St Petersbourg

Le réalisme socialiste d’Alexander Deineka Une carrière exemplaire au sein d’une institution, une position particulière dans un mouvement artistique. [pic][pic] A gauche :Alexander Deineka, « Autoportrait au panama », c. 1920, huile sur carton, 38x32 cm., Kursk, Deineka Picture Gallery of Kursk. In http://www.deineka.info A droite : Alexander Deineka, photographie. In Alexander Deyneka, èd par Vladimir Petrovič Sysoev, Leningrad, Aurora Art Publishers, 1971.

LE NEZ Le Nez débute par l'histoire d'un barbier pétersbourgeois, Ivan Iakovlievitch, qui découvre, au lendemain d'une soirée trop arrosée, un nez dans le petit pain qu'il s'apprête à croquer en guise de petit-déjeuner. Son épouse, offusquée, lui ordonne de s'en débarrasser. Hélas, les tentatives du barbier échouent l'une après l'autre et, comble de malchance, il finit par être arrêté par un gendarme. C'est à ce moment-là qu'un autre habitant de Petersburg, l'assesseur de collège Kovaliov, se

service de l'armée, la production agricole diminue. La situation matérielle des paysans, déjà difficile avant la guerre, s'aggrave. L'approvisionnement des villes est compromis. Dans les usines, en particulier celles de la capitale Petrograd (Saint Pétersbourg), les ouvriers et ouvrières sont mobilisés militairement pour produire le plus possible. Au début de l'année 1917, les difficultés sont donc grandes pour le gouvernement russe et pour la population. Les villes sont mal approvisionnées; les usines

Alexandre Leduc-Aubin (ALA) Révolution d’octobre La Révolution d’octobre a débuté officiellement à Petrograd en février 1917. Cette émeute c’est passé en 5 jours. Les premiers jours, des femmes commencèrent à manifester pour réclamer du pain avec leurs enfants. Par la suite, la moitié de la population de Petrograd a suivi ce mouvement pour finir par se généraliser et laisser place aux conflits armées entre la police et les ouvriers. Le quatrième jour, les gardes de Petrograd tentent de négocier

Les alliances La première guerre mondiale est le fruit de multiples problématiques et tensions qui ont touché l’Europe depuis le 18ème siècle jusqu’au moment où cette première guerre mondiale a éclaté. De multiples causes entre en compte mais ce sont les tensions internationales et les alliances qui séparent l’Europe en deux. Les premières alliances sont l’empire austro-hongrois (L’Autriche-Hongrie) qui par l’intermédiaire d’Otto von Bismarck en 1879 (homme politique prussien puis allemand)

d’éléments sculptés dans de l'ambre authentique. Ils ont été offerts par le roi de Prusse Frédéric-Guillaume Ier au tsar de Russie Pierre le Grand en 1716. Pendant presque deux siècles, cette chambre a été installée au palais Catherine près de Saint-Pétersbourg. Elle avait une surface de 55 mètres carrés et contenait plus de six tonnes d'ambre. Elle a été volée par l’armée nazie lors de l’invasion de Leningrad, transportée en Allemagne à Königsberg et on a perdu sa trace à la fin de la deuxième guerre

tsar Alexandre III et fut pendu en 1887. L’exécution de son frère va avoir un rôle déterminant dans son engagement révolutionnaire. Puis il a étudié la doctrine de Marx et devient agitateur révolutionnaire. Il est arrêté en décembre 1895 à Saint-Pétersbourg et est condamné à 3 ans de relégation en Sibérie. Il en profite pour développer le capitalisme en Russie (1899). Pendant qu’il vit en exil, il devient chef du parti bolchevique et confie à Joseph Staline des opérations de banditisme dans la région

favorisant les disciples de Raspoutine. Parmi les grands de la cour, on se mit alors à parler de révolution de palais afin de prévenir le bouleversement plus important qui se préparait. Gardes rouges (Russie) À Petrograd (redevenue Saint-Pétersbourg en 1991), les régiments de gardes rouges furent le fer de lance de la révolution.Hulton Deutsch La révolution de 1917 se développa à partir d’une importante vague de grèves qui secoua Petrograd pendant le mois de février. L’hiver avait été particulièrement

l’impératrice lui reproche tout et rien. Cette violence sur Catherine repose en partie sur le désir de sa mère d’avoir un garçon et le regret d’avoir eu une fille. Effectivement, les attaques volaient de partout comme l’explique Olga Wormser sa position à Pétersbourg était horrible. D’un côté sa mère, Allemande acariâtre, grognon, avide, mesquine, pédante lui donnant des soufflets et lui prenant ses robes neuves pour se les approprier : de l’autre, l’impératrice Élisabeth, criarde, grossière, toujours entre

I. L’organisation du portrait : 1. Citez dans l’ordre de leur apparition les éléments physiques décrits. 2. Retracez le parcours du regard posé sur Mme Vauquer. Dans cet extrait, le narrateur trace le portrait de la propriétaire de la pension bourgeois : Mme Vauquer. Il évoque tout d’abord le haut du corps : « bonnet », «cheveux », « face », « nez » ; le regard se déplace du haut vers le bas puis descend encore« la main » et le buste pour remonter sur le visage et les yeux. Finalement, le