Spectateur Valet

Arlequin séducteur Cinquième mouvement l. 30. Le deuxième aparté de Silvia Premier mouvement l. 1 à 9. La rencontre - C’est Arlequin, le valet de Dorante déguisé, qui s’exprime en premier, il interpelle son faux valet (Dorante travesti en Bourguignon – on notera au passage ce que ce surnom suggère du peu de considération humaine et sociale des valets à cette époque) avec une phrase exclamative et une apostrophe. Sa première intervention est une première balourdise puisque la question qu’il

fourberie de Scapin : extorquer à Géronte une somme qui permettra à Léandre de racheter Zerbinette aux Egyptiens qui la retiennent. Axes de lecture Une scène comique : Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle ; Le rôle du valet : la stratégie de Scapin. I. Une scène comique : un cruel dilemme pour Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle. (1) Le comique de situation Au début de l'acte II, scène 7, Scapin commence par jouer le drame : les didascalies

esclaves et une pièce de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro. Ces trois auteurs, bien qu’étant de courants littéraires différents, dépeignent tous la relation entre le maître et le valet. Nous allons donc montrer que ces extraits cherchent à la fois à faire rire le spectateur mais aussi à le faire réfléchir sur la relation maître valet. Le comique est présent sous différentes formes dans ces extraits. Tout d'abord le comique de caractère est très présent dans les Fourberies de Scapin où le maître

II) Le motif du couple valet / maître Il est présent dès cette première scène, sans qu'intervienne néanmoins d'emblée le thème du changement de costume. Ce motif est d'emblée placé sous le signe du changement (essentiel du ressort dramatique de la pièce). Après avoir compris le lien qui unissait le valet à son maître, le spectateur assiste à la fragilisation progressive du pouvoir du maître, qui trouve son aboutissement dans la revendication finale d'Arlequin. Le rôle du langage : au début

effet, dans la première scène très brève et sans informations, Dorante est accueilli dans l’antichambre d’Araminte par son valet Arlequin. A la scène 2, nous assistons à un dialogue entre Dorante, jeune bourgeois désargenté et neveu du procureur Rémy et son ancien valet Dubois, maintenant au service d’Araminte. Dubois veut présenter Dorante, qu’il estime fort, à Araminte

théâtre de Marivaux. Dans cette pièce, le mélange des genres se trouve sur tous les plans : les personnages grecs et le naufrage tendent vers une tragédie mais l’œuvre est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges des rôles entre maîtres et valets, aspect comique du personnage d’Arlequin. La fin de la pièce n’est en fait que le retour au début de l’histoire, ce qui est le propre de la comédie. Première représentation : La première représentation a lieu en 1725. Type œuvre : C’est une œuvre

Commentaire composé Les fourberies de Scapin est une comédie de Molière qu'il publie en 1671. Scapin s’était juré de se venger de son maître et profite de l’attaque imaginaire de poursuivant pour le mettre dans un sac. Scapin donne au valet l’image d’un homme loyal et fidèle qui est prêt à tout pour protéger son maître. En effet, il fait mine de ne pas savoir où est Géronte comme s’il le protégeait d’une éventuelle « attaque » de ses rivaux imaginaires. Scapin prend l’avantage, puisqu’il

quarantaine de pièce, entre autre pour la comédie italienne. On retrouve premièrement les prénoms des personnages aux consonances italiennes tel que Silvia ou Mario. De plus le valet est un des personnage stéréotypé de la Commedia dell’Arte: Arlequin, le valet balourd. C’est d’ailleurs pour cela que lorsque Dorante se fait passer pour un valet, ne voulant pas s’abaisser au point de prendre le nom d’Arlequin, il se fait appeler Bourguinion. Enfin le badinage très présent dans la pièce est un thème récurrent

activités plus ou moins rentables, métiers précaires, et après avoir échoué dans la carrière du théâtre, il devient barbier. Le valet cherche à remettre en cause l'ordre social. II - Le registre comique. Le pari du comte est risqué: en donnant la parole à Figaro, il lui accorde une liberté qu'il aura du mal à maîtriser, le comte est le premier spectateur de son valet et le premier à rire de son sens de la répartie et de sa vivacité d'esprit, jeu de mots ... Le comique repose sur des effets de

illudere : se jouer de) est une interprétation erronée d’une donnée sensorielle : un mirage, une vision, un trompe-l’œil. Dans cette œuvre, l’illusion se traduit par le fait que l’erreur est toujours possible, Corneille cherche ainsi à surprendre le spectateur. Les personnes se trompent et sont trompés, sur eux et sur les autres. La pièce est basée sur des apparences trompeuses: les repères de temps et d’espace ne sont pas définis. I) Une atmosphère de mensonge II) Le temps et le lieu indéfinis III)