Spiritualité

la dimension spirituelle de l'univers et de l'homme.  Le pouvoir de l'argent ;  Le corps (érotisme, sensualité, souffrance) : fin de la pudeur ;  La maladie et la médecine (ce thème rejoint le thème du corps souffrant) ;  L'absence de spiritualité (négation de Dieu, dénonciation de la religion, mort vue comme une fin). Méthodes L'écrivain réaliste, soucieux de produire des descriptions fidèles, s'inspire des méthodes scientifiques, et en particulier de la médecine et des sciences naturelles

romancier lyrique ! Si le moi de l’époque classique est haïssable(Pascal), au XIXe siècle l’écrivain est un individualiste qui met sa sensibilité et son art à son propre service : lemoi (le moi de l’enfance, le moi amoureux, le moi en quête de spiritualité...) est la source d’inspiration ! L A PASSION COMME SOURCE D'ÉNERGIE : - Cette insatisfaction et cette tristesse peuvent être positives, dans la mesure où elles deviennent pour certains romantiques une source d’énergie, de révolte (cf. Lorenzaccio

surhumaines. Une réalité : la présence énorme et menaçante de ces blocs échappés à la banquise, des montagnes de glace. Mise en apposition précisée par l'emploi de deux déterminants : «sans religion» et «de l'hiver éternel» qui précisent les notions de spiritualité et d’éternité. Ces déterminants peuvent apparaître incompatibles sémantiquement avec «cathédrales» (« sans religion » =oxymore) mais l'image et l’idée résultent précisément de cette conjonction insolite. L’admiration du poète est marquée par

exige de profonds sacrifices : « Malheureux peut être l’homme mais heureux l’artiste que le désir déchire ».La lune domine un règne bipolaire : douleur / férocité ; beauté / horreur. C’est donc un poème où règne l’oxymore. Première ambivalence : spiritualité et ambivalence (cf. aussi « Tristesse de la lune » dans les Fleurs du Mal). Les gémissements des chats sont parallèles à ceux des femmes. L’adjectif « voluptueux » témoigne d’un désir à la jonction du sensuel et du spirituel (sans compter le rôle

vertu d’un sentiment, en vison. La démonstration est d’autant plus forte que l’auteur est resté, dans la première partie, très près de la vie quotidienne. Cette réalité suggère d’abord une comparaison, non poétique, puis le respect qu’inspire la spiritualité du mendiant transforme la comparaison en métaphore et le spectacle en vision. On saisit ici même le jeu de l’imagination poétique. L’idée que développe l’auteur est belle, mais banale, et tout autant l’image sur laquelle il se termine. Mais

compagnon, maître, qui feront progresser l’apprenti vers la lumière et la vérité, à l’image du symbolisme de l’échelle mystique du temple de Salomon, représentant une communication entre la terre et le ciel, un chemin de la matérialité vers la spiritualité, de l’humain au divin, de l’ombre vers la lumière. Une ascension où les barreaux de l’échelle représentent autant de degrés de progression, de paliers successifs vers plus de sagesse et de vérité. J’ai dit, 

vie s’était réfugiée ». Le métal est idolâtré comme un dieu. III. Le dernier moment d’un monstre. Cet avar qui a fait le malheur de sa famille n’a pas la mort d’un chrétien soucieux dans son salut éternelle. Grandet réduit les objets porteur de spiritualité à leur valeur vénal, c’est un sacrilège qui l’apparente au diable « il fit un épouvantable geste pour le saisir ». Sa passion a envahi sont esprit « ses yeux se ranimèrent à la vue de ces objets ». Indifférent à la présence de sa fille « qu’il

Mais qu’elle est-elle vraiment ? La profonde spiritualité que suscite le Rite Ecossais Rectifié traduit véritablement cette pensée. L’esprit maçonnique, christique de surcroît, prédispose une attitude de recueillement. Le silence présente alors un aspect intéressant dans la démarche initiatique de l’A.°. Faire le vide en soi pour en dégager la quintessence dans le sens de caché et d’enfoui en son être. C’est faire preuve de spiritualité, d’ouverture vers les autres. Travail fastidieux

amants de Charles Baudelaire, poète symboliste du 19e siècle. Nous verrons donc, par l’étude des différents symboles utilisés par le poète, comment la mort devient le seul espoir de rendre l’amour parfait. Nous étudierons également la présence de la spiritualité dans l’idée de la mort liée à l’amour, puis nous analyserons comment le rêve d’immortaliser l’amour n’est possible que dans la mort et non dans la réalité. Tout d’abord, ce sonnet ouvre la sixième partie des Fleurs du Mal, partie consacrée à la

être meilleures que ces mêmes personnes ont avec elles-mêmes. Si elles ne savent pas s’aimer, elles ne sauront pas nous aimer et ainsi nous respecter. Dans le regard et l’attitude d’égalité que les êtres humains peuvent avoir, se trouvent une spiritualité commune. Partager crée le sentiment d’appartenir à une même famille. Cette famille à laquelle nous appartenons, ramène toutes les assertions précédentes sur soi même également à cette famille. C’est en vivant avec les autres qu’on apprend à les