Splendeurs Et Misères Des Courtisanes

principales La Comédie humaine (cycle romanesque), (1831-1850) Les Chouans, 1829 La Peau de chagrin, 1831 Eugénie Grandet, 1833 Le Père Goriot, 1835 Le Colonel Chabert, 1835 Le Lys dans la vallée, 1836 Illusions perdues, 1837-1843 Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1846 Compléments La Comédie humaine a été publiée en 20 volumes illustrés de (1842 à 1852) par Charles Furne en association avec Houssiaux, Hetzel, Dubochet et Paulin. modifier Honoré de Balzac, né Honoré Balzac1,2,3 à

1850 à Paris quelques semaines après s’être marié avec la comtesse polonaise Hanska. Quelques œuvres : 1831 La Peau de chagrin 1833 Eugénie Grandet 1835 Le Père Goriot 1837-1843 César Birotteau, Illusions perdues 1838-1847 Splendeurs et misères des courtisanes 1842 La Rabouilleuse 1844 Les Paysans 1846 La Cousine Bette 1847 Le Cousin Pons Les personnages Personnages principaux : Le père Goriot : Jean-Joachim Goriot, ancien négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous

Stendhal, théoriquement père du réalisme, mais éloigné de la définition du réalisme stricto sensu avec Le Rouge et le noir. * Honoré de Balzac paradoxalement père du bovarisme avec La Femme de trente ans, du réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes, et pourtant relativement à part du réalisme. * Gustave Flaubert, il a refusé l'étiquette de réaliste. Il a même renié le titre de chef de file du réalisme. * Champfleury (Le Réalisme en 13 points).

Balzac écrit sans cesse, et les titres se succèdent : la Recherche de l’Absolu (1834), le Père Goriot (1835), le Lys dans la vallée (1836), la Maison Nucingen (1837)… Puis il entreprend l’écriture de deux romans : Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes qui, semble-t-il, ont été rédigés en même temps. Le Père Goriot est un livre fondateur pour Balzac et pour sa Comédie humaine à venir : en effet, dans ce roman, on trouve réunis les principaux personnages que Balzac destine à être

pas car il le freine dans ses espoirs de réussite. Il lui préfère donc le nom noble de sa mère, de Rubempré. Il essayera d’obtenir ce changement de nom auprès du roi. Il ne l’obtiendra pas dans Illusions perdues mais, plus tard, dans Splendeurs et misères des courtisanes, roman dans lequel il devient Lucien de Rubempré, un personnage lâche et sans scrupules, marionnette de Vautrin, le prêtre rencontré à la fin des « Souffrances de l’inventeur ». Il représente un idéal de beauté, qui devient, puisque

philosophique, fantastique, romantique Œuvres Principales : «  La Peau de Chagrin » (1831) ; « Eugénie Grandet » (1833) ; « Le Père Goriot » (1834-1835) ; « Le Lys Dans la Vallée » (1835) ; « Illusions perdues » (1837-1843) ; «  Splendeurs et misères des courtisanes » (1838-1847) ; « La cousine Bette » (1846) Emile Zola Brève Biographie : Emile Zola (1840-1902) était un écrivain français. Journaliste et romancier, il soutint les impressionnistes (Manet) et prit courageusement la défense de

n’est révélé que longtemps après sa présentation, ce qui donne un souffle de vie et un supplément de mystère à ses romans et nouvelles. Jacques Collin, apparu dans le Père Goriot, se précise sous le nom de l’abbé Carlos Herrera dans Splendeurs et misères des courtisanes. La vicomtesse de Beauséant dont on voit le triste échec dans la Femme abandonnée aura été une séductrice tout au long de la Comédie humaine. La princesse de Cadignan (autrement appelée Diane de Maufrigneuse dans les Secrets de la princesse

la trouvant séduisante, hésite à l'épouser à cause du passé de Taillefer, son père. On retrouve le personnage de Taillefer dans plusieurs autres romans de La Comédie humaine : « La Peau de chagrin », « La Maison de Nucingen » et « Splendeurs et misères des courtisanes » Vautrin : De son vrai nom Jacques Collin, il porte une perruque et a en réalité des cheveux roux. C'est un évadé du bagne de Toulon, qui a été condamné pour un faux commis par un autre. Il se cache donc à Paris sous le nom de Vautrin

(1822-1896 ; 1830-1870) Maupassant (1850-1893) Stendhal (1783-1842) Zola (1840-1902) Œuvres réalistes : Stendhal, un père du Réalisme. Honoré de Balzac, un père du Réalisme avec La Femme de trente ans, du Réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes, Eugénie Grandet et César Birotteau. Gustave Flaubert, il a renié le titre de chef de file du Réalisme car il ne se considère pas comme réaliste. Jules Champfleury (Le Réalisme en 13 points). Émile Zola : Au Bonheur des Dames et

Auteurs et œuvres[modifier] · Stendhal[->0], un père du Réalisme. Honoré de Balzac, un père du Réalisme avec La Femme de trente ans[->1], du Réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes[->2], Eugénie Grandet[->3] et César Birotteau[->4]. Gustave Flaubert, il a renié le titre de chef de file du Réalisme car il ne se considère pas comme réaliste. Jules Champfleury (Le Réalisme en 13 points). Émile Zola : Au Bonheur des Dames[->5] et Le Roman expérimental[->6]. Guy de Maupassant