Souveraineté Et Suzeraineté

au communisme. Section 2 : L’affirmation contestée de la souveraineté. §1 : La notion de souveraineté. A. L’étymologie de l’histoire de la souveraineté. La souveraineté est un concept utilisé dès le Moyen âge (en France dès le 13ème siècle) pour renforcer le pouvoir du roi. Le concept est construit par des juristes attachés au à la personne du roi pour renforcer son pouvoir. Il s’agit alors de se substituer au terme de suzeraineté. Structure féodo-vassalique, en dernier ressors le suzerain

/ communautarisme). 4) Quelle place pour la volonté politique face aux contraintes de l’économie ? Articulation entre démocratie et économie de marché. 5) Notion de justice sociale : illusion ou prolongement d’une liberté ? 6) Souveraineté politique et possibilité d’une forme de gouvernement non national (ex. au niveau européen). 7) Question de la fin de l’histoire : la démocratie libérale serait la forme ultime d’organisation politique. 1ERE PARTIE AUX

prospérité commence. Le bouddhisme, qui s'est lentement introduit en Chine depuis le premier siècle, devient la religion dominante et est largement adoptée par la famille impériale. L'empire chinois des Tang, grandi des territoires placés sous suzeraineté chinoise, fait de la Chine une puissance régionale majeure dont l'influence s'étend à toutes les populations d'Asie centrale. L’emprise de la dynastie s’étend en effet de la Corée au Ferghana et de la Mandchourie au Viêt-Nam. Mais les Tang finissent

de la suzeraineté à la souveraineté. Passage d’un lien personnel qui pouvait unir le chef et ses hommes, à un lien patrimonial. Roi des Français et roi de France. Roi des français ( lien perso avec la pop/vassaux)/ roi de France ( rattaché à un territoire, dès lors la pop n’a plus cette relation personnel mais est toujours sous cette autorité/ plus de relation perso des vassaux/ le roi est mort, vive le roi) Les premiers Etats qui apparaissent en Europe sont des lieux ou la souveraineté va s’installer

capétien » Introduction : le « miracle capétien » (987-1328). Les quatre plus grandes figures royales du Moyen Âge français : Philippe II Auguste, Philippe IV le Bel, saint Louis IX, Charles VII. I – « Primus inter pares » : l’affirmation de la suzeraineté royale A – Une summa potestas conquise par la gestion du domaine 1 – Un domaine aggrandi selon les usages féodaux a – La théorie de la pyramide féodale (abbé Suger) b – Les moyens d’annexion des grandes seigneuries 2 – Un domaine

conseillés et ils s'unissent étroitement au roi qui leur fait confiance, mais le roi peut également s'adresser à tout ses hommes libres qui vont se réunir en assemblé politique. Paragraphe 2 : Les assemblées C'est l'assemblé qui détient la souveraineté, le roi doit s'appuyer nécessairement sur ces assemblées qui réunissent tout les hommes capables de porter une armes, ils exercent une fonction de conseil et ils décident également de la paix ou de la guerre. A l'origine ces assemblées sont des

de Chine s’appuie aussi sur les patrouilles du général Wu Sheng dans la mer des Xisha (Paracels) vers 1710 et sur le débarquement en 1909 de l’amiral Li Zhun sur l’île de Phu Lam (île Boisée) de l’archipel des Xisha (Paracels) pour affirmer sa souveraineté sur ces îles. De son côté, le Viet Nam prétend que dès le XVIIème siècle, le Dai Viet (ancien nom du Viet Nam), servi par la marine des seigneurs Nguyen, très puissante puisqu’elle aurait vaincu par deux fois les Hollandais, aurait découvert et

depuis que le roi a été déclaré incapable de gouverner lui-même. La guerre civile divise la France, d'autant plus que l'Angleterre soutient tour à tour les deux camps : un traité est signé avec les Armagnacs, qui cède la Guyenne et reconnaît la suzeraineté d'Henri IV sur certains territoires car ils craignent une alliance avec les Bourguignons, qui est effectivement envisageable car ces derniers dominent la Flandre, qui a besoin pour ses drapiers de la laine des moutons anglais. Rendu maître de Paris

section. Pui dans la seconde section, on voit que la monarchie affiche un redressement notamment à la fin du 12e siècle et les capétiens vont tenter de restaurer la grandeur de Charlemagne. Section 1 : les faiblesses du pouvoir centrale : une suzeraineté qui reste théorique. Au moyen age, le roi n'est plus souverain. Il n'est que suzerain. Il est obligé d'exercer une autorité médiatisé, mis en obstacle, par les liens personnels. A coté de cela, en pratique, le roi n'est même pas totalement suzerain

patronale. 2) Monarchie patronale Cela veut dire que pour ces sujets le Roi est un patron. C’est à dire un maître qui exige l’obéissance et qui assure la protection, “Je te protèges tu m’obéis”. La souveraineté royale a une base personnelle et non pas territoriale. Il s’intitule rois des francs: Rex Francorum. Donc c’est vraiment une relation personnelle. Ce lien s’exprime par un serment de fidélité qui crée ce lien personnel d’engagement appelé Leudesamio