Spinoza Pour Former L état Une Seule Chose Est Nécessaire

un discours qui ne peut être dit autrement, qui est sans réplique, qui s’appuie sur l’ethos et le pathosautant que sur le logos, ne contredisent-ils pas en effet les exigences de traductibilité multiple, d’ouverture aux objections et d’appel à la seule raison qui sont au fondement de la construction du savoir ? Certes, l’empire de la rhétorique demeure dans tous les domaines où il s’agit de persuader, de la publicité à la politique en passant par le prétoire ; mais il ne s’étend pas jusqu’aux sciences

sur un bien commun imaginaire. Les passions sont combattues par d'autres passions, d'où la crainte des lois. Le bien se fait synonyme de bon relatif à des lois établies par convention comme production imaginaire. Il y a bien là une anthropologie (Spinoza). • Genèse La gloire et l'orgueil ne sont que le résultat des passions primitives (la reproduction de l'espèce n'étant qu'épisodique et sans valeur morale). Pour opérer le passage à l'état civil, l'instinct de conservation comme

façon plus ou moins consciente les règles de la culture, ses manières d’être. La question de la culture de soi : Si être cultivé signifie être éduqué, on peut penser aux modèles grecs classiques : l’éducation à sa fin en elle-même. Il s’agit de former des hommes libres dans et part l’exercice des arts libéraux comme la philosophie, la rhétorique, les mathématiques, la musique. Par là nous devons penser l’étude comme un temps de loisirs et non pas un temps de travail : chercher à vivre en homme

moyen d’émancipation sociale et politique des civilisations. C’est le début d’une rationalisation du fonctionnement des cités. Chez l’ensemble des auteurs, la genèse de ces lois communes se font au détriment des règles familiales , on passe à autre chose qui devient un projet pour la Cité, on va donc le teinter d’idéologie, cela correspond à l’œuvre des grands législateurs de la fin du VIIeme siècle avant Jésus-Christ, comme Lycurgue à Sparte et Solon à Athènes mais aussi Dracon et Périclès.

croyances sont devenues polythéistes, comme chez les grecs anciens : Zeus est responsable de la foudre, Poséidon est responsable des séismes et des ouragans.3 Finalement, la religion monothéiste est arrivée, celle qui correspond à la majorité des formes de croyances actuelles (christianisme, islam). Néanmoins, certains peuples indigènes qui gardent leurs traditions ancestrales sont encore pratiquants de ces religions « primitives ». Pour en revenir à l’apparition de la religion par la pensée, l’être

métiers ». L’art est dès lors généralement associé à l’habileté et au savoir-faire qui caractérisent le producteur compétent, le maître, l’expert. Car toute production suppose non seulement la maîtrise des règles nécessaires au bel ouvrage, mais aussi la répétition patiente des gestes qui seule peut accroître l’adresse de l’artisan. On ne devient alors un maître qu’en s’attachant à un autre maître auprès de qui, par l’exemple et l’imitation, on pourra s’exercer à produire… Ce sens ancien du terme renvoie

il soumet l’homme à la matière et aux commandements d’autrui. Au travail s’oppose la philosophie, la politique, le sport. D’une manière quelque peu similaire, l’action s’oppose à la technique (Aristote). Cette dernière vise la production de quelque chose qui lui est extérieur (ex : construire un bateau), tandis que l’action a une fin qui réside en elle-même (ex : agir avec prudence). 3) La maîtrise de la nature : À l’orée de l’âge moderne, les progrès scientifiques et philosophiques conduisent les

philosophie comme celui dans lequel il les a abordées, et même comme celui dans lequel on doit les aborder : jamais la découverte de fait, la constitution historique du système ne sont niées (comme ce sera, par exemple, le cas dans l’Éthique de Spinoza) au profit du système lui-même ; jamais elles ne disparaissent en lui : elles demeurent, sans cesse rappelées et reprises. C’est donc Descartes, et non quelque préjugé psychologique, qui nous engage à examiner l’ordre historique dans lequel sont

> Question constante: que pense Nietzsche ? => chaque perspective est un masque : présenter une pensée mais qui n’est pas tout à fait sa pensée car dans une autre perspective, on pensera autre chose. Néanmoins Nietzsche respecte le principe de contradiction selon lequel il est impossible d’énoncer deux propositions contraires dans le même temps et dans le même rapport >

loi de Dieu Le janséniste doit rigoureusement respecter la Loi de Dieu, celui qui ne la respecte pas ne pourra pas être sauvé. Celui qui viole un précepte viole toute la Loi. Le christ est venu accomplir la Loi et c’est lui qui donne le secours nécessaire pour que l’homme puisse l’accomplir. Une action pour être morale doit être en accord avec la loi naturelle et à la conscience. Il faut toujours suivre la voie que l’on trouve la plus vraie, la plus juste pour ne pas tomber dans le péché ce qui n’empêche