Stagflation

liberté des individus. Ce n'est pas l'insuffisance de la demande qui est la cause du sous-emploi, mais l'injection trop importante de monnaie de la part des autorités monétaires (donc l'État) ce qui aggrave le chômage. Il explique la situation de stagflation que l'on connaîtra dans l'économie, à savoir une forte inflation, un chômage élevé et que la crise peut être évitée s'il y a un long détour de production pour les biens d'équipement. Par ailleurs, certains économistes se sont opposés à KEYNES

de la relance c.Les risques et les contraintes Conclusion L’expérience historique des 30 dernières années montrent bien qu’une politique de relance tant monétaire que budgétairene permet pas de renouer avec la croissance, mais produit de la stagflation (faible croissance et accélération d’inflation).

E ainsi elles réduisent leur offre chômage * STAGNATION DE L’ECONOMIE (due à l’augmentation des prix et au passage d’une éco. d’équipement à une éco. de remplacement qui à conduit à un ralentissemnt des gains de productivité) + INFLATION = STAGFLATION * Donc mise en place de politiques libérales ayant pour but de restaurer les profits des E (M.Tatcher et R. Reagan) POLITIQUE DE L’OFFRE 2. Conséquence : Baisse de la part des salaires dans la VA à partir des 80’ En 83 : gouvernement

pétrolier avec environ 14%). N’existe plus en France, mais plutôt dans pays d’Amérique du Sud ou Afrique. Hyperinflation : à 3chiffres, pdt crise ou révolution. Expl : Allemagne avec inf de 200% (guerre). Certains pays de l’est avec 600-700%. Stagflation : stagnation & inflation. SITUATION d’un pays qui se caractérise par de l’inflation rampante ou galopante et de la stagnation (chômage, faible croissance…). (France on n’en est pas loin.) C. Causes 1. Inflation par la demande Qd demande

masse  * crise baisse des profits et baisse de la productivité * augmentation de la population active (baby-boom) * croissance insuffisante pour crée assez d’emploi * INFLATION + CHÔMAGE + RALENTISSEMENT ÉCONOMIQUE = STAGFLATION ou « inflation dans le chômage V / Le tournant libérale des années 80 A - A partir des années 80, en matière de politique conjoncturelle * 1979 : Paul VOLCKER à la tête de la FED forte augmentation des taux * 1979 : M.THATCHER

chômage Cependant , l'efficacité des politiques de relance est très controversée. En particulier, les politiques de relance menées dans les pays développés au cours des années 1970 ont été souvent reconnues comme des échecs qui ont aggravé la stagflation . Les opinions divergent sur le sujet , les limites aux moyens d'intervention de l'Etat contre le chômage apparaissent . 1 ) Des moyens critiqués par différents économistes : Les économistes libéraux classiques estiment que les cycles

Ce courant adopte une idée importante, que l’économie fonctionne loin d’un équilibre et ainsi des mesures spécifiques doivent être prises. Cependant, à cette époque le chômage croît et les politiques de relances ne fonctionne plus à cause de la stagflation et les néokeynésiennes adoptent la EGR (équilibre général avec rationnement). La nouvelle économie keynésienne est un courant de pensée économique né dans les années 1980. Ils ne visent pas à substituer l'État au marché, mais ils essayent de

croissance => création monétaire en desserrant le crédit - En cas de tensions inflationnistes => réduction de la masse monétaire en limitant la distribution de crédit. MAIS à partir 70’s : croissance faible accompagnée d’une inflation important = stagflation => a permis au courant monétariste de remettre en cause l’efficacité de ces pol et mettre en avant la nécessité absolue de lutter contre l’inflation. = > Des années 70 objectif principal des BC = lutte contre l’inflation en raison de ses effets

période un instrument de stabilisation, voire de dynamisation de la conjoncture. Politiques monétaires, budgétaires, fiscales, sont mobilisées dans un sens contracyclique en cas de récession, ou procyclique pour soutenir l’expansion. La montée de la stagflation dans les années 1970 a entamé le crédit des politiques de relance, mais les Etats y recourent toujours, de façon moins voyante, pour conjurer les crises. La FED baisse ses taux pour contrer la récession aux Etats-Unis, le Japon multiplie les plans

keynésienne et qui est largement partagée affirme qu’une « inflation rampante » est nécessaire et plutôt favorable à la croissance de la production nationale. Cependant, au début des années 1970, les économies sont confrontées à un phénomène de stagflation : coexistence d’un fort taux d’inflation et d’une faible croissance économique. D’où la mise en œuvre d’une politique de désinflation, où la stabilité des prix devient l’un des principaux buts. Ceci nous amène donc à nous interroger sur les fondements