Spinoza Si Les Hommes étaient Ainsi Disposés

Liberté contre déterminisme et fatalisme La question de la liberté, donc, peut être considérée comme une question métaphysique par excellence si nous considérons l'être humain dans sa possibilité de causer complètement ses actions, c'est-à-dire causa sui, ce qui dans l'antiquité était le point de vue d'Aristote, d'Épicure, de Ciceron; donc il s'agit d'un statut de l'être humain au sein de la nature. Mais, car l'homme existe dans un contexte déterminé, physique et social, une liberté inconditionnée

va codifier de façon technique pour en faire une règle de droit. Ex: Le droit pénal n’est pas par définition un produit politique. La 1er des règles qui structure la société, c'est une règle morale et religieuse mais si on ne croit pas en dieu pourquoi suivre la règle. Si on déroge aux règles, la société va tomber dans un état anarchique. Ex: La prohibition de l'inceste, c'est aussi une règle politique avant d'être morale car on connait les problèmes psychologique et cela peut détruire une

dont on a eu l’idée de philosopher jusqu’à présent et les machines de guerre des syllogismes probables de la scolastique : cela exerce et excite par une certaine émulation les jeunes esprits, qu’il est préférable de former par des opinions de ce genre, si incertaines qu’elles paraissent étant discutées entre savants, plutôt que de les abandonner complètement à eux-mêmes » (Règles, II, Pléiade p.40). Ce que Descartes reproche à la scolastique, c’est précisément son verbalisme et son incapacité à trancher

justice. Ces contrepoids sont faibles ou inexistants en Europe, en particulier en France. D’où la menace, selon Tocqueville, d’un nouveau type de despotisme que la démocratie pourrait enfanter. Texte 1 La complexité de l’histoire Théoriciens et hommes d’action n’ont pas du tout, a priori, la même lecture de l’histoire. Tocqueville, qui fut l’un et l’autre, et qui parle ici en tant que philosophe, explique pour quelles raisons il ne peut en être qu’ainsi. Unilatérales, réductrices, leurs approches

ne commençons pas ici par le plus facile, et un tel texte nécessite sans doute quelques rappels et quelques précisions. Jules Lagneau (1851-1894) a enseigné successivement à Sens, Saint-Quentin, Nancy, où il eut Barrès pour élève, et enfin Vanves. Si c’est à Vanves que son enseignement rayonne de cette gloire discrète qu’Alain voudra hausser à la « célébrité », le cœur de cet enseignement est fixé depuis longtemps. Le manuscrit que conserve l’École Normale Supérieure, qui nous livre pour l’essentiel

bien-être et la liberté. 6) Le modèle d’A. Sen. CHAPITRE 4 : LA CONNAISSANCE ET LA REALISATION DE SOI (4 heures). 1) La pyramide des besoins d’A. Maslow et la réalisation de soi. 2) Socrate. 3) R. Descartes et B. Spinoza. 4) Les maîtres du soupçon : K. Marx. 5) Les maîtres du soupçon : F. Nietzsche. 6) Les maîtres du soupçon : S. Freud. CHAPITRE 5 : REPENSER LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET LA RESPONSABILITE D’ENTREPRISE (4 heures). 1)

(Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10

religion comme telle, par opposition aux éléments qu’elles ne comportent pas toujours. Et, puisqu’on peut aussi parler de religions et de cultes en dehors des religions immédiatement reconnues comme telles, la question qui se pose est de savoir si cet emploi du terme religion est justifié lorsqu’il s’agit de religion sans dieu(x) ou s’il s’agit d’un usage illégitime, qu’une façon de parler, c’est-à-dire d’une transposition qui ne repose que sur une vague ressemblance               I )

Préface du traité théologico politique de Spinoza Si les hommes étaient capables de gouverner toute la conduite de leur vie par un dessein réglé, si la fortune leur était toujours favorable, leur âme serait libre de toute superstition. Mais comme ils sont souvent placés dans un si fâcheux état qu’ils ne peuvent prendre aucune résolution raisonnable, comme ils flottent presque toujours misérablement entre l’espérance et la crainte, pour des biens incertains qu’ils ne savent pas désirer avec mesure

En quelque sorte, ces usages que soulignait ANTHERE, introduisent de la religion partout. si l'on fait ce que tu demandes, on introduit du mythe, c'est à dire de la croyance, dans l'encyclopédie. Or, je croyais que le but d'une encyclopédie consistait à répendre le savoir ? (qui s'oppose à la croyance) Quant à ma façon d'écrire... Et bien, je ne me creuse pas psécifiquement le ciboulot pour m'exprimer ainsi. C'est ma façon la plus ordinaire. Mon fils, qui exerce une profession de type BEP, me comprend