Statue Du Narrateur Point De Vu

Article « Des maux et des mots : Une lecture de La statue de sel d’Albert Memmi » Nadra Lajri Études littéraires, vol. 40, n° 3, 2009, p. 175-193. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/039252ar DOI: 10.7202/039252ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris

qualités sont jugées supérieures, est d’être reconnu ; il implique les notions de diffusion et de regard. Comment alors concevoir un chef-d’œuvre inconnu ? L’adjectif, équivoque, permet au moins quatre interprétations du titre, selon que l’on adopte le point de vue de l’artiste-créateur, des personnages-spectateurs ou du lecteur. 1 Voir G. Genette, Seuils (Le Seuil, 1987) et V. Jouve, La Poétique du roman (Sedes, 1997). 1 – Le chef-d’œuvre reste inconnu car dérobé aux regards par Frenhofer. Il existe

du narrateur qui est transi, incapable de bouger : « Moi, je buvais, crispé comme un extravagant » (v.6) Le narrateur est directement fasciné jusqu’à l’illumination exprimée par « Un éclair » (v.9) aussi lumineux que bref. Puis le poème passe à une seconde partie délimitée clairement par le changement de forme. Effectivement, la deuxième partie est composée de deux tercets ce qui produit un effet de contraste. Cette seconde partie exprime la désolation, la mélancolie qui s’empare du narrateur après

comme un juge, le maître d’hôtel, passant entre les épaules des convives les plats tout 10 découpés, faisait d’un coup de sa cuiller sauter pour vous le morceau qu’on choisissait. Sur le 11 grand poêle de porcelaine à baguette de cuivre, une statue de femme drapée jusqu’au menton 12 regardait immobile la salle pleine de monde. 13 Mme Bovary remarqua que plusieurs dames n’avaient pas mis leurs gants dans leur verre. 14 Cependant, au haut bout de la table, seul parmi toutes ces femmes

soulève la question de la paternité : qui est le vrai père de Bernard ? Le thème de la vérité par opposition au mensonge est introduit à ce niveau, un thème qui va traverser tout le roman. Gide établit alors le premier jalon de son roman. Revenant au point de départ, nous noterons que Bernard semble avoir un plan en tête. Il compte quitter sa famille. D’où son engagement contre l’inauthentique et le faux. II. L’amitié et les caractères Bernard exprime le besoin

qui provoque la mort, la damnation ou la disparition du héros » (R. Caillois, Images, images...). L'écriture « fantastique » met en évidence l'oscillation permanente entre le surnaturel et le réel. L'incertitude est renforcée par la narration : le narrateur, qui parle à la première personne, est la première victime du doute qu'il communique à son lecteur. Les nombreuses figures de style (personnifications, images...) traduisent la superposition des deux univers, le naturel et le surnaturel, et ajoutent

romanesque. L’importance de procurer des indications au lecteur est aussi une exigence qui caractérise le roman naturaliste qui veut que le narrateur s’efface et donne l’impression que les faits sont livrés en toute objectivité. Cette ouverture accorde beaucoup de place à la description : elle marque l’effacement du narrateur pour laisser place à une transmission de point de vue du personnage. I. L’incipit romanesque Le roman commence par "Gervaise" pour attirer l’attention du lecteur sur le personnage

se plie au désir de son père sous la menace d’être envoyée au couvent et ne plus pouvoir voir Fabrice. Elle accepte, et épouse alors le marquis Crescenzi Différences Sanseverina et Clélia ont des points communs, cependant quelques différences les distinguent l'une de l'autre. Le narrateur compare Clélia et la duchesse comme des femmes se battant pour être la première femme dans la vie de Fabrice. Cette compétition est plus forte que l’apparence. Ce n'est pas juste la beauté qui est mise en

pu voir son vissage et c'était tellement ce qu'il voulait qu'il s'est dit que c'étiat arrangé par les dieux. Tombe amoureux d'elle mais en est térrifié. Il a rien dit et n'a pas cherché à donner suite à l'histoire. Personne savait qu'il l'avait vu et quand les gens parlaient d'elle il dissait rien. Sa beauté dévennaint une sorte de mythe. Description du cortège de marriage: plein de cadeaux les plus luxieses venues de partout en orient. On nous décrit aussi Candaule, robuste, large front

centre d’attention, et soutient le message de la chanson. Le thème est développé à travers le point de vue des narrateurs sur le contraste riche/pauvre, qui a lieu à New York. L’auteur veut partager son opinion sur l’Amérique, et sa liberté.(J’avoue que je trouvais cette chanson vaguement embarrassante. Pas parce qu’elle n’était pas réaliste, empathique ou bien intentionnée.