Stance

(extrait 2) (page 158) Le monologue – Personnage face à lui-même ou confidences au public (registre lyrique) Jean Racine, Bérénice, 1670 (page 282) Monologue délibératif – Titus doit apprendre à Bérénice qu’il la quitte (Voir aussi les stances du Cid – Corneille) Les textes suivants constituent quant à eux un corpus d’idées et de citations à étudier et à relever pour traiter la seconde partie de votre dissertation : Quels sont les autres types de langages utilisés sur la scène 

Quelquefois, le personnage s’adresse directement au public, leur pose des questions et brise volontairement l’illusion théâtrale en montrant qu’il a conscience d’être regardé. Le monologue coïncide surtout avec les grands moments de doute ou de crise. Les stances : Il s’agit d’un monologue lyrique dont les strophes comportent des vers libres (inégaux) à rimes embrassées ou croisées, par opposition aux alexandrins à rimes plates qui composent le reste de la pièce. La tirade : une réplique longue prononcée

théâtre tout entier..."[3] (1682). Dans sa quatrième Dissertation, l'abbé d'Aubignac dénonce Corneille comme l'auteur de la cabale contre l'École des femmes[4]. Boileau, de son côté, fait paraître dans les Délices de la Poésie galante en 1663 ses Stances à M. de Molière, inspirées, selon d'Aubignac, par le désir de dire son fait à Corneille et à son entourage, dans lesquelles il défend l'École des femmes. En 1665, dans le couplet initial de sa seconde satire, le même Boileau loue la fertilité et la

emploie-t-il pour exprimer ce qu’il éprouve ?Quels sentiments l’habitent ?Entre quelles valeurs est-il tiraillé ?Faire la différence entre sensations (5 sens), impressions, émotions et sentiments : p.326 + ex.1.4.3 p.327.Séance 6 : oralisation des stances de RodrigueExercices du manuel : des adjectifs pour qualifier le ton de la voix (1p.80) et des adjectifs pour qualifier les gestes (2p.80).Extrait n°3 : « des amants déchirés », p.74.75Séance 5 : des mots pour exprimer la concession et l’opposition

Remarques pour les deux poèmes : ➢ Références explicites à Horace ➢ Première partie des poèmes : mise en perspective du futur : beauté envolée ➢ Deuxième partie : injonction à profiter de la vie ➢ A mettre en relation avec les stances à Marquise de Corneille : le vieil auteur qui tente de persuader une jeune femme de céder à ses avances en avançant l’argument que la jeunesse et la beauté sont éphémères (ne durent qu’un jour, ce qui est explicitement le cas de la rose dans l’ode)

émotionnelle rare, Cadou célèbre la beauté et la grandeur de l'âme humaine, même dans les moments les plus sombres de l'histoire.Commentaire « Les fusillés de Chateaubriant » "Ls sls de Chater” et un posine qui vogue ace une grade Free evotiomsle aged a stance Hani pon Second Guerre ‘onda Ren Guy Cao, poste st rxan bes rend Hommage at mane fs ont exc par es acs en reese ons {arias dae ropon de Chen et 194. Leptme ex compost de store quate alexandri, rth pane thre de Hes mates feninns, Coe sie gens lit

révéler le brahman, par la disparition de la lumière : v. 126 « A peine eut-il parlé qu’elle avait disparu. » ◆ Les Upanishad sont généralement courtes et sans détail, tout l’opposé de Victor Hugo. En effet, 126 vers étoffent considérable les 12 stances correspondantes de l’Upanishad, principalement dans la réponse de chaque dieu à la lumière. Cette amplification vient remplacer et développer les épithètes divines de l’upanishad. ◆ Inversion des dieux : dans l’upanishad, c’est Agni, qui personnifie

universaliste, principe énoncé dès son titre.L’ Hum ani toute enti est al m i sur un m êm e pi d’ i Ce texte consacre té ère ors se ed égalté. des lbertés i vi l fondam ental com m e l lberté,l sûreté,l propri i ndi dueles es a i a a été,l rési a stance à loppressi ’ on et bi sur légalté,pii de l soci nouvele que lon veut créer. Elles sont un rempart qui permet de se en ’ i ler a été l ’ prémunir contre toutes l sortes d’ es abus de pouvoi tel qu’l ont été présents tout au l r s is ong de lAnci ’

un chef d’œuvre de Pierre Corneille, Stances à la marquise, tout le poème est construit autour d’une idée : la beauté passe mais l’œuvre survit à son auteur le rendant par cela immortel. Le XVIIIème siècle ou le siècle des lumières est un grand pas dans la littérature car les philosophes sont remplis de nouvelles idées : des idées lumière. Dans ce siècle j’ai choisi cinq poèmes. Tout d’abord, pour l’écriture, celui de Desforges Maillard, Parodie des stances de Rousseau sur les misères de l’homme

expliqua au sage de Samos de quoi il était question dans la fête qu'on allait donner au peuple indou. «Les deux Indiens, dit-il, n’ont nulle envie d'être brûlés; mes graves confrères les ont condamnés à ce supplice, l'un pour avoir dit que la sub-stance de Xaca3 n'est pas la substance de Brama3; et l'autre, pour avoir soupçonné qu’on pouvait plaire à l'Être suprême par la vertu, sans tenir en mourant une vache par la queue; parce que, disait-il, on peut être ver-tueux en tout temps, et qu’on ne trouve