Spinoza Comme La Vraie Fin Des Lois

savoir ce qui fonde, ce qui justifie nos connaissances et nos actes. La raison s’exprime aussi bien dans la science que dans la morale. La raison est la faculté de fonder des lois universelles, des lois qui valent toujours et pour tous. Or la croyance n’est qu’opinion spontanée, subjective. On ne sait pas si elle est vraie ou fausse. Une opinion, c'est ce que je crois être vrai, ce dont je suis persuadé, sans être capable d'en apporter la preuve. Je peux toujours me tromper. La croyance est donc

par son principe du tiers-exclu : de deux propositions contradictoires, l’une est vraie, l’autre fausse. Aristote s’éloigne de Platon en parti par la critique du statut des Idées : pour Aristote, par la logique, il n’y a pas de séparation entre notre monde, sensible, et le monde des Idées. Car les Idées étant inconnaissable ne peuvent nous permettre de connaître ce dont elle sont les Idées… De plus, elle si comme pour Platon, elles sont immobiles, comment peuvent elles rendre compte du mouvement

Aristote, justement parce que le bonheur représente en général l'ensemble des biens souhaitables… Le Bonheur pourrait se définir comme la satisfaction complète et durable de tous nos désirs, ou à défaut des plus importants. C'est en quoi il faut le distinguer des simples plaisirs passagers, et même de la joie. On le considère en général comme le but de la vie, voire comme l’équivalent d’une « vie réussie ». Mais qu’est-ce qu’une vie réussie ? Ce qui représente pour moi la réussite peut bien représenter

La raison et le réel La sagesse, la connaissance vraie… Attitude philosophique → refuser la première version du réel qui est trop naïve. Ils veulent élaborer une version plus lucide par jugement, interprétation et construction en contact avec le réel. Même si le réel ne leur semble pas propice tel quel à la réflexion, les philosophes ne veulent pas pour autant le fuir ou aller ds un autre réel. Ils veulent donner un sens au réel, le comprendre. Les sciences confirment ceci : on ne peut pas se

croyant que ses parents adoptifs sont ses vrais parents, apprend cette même prédiction et, échappant à ses parents adoptifs, se retrouve à effectuer les actions qui lui avaient été prédites. En cherchant à échapper à son destin, il l’a accompli. Ainsi, comme Oedipe, nous pourrions nous demander si accepter notre destin, ou plutôt si notre avenir est déjà écrit nous permettrait-il de nous libérer ? Suffit-il de prendre conscience que nous sommes déterminés pour nous libérer ? Autrement dit, se rendre compte

Apprendre à s'étonner -travail : pourquoi faire quelque chose de pénible pour être heureux ? -alcool, fumer... on aimes les choses mauvaises -le masochisme -religion : on adore un être qu'on ne voit pas -la démocratie : plus de hiérarchie comme chez les animaux, or tout le monde n'a pas les mêmes compétences politiques -pudeur + interdiction de l'inceste -guerre -homosexualité, fétichisme. -perversions « l'homme est le seul être qui boit sans soif et qui fait l'amour en tout temps »

l’activitéD) Revenu de solidarité activeE) Revenu de survie assistée8) Lequel de ces éléments n’est pas considéré comme un facteur permettant de différencier l’Etat de toute autre forme d’organisation politique dans la définition de Max Weber?A) Le territoireB) La richesse économiqueC) La démographieD) Les frontièresE) Le contrôle du territoire9) Quel article de loi affirme le principe de pluralisme comme constitutif de la démocratie ?A) L’article 4 du Préambule de la Constitution de 1958 B) L’article 6 de

français et professeur émérite de l’université de Nantes Dans cet extrait L’auteur dégage une conception stoicienne de la liberté, cette conception est l’héritage de notre conception moderne de la liberté. la vision stoicienne entrevoit la liberté comme l’opportunité pour l’homme de déterminer ses actes lui-même, il est libre de ses pensées, de ses initiatives. L’homme « avisé » ne dépend que de lui-même , ses actes, ses actions ne peuvent etre influencés par aucune personne ou groupe social. Selon

démontre pas et qu'il prend pour fondement. Ainsi les mathématiques ne sont pas totalement rationnelles. Il faut donc accéder au second degré de l'intelligible qui nous permettra d'accéder à la réalité des Idées. La méthode ne sera plus déductive, comme en mathématiques, mais dialectique. Celle-ci élève l'âme progressivement du sensible vers les idées qui le fondent jusqu'à atteindre le véritable fondement qu'est l'idée de Bien. Platon fait du bien non pas une idée morale mais un principe métaphysique

Baruch Spinoza (1632-1677) Spinoza élabore une éthique de la joie. Le but de la vie, selon lui, n'est pas d'être malheureux (comme y invite le christianisme : il faut se repentir, souffrir pour expier la faute originelle, etc.) mais d'être heureux. C'est-à-dire chercher à accroître sa puissance, chercher ce qui nous est vraiment utile (l'utile propre). On pourrait y voir une éthique égoïste. Mais c'est surtout une éthique de la raison. D'ailleurs pour celui qui utilise sa raison l'utile propre