Souvenir De La Nuit Du 4 Conclusion

Electre de Giraudoux I) Lectures Analytiques - Lecture analytique 1 : Extrait de l’acte I Scène d’exposition - Lecture analytique 2 : Acte I Scène 8 - Lecture analytique 3 : Acte II scène V  - Lecture analytique 4 : Acte II scène VIII  II) Lectures cursives et documents complémentaires Etude intégrale d’une œuvre : Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée de Musset, Edition Flammarion « Une entrée dans l’univers de Musset » Objectifs Objectif

1289-… : Essaie quand même de se justifier puisque ce Dieu cruel (Aphrodite) s’acharne sur leur famille depuis que le So avait révélé ses amours coupables avec Arès. Ce n’est pas de sa faute, cette fatalité est la vengeance de Vénus en fait ! Conclusion : Phèdre perd la tête et annonce de sa mort (l.1294). Mais à la fin du passage elle n’a pas trouvé de solution puisqu’elle ne peut aller ni au Ciel ni aux Enfers. Opposition ombre et Lumière. http://opus-all.paris.iufm.fr/littecompa/racine/racine_frm

dimension autobiographique de cette évocation. En effet celui-ci débute sur une réflexion de l'énonciateur: « je pense à un enfant qui vécut (...) ». On relève certes la présence du pronom personnel de la première personne « je » mais ensuite les souvenirs de l' « enfant » sont évoqués à la troisième personne et Camus ne donne aucune indication précise pouvant aider le lecteur. Certes le système verbal employé rappelle le récit autobiographique : après les connecteurs temporels « maintenant encore

Texte n°4 : Excipit de la Peste, Camus Introduction Camus écrit son roman la Peste dès 1942, en exil, et le fait publier en 1947 ; c’est une œuvre dont la création s’enracine dans la période de la guerre. Elle appartient au « cycle de la révolte » dans l’œuvre d’Albert Camus (après le cycle de l’absurde). L’auteur refuse l’idée désespérante que la vie n’a pas de sens : la révolte est une réponse à l’absurde. Le roman prend la forme d’une chronique, c’est-à-dire d’un récit objectif et chronologique

galope "sans mors et sans rêne", il ne reste finalement qu'un squelette d'homme avec ses 32 dents. C'est un poème disposé en quintils (5 vers) selon une alternance 7/4, de 4 vers impairs de 7 syllabes et d'un dernier vers de 4 syllabes. Cette alternance de vers pairs et impairs ne se retrouve que dans "Chanson d'automne" avec une alternance 4/3. 1 Un cavalier fantomatique Un cavalier qui porte un glaive et un sablier (et non un bouclier comme on le voit souvent) ne peut que représenter la mort

branche, on l’a abattue Et jetée au feu – Et de nos protecteurs on a fait des bois de chauffage – Nous les orphelins gisons dans les champs de la solitude. Nous les orphelins Et notre plainte au monde : La nuit nos parents jouent à cache-cache avec nous – Derrière les plis noirs de la nuit Leurs visages nous regardent, Leurs bouches parlent : Nous fûmes bois mort dans les mains d’un bûcheron – Mais nos yeux sont devenus des yeux d’ange… Nous, les orphelins Portons notre plainte au monde :

LE LAC:LAMARTINE 2)le lac gardien du souvenir -le lac est le témoin personnifiée de vers 7 (regarde).le lac est aussi doué de la vue. -on fait appelle a la mémoire du lac -le lac a écouter les paroles de la femmes vers 19 (LE FLOT FUT ATTENTIF) -l'utilisation dun connecteur comparaison permet de faire le parallèle entre le passé et le présent employé 4fois le lac se souvient car il incarne la permanence puisque le temps de la nature est cyclique le décor n'a

métaphores. 2. Porte-parole des malheureux Deux catégories de malheureux défendues par le poète : * Prolétariat (cf. engagement communiste d’Aragon) : assimilation de l’intellectuel avec l’ouvrier, V. 4 ; métaphore filée ouvriers-oiseaux ; v.14, allusion au travail de nuit avec opposition « noir »/« point du jour ». * Victimes de la guerre, camps concentration/travail : référence v. 15, allusion religieuse ; métonymie « cuivres » pour musique de guerre. * Description d’un camp

justement dans un de ces accès de fureur qu'est arrivé l'évènement relaté par Maldoror dans l'extrait que nous allons étudier, la huitième et dernière strophe du chant 4. Cette strophe est un monologue et l'évocation d'un souvenir. On peut aussi considérer que c'est un dialogue entre Maldoror et son double, l'un voulant oublier le souvenir et l'autre n'ayant de cesse de se le remémorer .Cet extrait relate l'assassinat de Falmer par Maldoror, après que Falmer ai essayé de l'empêcher de tuer une femme.

comme Lamartine dans "Le lac" qui exprime ses faits et gestes : "Je viens seul m'asseoir sur cette pierre". Ou alors meme accompagné d'une muse, souffrant d'un mal, le poete se sent seul; "chere solitude" est l'appel que fait Alfred de Musset dans "Nuit d'octobre", maudissant celle qui l'a blessé. Enfin,le poete a peur qu'on l'oublie, ce qui le fait souffrir. C'est ce que Victor Hugo exprime dans "Tristesse Olympio", "d'effacer notre trace et d'oublier nos noms" est la peur qu'il a face à ses proches