Statisticien

Niveau d’intervention □ Joueur □ Technicien □ Technicien □ Officiel □ Officiel □ Dirigeant □ Dirigeant □ Senior ou □ U____ □ Non diplômé □ Diplômé Fédéral □ Diplômé d’Etat □ Arbitre □ OTM □ Commissaire □ Observateur □ Statisticien □ Elu □ Accompagnateur □ Salarié Niveau de pratique le plus élevé (Obligatoire) : ………………...................... □ Territoires : (Département –Région) □ Championnat de France □ Pro A Pro B Esp Pro A LFB □ Cochez la case, si vous ne

place pour arriver à ces conclusions. A la fin des années 50, à Alger, Bourdieu a pu rencontrer des statisticiens, avec lesquels il collabore. Un livre collectif sera alors écrit avec A.Darbel, J-P Rivet, C.Seibel, 1963 « Travail et travailleurs en Algérie »MOUTON & CO, Paris. Ce livre a été une sorte de manifeste pour une nouvelle forme de collaboration entre ces deux professions de statisticien et de sociologue. Ce qui introduira la sociologie quantitative, plus subtile. Ce rapprochement improbable

démarches quantitatives débutent par une phase théorique où le statisticien doit expliquer clairement sa problématique et les notions théoriques que celle-ci nécessite. Ensuite, il traduit ces notions en questions et organise ainsi tout le questionnaire. De plus, le statisticien doit aussi définir l’échantillon de population à interroger, etc. et une fois le sondage réalisé vient l’analyse. Par exemple, imaginons qu’un statisticien réalise une enquête sur une notion comme « l’investissement scolaire

entre les deux plans de sondage. 5. Calculer le coefficient de corrélation intra-grappe. Exercice 5 Influence de la taille et du nombre de grappes échantillonnées (Ardilly P, Tillé Y, 2003, Exercices corrigés de méthodes de sondage, Ellipses) Un statisticien souhaite réaliser une enquête sur la qualité des soins assurés dans les services de cardiologie des hôpitaux. Pour cela, il tire par sondage aléatoire simple 100 hôpitaux parmi les 1 000 hôpitaux répertoriés , puis, dans chacun des hôpitaux tirés

francophone sur les techniques de sondages. La plupart des instituts de statistiques francophones ont participé à cet atelier par l'envoi des cadres statisticiens de haut niveau (issus du Continent Africain, du Continent Asiatique, de l'Amérique latine et des ïles de l'Océan Indien). L'atelier a pour objet non seulement de recycler les statisticiens francophones spécialistes en sondage sur l'évolution de cette discipline statistique mais aussi de les familiariser à son application concrète et pratique

travaille comme conseiller auprès du Département du Trésor des Etats-Unis sur la question des taxes pour financer l’effort de guerre. Il défend alors une politique keynésienne. En 1943, il rejoint l’université Columbia où il travailla comme statisticien et il y rend sa thèse de doctorat en 1945. En 1945, il enseigne une année à l’université du Minnesota. Puis, il accepta un poste de professeur d’économie à l’université de Chicago, où il y resta trente ans. Pendant ce temps, il y développa une

c’est-à-dire le revenu provenant de la production à l’intérieur d’un territoire national pour une année donnée. La variation du PIB est l'indicateur le plus utilisé pour mesurer la croissance économique. Le PIB a été inventé par l’économiste et statisticien américain Simon Kuznets (1901-1985) en 1934. C’est un indicateur très utile, mais qui a ses limites. On lui reproche notamment de ne pas refléter les effets de l’activité économique sur l'environnement et la société. Le PIB est calculé en additionnant

L'échantillonnage permet aux statisticiens de récolter des informations d'une population totale en examinant une partie. Il s'agit donc d'estimer des caractéristiques d'une population en observant directement une partie de l'ensemble de la population. Il faut bien comprendre qu'une grande différence subsiste entre la population observée et la population cible. Le premier signifie la population que nous sommes en capacité d'observer tandis que l'autre signifie la population que nous voulons observer

croissance - comparaisons entre pays Taux de croissance = ((PIB2-PIB1)/PIB1)*100 La différence entre PIB et PNB : le PNB mesure la valeur ajoté créée par les entreprises nationales en quelque endroit qu'elles se trouvent. En règle générale, les statisticiens préfèrent utiliser le PIB car il est plus difficile d'évaluer la valeur des entreprises nationales situées à l'étranger. III/ Les limites du PIB   A) Les limites quantitatives La production est évaluée à 2 niveau : - au niveau du marché = production

croissance - comparaisons entre pays Taux de croissance = ((PIB2-PIB1)/PIB1)*100 La différence entre PIB et PNB : le PNB mesure la valeur ajoté créée par les entreprises nationales en quelque endroit qu'elles se trouvent. En règle générale, les statisticiens préfèrent utiliser le PIB car il est plus difficile d'évaluer la valeur des entreprises nationales situées à l'étranger. III/ Les limites du PIB A) Les limites quantitatives La production est évaluée à 2 niveau : - au niveau du marché