Souveraineté populaire

des monarchies et de systèmes aristocratiques ; la volonté divine, cas des théocraties mais aussi de la monarchie de droit divin ; l'expression du droit des peuples et des individus (souveraineté populaire) ; c'est le cas des démocraties mais aussi de régimes autoritaires mais se réclamant de la volonté populaire (certains régimes fascistes) ; le mérite et la qualité des dirigeants. C'est la théorie induite par les régimes gouvernés par les « sages » (cas de certains pouvoirs locaux ou tribaux)

parlement n'est pas un congrés d'ambassadeurs representants des interets divers et hostiles , c'est l'assemblée deliberante d'une nation n'ayant qu'un seul et même interet en vue de la nation " . C'est donc l'assemblée et non les elus qui exercent la souveraineté nationale. Il est ecrit dans la constitution de 1791 " les representants nommés dans les departements ne seront pas représentants d'un département particulier mais de la nation entière. Les representants sont donc indépendants des électeurs , il

homme choisi par volonté populaire + « appel du peuple » => confirmation de la légitimité→ bonapartisme = négation des pvs intermédiaires, s'oppose à l'orléanisme libéral des notables → goût pour l'autorité, mais se réfère (comme les républicains et les orléanistes) aux principes de 1789, fonde son pv sur la souveraineté pop, pas seulement sur la souveraineté nationale→ formule du « césarisme démocratique » : gouvernement fort qui s'appuie sur la la souveraineté populaire et le s.uII. L'héritier

en cause. Puis, dans le second paragraphe, « la constitution a pour objet de définir la manière dont s’exerce la souveraineté » est une allusion direct à l’article 89 ou les modalités de la révision de la constitution sont inscrites et ou la consultation des représentants est clairement inscrite. Ne pas les consulter serait pour le peuple, un refus de lui laisser exercer sa souveraineté. II- … Et se veut garante de la République en incriminant le projet présidentiel à travers le gouvernement

évidemment le plus souvent la figure des lobbies économiques et groupes de pression divers. Cette réforme voulue par Nicolas Sarkozy et votée avec empressement par la gauche répond à la volonté d’inspiration anglo-saxonne de limiter la souveraineté populaire en l’encadrant par des normes supérieures protégées - et surtout interprétées - par des magistrats indépendants. D’où le risque d’un « gouvernement des juges », qui viendrait concurrencer les représentants élus du peuple souverain, en exagérant

des monarchies et de systèmes aristocratiques ; la volonté divine, cas des théocraties mais aussi de la monarchie de droit divin ; l'expression du droit des peuples et des individus (souveraineté populaire) ; c'est le cas des démocraties mais aussi de régimes autoritaires mais se réclamant de la volonté populaire (certains régimes fascistes) ; le mérite et la qualité des dirigeants. C'est la théorie induite par les régimes gouvernés par les « sages » (cas de certains pouvoirs locaux ou tribaux)

cet essor du capitalisme et de cet accroissement des inégalités fut l’émergence, d’abord timide, d’une volonté populaire de participation au pouvoir politique. Le résultat était la transformation graduelle ou suite à des révolutions violentes, selon les pays, du suffrage censitaire (lié à l’argent et à la propriété) au suffrage universel (lié au principe de la souveraineté populaire). Cette transformation a donné naissance, à son tour, à la démocratie représentative fondée sur deux nouveaux

associations politiques = conserver droits de l’homme grâce : ➢ A un pouvoir démocratique (demos souverain) : JUSTICE (isonomie = loi même pour tous) et à la publicité (culture des délibérations publiques : souveraineté populaire qui légitime le pouvoir dans les Etats démocratiques). ➢ A la souveraineté de la loi (droits du citoyen). L’implication politique de la conservation de droits de l’homme pose le problème des critères de citoyenneté : □ De qui est constitué le demos ? ← Critères de citoyenneté :

exercée par une personne ou un groupe de personnes dans une société, dans le but d'organiser celle-ci. La cohérence d'un projet politique est assurée par un pouvoir politique qui mène cette action. Ce contrôle peut être fait à l'encontre de la volonté populaire (dictature) ou au nom du peuple, c'est à dire par et pour le peuple (démocratie). A ce niveau, il est questions de systèmes et de régimes politiques, qui méritent deux fiches supplémentaires! Il faut commencer par définir ce pouvoir politique, puis

représentation: les représentés élisent des représentés qui élisent des représentants.... l'efficasité de la volonté populaire va décroissante dans la démocratie directe, représentative à mandat impératif, représentation libre a double degrés. L'extenssion de l'influance de la volonté populaire, quels sont les organes de l'Etat soumis a l'influence de la population? 1. la chambre populaire elue par le corps electoral. ( Bundestag en All, chambre des communes en GB ). Dans les systémes bicaméraux,