Spinoza Si Les Hommes étaient Ainsi Disposés

caractères acquis s’ajoutent à la nature d’un être au cours de son existence. 13 Ce terme désigne ainsi l’ensemble des connaissances acquises par un individu, fruit d’une éducation, d’une expérience ou d’un effort personnel. | acte | Exercice ou manifestation d’une faculté. 14 Selon Aristote, l’être en acte, par opposition à l’être en puissance, est l’être pleinement réalisé. La fleur est ainsi acte du bouton qui est puissance du fruit. 15 L’acte pur, ou Dieu, est l’être qui ne comporte rien

sur une autre loi : Exemple du droit musulman ; La loi de l’état se fonde sur la Charia) A- La loi de nature (ou loi du plus fort, grec : phusis) Cf Spinoza : « Dans la nature les gros poissons mangent les petits ». Est-ce que cette loi de nature peut servir de fondement aux lois de l’Etat ? Est-elle une norme supérieure de justice ?Si tel est le cas, les lois de l’Etat devraient favoriser les plus forts au détriment des plus faibles ; c’est-à-dire faire en sorte que les meilleurs obtiennent

Antonio Gramusci La pensée échappe toujours à qui tente de l'étouffer. Elle se fait insaisissable à la compression ; elle se réfugie d'une forme dans l'autre. Le flambeau rayonne ; si on l'éteint, si on l'engloutit dans les ténèbres, le flambeau devient une voix, et l'on ne fait pas la nuit sur la parole ; si l'on met un bâillon à la bouche qui parle, la parole se change en lumière et l'on ne bâillonne pas la lumière. Victor Hugo Il y a dans notre France, sur les problèmes vitaux, une

et l’imaginaire 6 C. Le champ de l’imaginaire 8 Le virtuel et le réel 12 A. Le virtuel et la destruction du principe de réalité 12 B. De la puissance à l’envers du réel 13 C. Intelligence collective et virtualisation 18 Descartes 19 Spinoza 19 JUNG 20 citations 21 Vertu Definition Force de caractère. Ferme disposition à éviter le mal et à faire le bien. Amour du bien. Qualité particulière. Propriété particulière: vertu d'une plante, d'un médicament. Qualité et propriété

tant que sa caractéristique première est d’être pensante et d’être le propre d’une subjectivité. Le cogito est donc la certitude première de toute conscience et le fond sur lequel tout acte de conscience prend naissance. Descartes le formule ainsi clairement dans le Discours de la méthode (1637) : cogito ergo sum, « je pense, donc je suis ». La conscience, L ’homme, dans la mesure où il est conscient, c’est-à-dire capable de se prendre lui-même pour objet de pensée, n’est plus

de nos illusions, et à atteindre la vérité, sans se précipiter. Mais si le doute nous est présenté comme attitude philosophique par excellence, est-il quelque chose de si positif? La question même de savoir si on peut douter de tout semble entraîner un doute quant à la valeur même du doute. La question semble en effet présupposer qu'il est peut-être exagéré de douter de tout : peut-être une vie humaine n'est-elle pas possible si on se met réellement, dans la vie quotidienne, à douter de tout, car

et son bébé, il existe des obstacles qui rendent périlleuse son implication dans ce lien fondamental. Dans le premier axe, nous allons nous intéresser aux représentations du père dans la société occidentale, afin de comprendre ce qui peut rendre si difficile de définir son rôle aujourd’hui. Nous mettrons alors en évidence ce qui pourrait représenter des obstacles idéologiques à l’implication paternelle. C'est-à-dire à ce qui peut renvoyer aux différentes acceptations du terme « père » et le

s’agit de chercher des explications aux énigmes de l’existence dans un monde imaginaire et mythologique, où les dieux ressemblent aux hommes et représentent des solutions à leur besoins d’explication (anthropomorphisme) : le vent s’explique par le dieu du vent, Éole qui se met à “souffler” (cf. T 2 p. 361). Il est clair qu’une telle conception des dieux à l’image ds hommes ne tient pas longtemps. L’aspect mythologique va disparaître au profit d’explication plus abstraites, plus rationnelles, métaphysique

Introduction Les Lumières désignent un mouvement philosophique, culturel et scientifique apparu en Europe et particulièrement en France, au XVIIIème siècle, nommé ainsi siècle des Lumières. Les penseurs, scientifiques et écrivains impriment cette époque de leurs esprits critiques en se donnant pour tâche d’éclairer (d’où la métaphore de la lumière) par la « Raison » une humanité plongée dans l’obscurantisme : les anciennes idées politiques et religieuses qui nient tout progrès et tout

du fait que nombre de ses travaux essentiels ne sont pas encore traduits en langue française5, il devra commencer par prendre conscience de trois écueils spécifiques, susceptibles de contrecarrer ou de complexifier ses recherches. En premier lieu, ainsi que l’a déjà fait remarquer Todorov, le lecteur d’aujourd’hui s’est tellement accoutumé, avant même d’avoir consulté l’ensemble de ses œuvres majeures, à l’idée commune que Goethe était a priori une espèce d’olympien, un être d’exception, un visionnaire