Souvenir De La Nuit Du 4

France ce montre par l’utilisation d’adjectifs mélioratifs pour le jardin de France, sous forme du champ lexical du silence et du repos « Calme » v 1 « Grave » V.2 , tendres, pensives V.9, Gestes délicats V.11 gestes apaisants v.12 et le nom « nuit » v.4 alors que l’Afrique est qualifiée par des adjectifs pour le moins péjoratifs, on observe donc les adjectifs mis en parallèle par le champ lexical de la vivacité, du bruit, tel que « bondissant » v13 et 15, « véhément » et « lancinant » v.15. Ensuite

que le passé évoque les moments vécus. L’imparfait ( strophes : III , IV ) insiste sur la durée des actions, donc il indique un prolongement des états sentimentaux. Le passé simple ( vers : 19, 20 ) accentue le caractère laconique et imprévu des souvenirs. À partir du vers 20, on repère l’impératif présent ( « Suspends ton vol, et vous, heures propices ! » ) et dans le début des trois dernières strophes, on perçoit le subjonctif présent ( « Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages » )

personnel mais universel, et contemporain mais se référant au passé pour ordonner le présent par les souvenirs. Formellement, le poème installe une atmosphère floue et difficile à cerner dès le début. La métrique des vers oscille entre le vers libre et l’alexandrin, avec parfois des quatrains entiers composés d’alexandrins et puis d’autres strophes qui ont des vers avec aussi peu de syllabes que 4 ou autant que 17. De plus, il n’y a pas beaucoup de régularité dans l’enchainement de ces différents

un  manque profond et  une  solitude  éperdue  (comme la  mort d’un être cher). C’est  donc  sous  le  thème  de  la  nostalgie  que  nous  avons  choisi  de  créer  notre  anthologie poétique.  Dans  la  nostalgie,  on  retrouve  les  thèmes  du souvenir, du  regret  ou encore  de  l’amour.  Chez les poètes,  la  plupart  des  textes nostalgiques  parlent  de l’amour passé  tel  que  par  exemple  les  poèmes  de  Verlaine,  la  mort  avec  Victor  Hugo  ou  bien  encore  l’exil  où  l’on  peut citer Joachim 

venait toujours après la peine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente   Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

l’instant » • « Saint-Denis » • « Je ne connaissais pas Paris le matin » • « Les voyages en train » Dans l’album Enfant de la ville : • « Pères et mères » • « J’écris à l’oral » • « Enfant de la ville » • « La nuit » • « J’ai pas les mots » • « Le blues de l’instituteur » ÉCRITURE : Pour soi : Prise de notes à partir d’un support écrit et d’une communication orale ORAL : Diction (suite) : Lecture à voix haute et récitation de poèmes ayant

lallalllaXVII / (172-177) : les voisines dehors, reste le docteur – à la clinique, puis 4 h d’attente – Léon Castrie et Gugusse (avec son bras gche amputé) – l’enfant sauvé ; mais la mère a perdu trop de sang – pdt ce temps, Mierck et Matziev cherchent un coupable. XVIII / (178-202) : 2 déserteurs arrêtés le matin du 3 – hués par la foule menaçante – la foule demande au maire les déserteurs (qu’elle prend pr les assassins de la petite) – en entendant le nom du juge, la foule, apeurée, se calme

dimension autobiographique de cette évocation. En effet celui-ci débute sur une réflexion de l'énonciateur: « je pense à un enfant qui vécut (...) ». On relève certes la présence du pronom personnel de la première personne « je » mais ensuite les souvenirs de l' « enfant » sont évoqués à la troisième personne et Camus ne donne aucune indication précise pouvant aider le lecteur. Certes le système verbal employé rappelle le récit autobiographique : après les connecteurs temporels « maintenant encore

émerger. Pour se consacrer à son projet, il se retire du monde, cloîtré dans sa chambre noire, fuyant les visiteurs, dormant le jour et veillant la nuit (idée romantique du génie). P. consacre donc sa vie à la Recherche de son moi. A ses yeux, c’est la réalité de notre vie qui s’exprime dans la démarche artistique. ANALYSE DU TEXTE (pag. 3-4-5) Cet extrait est l’ouverture de la Recherche et de sa première partie, « Combray ». Combray (d'après le nom littéraire donné par Proust à son

tristesse au poète, mais qu’elle semble pourtant indispensable à ce dernier, car elle lui permet de revivre par de puissants souvenirs la force d’un amour romantique (161) D’autre part, la nature tient le rôle d’une confidente dans l’ensemble de cette œuvre. (I.S.2) En effet, la solitude vécue par le narrateur l’entraine à partager avec les éléments de la nature les souvenirs de sa relation amoureuse. (I.E.) Tout d’abord, on constate que le poète tutoie le lac, comme s’il s’agissait d’un confident