Stade olympique de Berlin

Travail de maturité 2012 Jeux de Berlin 1936, analyse de l’évolution de la position américaine quant à ces jeux (boycott) et de la décision d’y participer Table des matières : Abstract : 2 Introduction : 3 Problématique : 4 Intérêt scientifique et personnel : 4 Structure : 5 Contexte historique : 6 L’Allemagne : 6 Les Etats-Unis : 8 Développement : 10 Acteurs et partis principaux : 10 Arguments: 14 Position du CIO 16 Opinion publique 16 Décision finale : 16 Evolution

Quelques jours après une très sympathique soirée consacrée à nos futurs travaux d’apprentis chez notre frère second surveillant, j’ai regardé comme plusieurs centaines de millions de personnes sur Terre, la cérémonie d’ouverture des jeux olympiques de Londres. J’ai trouvé cette soirée exceptionnelle à tout point de vue. J’avais déjà vu une telle cérémonie mais je me suis surpris à vivre cet instant d’un œil différent, peut être avec du recul, celui d’un initié et non plus d’un profane. Dès le lendemain

Etats utilisent le sport pour conforter ou développer leurs conceptions politiques et idéologiques. Le baron Pierre de Coubertin voyait dans la restauration des Jeux Olympiques en 1896 un moyen de mettre en pratique ses conceptions très aristocratiques de la société et ses positions nationalistes. Au fil des années, les Jeux Olympiques prennent de plus en plus d’importance. Dans la société européenne de l’entre-deux-guerres, le sport devient un enjeu de tout premier plan. Comme le souligne Stefano

dans ces régimes totalitaires. Le sport et la propagande : les jeux Olympiques de Berlin en 1936 Les régimes totalitaires ont attribué un rôle très important au sport : remodeler la société mais aussi faire des individus de bons soldats. En effet Hitler préférait à l’intelligence du peuple « un corps sain », le sport avait pour but de montrer la supériorité de la race aryenne, par exemple, lors des Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Hitler a compris tout le bénéfice que sa propagande pouvait

de faire du théâtre, en déplaçant la représentation hors du cadre institutionnel. Ainsi, il met en scène Faust Salpêtrière à Paris dans la chapelle Saint-Louis de l’hôpital, Voyage d’hiver (d’après Hölderlin, 1977) à Berlin dans le stade construit par Hitler pour les Jeux olympiques de 1936, ou encore Mère blafarde, tendre sœur (d’après Jorge Semprun, 1995) à Weimar dans un cimetière. ( » Sur la grand-route » ). Son théâtre, c'est un théâtre qui se fonde sur l'écoute. Un théâtre sur le théâtre

Les Jeux Olympiques représente en sport, la compétition la plus renommée auquel des milliers d'athlètes participent. Ces athlètes et ces équipes convoitent le titre olympique. Au palmarès des jeux olympiques à ce jour, c’est la nation Américaine qui reste la plus titrée. A travers cette exposé, nous analyserons l'évolution des jeux olympiques de l'Antiquité à aujourd'hui. Ainsi dans une première partie, nous étudierons les origines antiques des jeux olympiques, dans un second nous travaillerons

propagande Joseph Goebbels, un cinéphile averti, sera chargé de développer les effets de la persuasion. Les exemples les plus parlants de la population de masse sont les deux documentaires réalisés par Leni Riefenstahl Les dieux du stade (documentaire sur les jeux olympiques de Berlin en 1936) et Triomphe de la volonté (Triumph des Willens dans la langue de Goethe). Outre les films de Leni Riefenstahl qui encensent le régime nazi, certains documentaires poursuivent des objectifs de propagande adressés davantage

mussolinien. Le régime nazi Pour le régime du IIIe Reich, ces jeux devaient être l'occasion de prouver sa puissance et la « suprématie de la race aryenne », selon la terminologie nazie. grandeur force par Ordre discipline Si les Jeux olympiques de Berlin ne permirent pas à l'Allemagne nazie de démontrer la supériorité physique de la race aryenne, l'organisation des Jeux se révéla à la mesure de la réputation d'ordre et de discipline des Allemands par l’intermédiaire des cérémonies gigantesques

« Le Nouveau Berlin » Berlin, le nouveau Berlin, le Berlin des deux Allemagnes, redevenu depuis 1990 la capitale d'un Etat n'a guère gardé de traces des 28 années qu'a duré la division de la ville, ce qui fut la plus grande entrave historique à la communication au sein de la métropole comptant quatre millions et demi d'habitants. Le „Mur“, tout un symbole, a disparu, à l'exception de quelques restes muséaux. Les morceaux de béton ont été disséminés dans les vitrines des collectionneurs. Quant à

de stades sont-ils dissimulés par des haies ou des rangées de peupliers? Quelques équipements sportifs sont partiellement enfouis: en exploitant le relief du terrain (piscine et vélodrome olympiques à Berlin, Allemagne, Dominique Perrault); en construisant en décaissé ou en remblayant autour de l’édifice (stade Robert-Bobin à Évry-Bondoufle, Didier Drummond, architecte), ou en le couvrant par des talus de terre végétale (Palais Ominsports de Paris-Bercy, Michel Andrault, Pierre Parat et Aydin Guvan