Spinoza Spinoza La Paix Guerre

corps. Il nous faut signaler une dernière position très originale, c’est celle développée au XVIIe siècle par Spinoza. Pour le spinozisme en effet, l’esprit et la matière ne sont pas deux substances distinctes et séparées mais sont, au contraire, « deux attributs » comme il le dit, deux dimensions si vous préférez, d’une seule et même substance donc d’une seule et même réalité unique que Spinoza appelle « Dieu » ou « la nature », ou la nature, c’est-à-dire l’ensemble de l’univers.   Il faut enfin faire

la société harmonieuse dans l’esprit de l’idéalisme anarchique de Rousseau et de Prévert, d’en faire une société exempte de conflits à tout prix (chose pour laquelle on envoie des porteurs de voix potentiellement critiques à l’étude historique des guerres). Les techniques de management, par exemple, sont organisées (spécialement aux Etats-Unis) autour de l’évitement systématique du conflit. Une personne qui est d’un avis non-conformiste, qui croit que ce soit sa responsabilité d’avertir les autres

démonstration, de ce point de vue, est indissociable de l’évidence16. Démontrer, c’est, indirectement, montrer, faire voir (« Les yeux de l’esprit, par le moyen desquels il voit les choses et les observe, ce sont les démonstrations elles-mêmes », Spinoza, Éthique, V, 23, scolie17). La démonstration, loin de s’opposer à l’intuition, la présuppose au contraire : « Seule une preuve apodictique18, en tant qu’elle est intuitive, peut s’appeler démonstration » (Kant, Critique de la raison pure, méthodologie

du mot humanité, s’oppose au contraire la diversité des États et nations. A la reconnaissance de l’homme en tout homme s’oppose les conflits sans pitiés des États belligérants. Et à l’intérieur des États eux-mêmes, n’est-ce pas le plus souvent la guerre de chacun contre tous, qui fait paraître aussitôt « les tristes nécessités de police » ? Comment donc parler d’humanité, et de quoi parle-t-on alors, si partout l’homme est un loup pour l’homme ? Comment envisager seulement la possibilité d’une unité

ou d’Aristote par exemple). Depuis les présocratiques et surtout à partir de Socrate, toute une tradition a défendu cette conception de la philosophie comme un mode de vie. Citons entre autres les Stoïciens, Platon, Aristote, Épicure, Descartes, Spinoza, Sartre ou Russell. Mais ces derniers sont loin d’exclure l’idée que le philosophe s’intéresse à des problèmes théoriques. La « sagesse », ou plus exactement la sophia, que veut posséder le philosophe est aussi un savoir et une connaissance. Le philosophe

hautes autorités gouvernementales et culturelles de la République de Moldava, Wanda Janina Ostap, évoquant dans son discours l’œuvre de son père, nous rappelait : « Il aima réellement la nature, les animaux, la femme et l’enfant, la famille et la paix, le monde d’ici, d’ailleurs et de partout. Réussissant ainsi à transmettre une joie intérieure dont les gens restent tellement assoiffés. Une telle force de créativité, respectant et magnifiant toute vie, vaincra le temps et traversera des générations

Avec le tsar Pierre Legrand, la Russie adopte l'institution des ambassadeurs → révélateur du progrès accompli dans le système des relations internationales Péninsule ibérique: Espagne=Superpuissance de l'époque et le Portugal ont réussi à être en paix, les frontières actuelles datent du XIIe, les relations sont plutôt bonnes entre les deux pays car la véritable rivalité = nouveau monde, Pb: A qui appartient la mer? le Portugal et l'Espagne s'installent sur le nv monde en 1494. Ils vont demander

supralunaire (céleste), lieu du bonheur et de la perfection et un monde sublunaire, (terrestre), inquiet et agité. Les corps sont soit “graves”, attirés vers le bas, l’agitation, l’inquiétude (ex : la pierre), soit “légers”, attirés par le haut, la paix, la félicité (ex : la fumée). Tout corps cherche naturellement à retourner dans son lieu propre, “chez” lui. Tout corps est donc involontairement assimilé à un être humain qui s’efforce de retrouver son domicile. L’accélération de la pesanteur est

monstres froids » pour certains (selon la formule de Nietzsche), mal nécessaire pour d'autres, l'Etat est tenu en suspicion. Est-il l'ennemi de la liberté ? Le ressort de l'Etat, le fondement du pouvoir, est l'angoisse sécuritaire. Or, comme l'état de guerre provient de deux causes, l'égalité des hommes et la divergence de leurs appétits, la solution réside dans la création d'un pouvoir fort, capable d'inspirer l'effroi, et qui unifie les volontés. Une république bien fondée repose implicitement sur un

homme aux talents multiples n’a pas seulement fait avancer le monde scientifique !Pacifique engagé, il ne cesse de militer pour la fin de la Seconde Guerre mondiale et de participer à de nombreuses causes pacifistes. Admirant Gandhi, il désapprouva fortement les guerres et les institutions militaires . Il signe notamment en 1913 une pétition pour la paix. Voici l'une de ses nombreuses citations démontrant de cette forte antipathie : « La pire des institutions grégaires se prénomme l’armée. Je la hais