Spectroscopie ultraviolet-visible

.................................................................. 5 1.1. LA COMPLÉMENTARITÉ AVEC LA SPECTROMÉTRIE IR ..................................................................................... 5 1.2. LES LIMITES DE LA SPECTROMÉTRIE UV-VISIBLE ........................................................................................... 6 1.2.1. Domaine spectral utilisé...................................................................................................................... 6 1

Phys 1 Ondes électromagnétiques I - GÉNÉRALITÉS. 1. Diversité des ondes électromagnétiques. Une très grande diversité : Ondes lumineuses visibles, allant du rouge au violet, seules radiations perceptibles par l'oeil humain. Rayonnements lumineux infrarouges et ultraviolets, rayons X et rayons γ, micro-ondes … Plusieurs modèles pour étudier les ondes électromagnétiques : • Aspect géométrique: Les rayons lumineux, sont les directions de propagation de la lumière. Ce modèle suffit pour

qu'il reçoit — rien ne passe au travers et rien n'est réfléchi. Ceci ne dépend ni de la longueur d'onde du rayonnement, ni de l'angle d'incidence, ni d'un quelconque autre paramètre. En particulier, puisqu'il absorbe toutes les couleurs du spectre visible, un tel corps serait noir, d'où son nom. Cela ne signifie pas pour autant que le corps noir n'émet pas d'énergie : dans un état stationnaire (caractérisé par une température constante), il émet autant d'énergie qu'il en reçoit. Seulement, le spectre

Applications et notes De nombreuses raies dans le Décharge électrique visible et jusque dans l'UV et l'IR. Recherche scientifique. 337,1 nm Décharge électrique Stimulateur pour LASER à colorant organique, mesure de la pollution de l'air, recherche scientifique. LASER à monoxyde de carbone de 2,6 à 4 μm, de 4,8 à 8,3 μm. Décharge électrique Usinage des matériaux (gravure, soudure, etc.), spectroscopie photo acoustique. LASER à excimère 193 nm (ArF), 248 nm (KrF)

temporairement visibles . . . . . 2.1.5 La Voie Lact´e . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2 Le ciel au travers d’un instrument . . . . . . . . . 2.2.1 Les plan`tes lointaines et les petits corps du e 2.2.2 Les amas ouverts ou amas galactiques . . . 2.2.3 Les amas globulaires . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Les n´buleuses . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.5 Les galaxies et amas de galaxies . . . . . . 2.2.6 Les quasars . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Les objets non visibles . . . . . .

pression du pouce IV.1.2. L’analyse sensorielle IV.2. Les méthodes de laboratoire IV.2.1. Les mesures instrumentales classiques IV.2.2. Les mesures analytiques IV.3. Les nouvelles méthodes de mesure de la tendreté IV.3.1. L’analyse d’image IV.3.2. La spectroscopie de fluorescence IV.3.3. L’impédance électrique 10 10 10 11 11 11 12 13 13 14 14 V. NOUVEAUX INDICATEURS DE LA TENDRETÉ DE LA VIANDE V.1. L’analyse protéomique V.2. L’analyse génomique 14 15 15 CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE 16 17

contre le mouvement de la Terre. Pour Giordano Bruno, le mouvement et changement sont des signes de perfection. Dans un dialogue portant sur « l’Univers infini et les mondes », il affirme qu’il y a assurément d’autres soleils dans l’univers infini, visibles sous l’aspect de petits points lumineux brillants, que sont les étoiles. Giordano Bruno paya de sa vie son insolence face à l’Église. Il fut brûlé sur un bûcher lors de l’Inquisition. • Kepler renie l’infinité de l’Univers. La conception de l’infinité

Travaux Encadrés Responsable : Christophe Petit Coordinateurs : Jérémie Caillat Franck Ferreira Secrétariat : Maria Costa-Slimani e ATRIUM, 4 étage, pièce 420 ! 01 44 27 30 28 Sommaire Séance 1 Constitution des atomes – Spectroscopie I 1 Séance 2 Spectroscopie II – Structure électronique des atomes 4 Séance 3 Tableau périodique des éléments 6 Séance 4 Liaison chimique – Orbitales moléculaires I 9 Séance 5 Orbitales moléculaires II – Schémas de Lewis des molécules 11 Séance 6

est le phénomène limitant la résolution d’un instrument d’optique. 2 La longueur d’onde de l’onde de matière associée à un électron dans un microscope électronique est plus faible que les longueurs d’onde des radiations appartenant au domaine du visible. Or, le pouvoir de résolution est de l’ordre de grandeur de la longueur d’onde de l’onde utilisée dans un microscope. Celui du microscope électronique sera donc meilleur que celui d’un microscope optique. © Hachette Livre, 2012 – Physique Chimie

48 II.2.1.3. Les différents types de réacteur PECVD......……………..…................... 49 II.2.1.4. Le réacteur PECVD de l’INL………………………...........……………. 50 II.3. Méthode de caractérisation…………………………………………..…………… 51 II.3.1. Spectroscopie Ellipsométrique et caractérisation…………….......................... 52 II.3.1.1. Principe théorique……………………………………………………….. 52 II.3.1.2. Ellipsométrie photométrique…………………………............................. 53 II.3.2. Caractérisation