sa participation de celui-ci pour qu’il me raconte son histoire de vie , qu’il me fasse par de ses besoins

d’une allusion à Lucifer, ange rejeté par Dieu en enfer après sa révolte contre le Tout-Puissant. Le bel étranger, qui a séduit Edwige, est d’ailleurs présenté comme un incube à la fin du récit. Bien qu’il soit souriant, « [son] regard et [son] sourire vous glaçaient de terreur et vous inspiraient l’effroi qu’on éprouve à se pencher sur un abîme » (p. 29), ajoute le narrateur. Pendant son séjour au château, il charme Edwige en chantant d’étranges chansons. Edwige « La pauvre Edwige » (p. 31) est

pour des causes plus ou moins importantes. Et pourtant ces gens n’ont pas le même rythme de vie, c’est à cause de… je ne sais pas. La ville, c’est le bonheur de certaines personnes et le réconfort des autres. C’est un « Bonjour » avec un petit sourire quand on passe à côté d’une personne. C’est l’attente des fêtes de fin d’année pour les éclairages de toutes les couleurs, les bâtiments illuminés et le bonheur dans les cœurs des enfants. C’est un feu d’artifice étincelant et dansant dans le ciel

première fois, la croix rouge vint à ma rencontre. Une jeune femme me proposa d’aller dans un centre d’accueil, je n’en avais pas l’envie mais je n’avais pas le courage de résister, je partis donc avec eux. J’avais perdu l’habitude de parler, de sourire, je restais avec une expression neutre fixant le sol de la camionnette, écoutant le bruit de la boite de vitesse. Je voyais le regard désolé de ma bienfaitrice et je voulais lui dire: « te fais pas de mauvais sang, je suis heureux, autant qu’un homme

est déçu. Il sent mon regard : — Pourquoi tu ne dors pas ? Tu devrais dormir tu sais, tu devrais abaisser ton siège et t’endormir. La route est encore longue... — Je ne peux pas, je lui réponds, je veille sur vous. Il me sourit. C’est à peine un sourire. — Non.., c’est moi. Et nous retournons dans nos pensées. Et je pleure derrière mes mains. 8 Nous sommes garés devant une station-service. Je profite de son absence pour interroger mon portable. Aucun message. Bien sûr. Suis-je bête. Suis-je