Stéréotype de la blonde

Advertising and image : To what extent do advertisements reinforce female gender stereotypes? 2009/2010 Advertising and image Before any discussion about female gender stereotypes in advertising, it is important to be clear on the difference between sex, gender and sexuality. And it is important to define what a stereotype is. Helen Macdonald (2003) gives good definitions: * “Sex refers to a person’s biological sex : whether they are male or female * Gender refers to the role or

« cheveux blonds » (lignes 258-259) qui sont associés à l’or et au soleil. - Ces dernières lignes utilisent à nouveau des expressions à valeurs superlative : -« la grande beauté » (ligne 254) -« ses cheveux blonds lui donnaient un eclat qu’on avait jamais vu qu’à elle » (ligne 258-259) -«  pleins de grâce et de charmes » (ligne 261) Dans le portrait physique de cet extrait Mademoiselle de Chartres semble être un archétype de la beauté féminine. Cependant ce portrait reste très stéréotype et vague

apportées au genre du film policier et qui lui permettent de se renouveler. I. Une situation conventionnelle : un film de gendarmes et de voleurs A. Le marquage générique : a) La séquence s’ouvre sur un décor appartenant au stéréotype du film policier : le bureau de l’inspecteur général. Ici il est caractérisé par son allure démodée, son style 1900, ses rideaux lourds, de sorte que le personnage de l’Inspecteur lui-même semble surgir du passé : on peut y voir une réminiscence

Une héroïne visible Rotrou reprend la dureté d'antigone mais adouci son langage Anouilh - 1945 Oppose Antigone et Ismene au niveau du plan physique -> Ismene devient l'aînée -> elle est "belle,blonde et heureuse" tendre et protectrice avec Antigone -> Antigone -> petite, maigre et noiraude -> présentée comme nourrissant depuis l'enfance une jalousie déclarée envers sa sœur. Brecht - 1948 Il va tirer Antigone vers la rudesse -> devient virile, se fait insultante envers sa sœur : "je

Auditive Les METAMODELES Généralisation : processus par lequel le sujet tire prétexte d’une expérience personnelle pour déboucher sur une confusion générale qui l’applique à tte les situations similaires. Tte les discriminations, les stéréotypes et les préjugés portent sur la généralisation. Omission : à l’ origine c’est un processus ds lequel ns prêtons une attention sélective à certaines dimensions du vécu à l’exclusion de tte les autres ou de certaines La distorsion : elle permet

décodage des messages Les supports de la communication interculturelle o La langue (le langage parlé) o La gestuelle o La proxémie et le temps (utilisation de l’espace) 3. Les obstacles à la communication interculturelle. Ethnocentrisme Préjugés Stéréotypes Racisme 4. Les atouts de la communication interculturelle • • Acquérir la pratique de la décentralisation Intérioriser le relativisme des cultures Les atouts de la NB : Toutes les notions développées dans le cadre de ce cours renvoient au

femme à travers les Princesses de Walt Disney De l’utopie … [pic] Problématique: En quoi l’image utopiste de la femme « créée » par Disney reflète-t-elle un stéréotype féminin, au service de l’homme, qui se perpétue au fils des siècles? Plan: I. D’Adam et Ève à Aladin et Jasmine: le reflet d’un perpétuel stéréotype féminin. 1. Les qualités de l’archétype féminin. 2. Des vices indispensables. II. Le besoin de personnages masculins. 1. Les fidèles compagnons

répétition x5 effet d'insistance important peu d'élément de description => le lecteur se fait sa propre idée de l'héroïne description physique vague éléments l.25 « blancheur de son teint », « cheveux blonds » éléments stéréotypés description physique vague / idée précise de son âge l.23 « dans sa seizième année » beauté accentuée par la grâce l.27 « son visage et sa personne étaient pleins de grâce » peu d'éléments descriptif

sérieux dans la famille. » (p. 9)1. Elle se caractérise elle-même comme « noire et maigre » (p. 41)1. Sa nourrice lui dit également qu’elle « n’était pas comme les autres » (p. 17)1. En contraste, le Prologue mentionne la sœur d’Antigone comme « la blonde, la belle, l’heureuse Ismène. [...] Son goût de la danse et des jeux, son goût du bonheur et de la réussite, sa sensualité aussi, car Ismène est bien plus belle qu’Antigone. » (p. 10)1. Et pourtant ! C’est cela qui l’a rend si fascinante : sa différence 

récit débouche sur une morale – ici celle représentée par le gros plan sur le produit et l’injonction faite de ne pas l’oublier. La dimension burlesque signalée provient du fait que le script joue sur des clichés et des personnages stéréotypés : le macho dominateur et la blonde écervelée. Le premier est placé à chaque fois dans une posture de domination (assurant la cordée en haut de la montagne et au volant de la voiture décapotable), et la seconde dans une posture de dépendance (à l’autre extrémité