Stéréotype de la blonde

est ainsi tout de suite familiarisé avec son prénom ; c’est elle qui sera l’héroïne. Le narrateur dresse un portrait physique précis de Jeanne. Il la décrit comme une beauté classique, blonde et au teint pâle et la compare à une figure picturale : « Elle semblait un portrait de Véronèse, avec ses cheveux d’un blond luisant qu’on aurait dit avoir déteint sur sa chair. » Comme dans un tableau, le narrateur insiste sur les détails : « une chair d’aristocrate à peine nuancée de rose, ombrée d’un léger

développement de la bourgeoisie et d'un esprit progressivement plus matérialiste. La redécouverte des textes d'Aristote accompagne ce renforcement du rationalisme au détriment d'une part de spiritualité et de merveilleux. Le Roman de la rose et Jehan et Blonde illustrent cette nouvelle orientation du genre. Les auteurs de ces romans choisissent de rester dans les limites du vraisemblable et rejettent le merveilleux arthurien. La géographie des lieux devient de plus en plus familière aux lecteurs, les personnages

est un signe de noblesse et de pureté morale, « traits réguliers » qui traduisent l'harmonie du classique et les « cheveux blonds » qui sont souvent associés à l'or et au soleil. Les dernières lignes utilisent à nouveau des expressions à valeur superlative et hyperbolique, caractéristiques du registre épidictique (relatif à l’éloge)  : « la grande beauté », « ses cheveux blond lui donnaient un éclat qu'on avait jamais vu qu'à elle », « pleins de grâce et de charmes ». Mlle de Chartres semble être

ateignet). Ces assonances contentent le sens musical d’un public qui ne lit pas, mais entend déclamer le récit en même temps qu’elles permettent au conteur de se rappeler le vers suivant. Le courant épique : • • • • • • présente des caractères stéréotypés : monde divisé entre le bien et le mal, qui s’opposent ; évoque des temps où se déploie une énergie conquérante (mais apparaît plusieurs siècles après – jamais contemporain de l’événement) ; se lie à une société féodale ; a un caractère fortement

en autarcie, autour d'un chef, contre un ennemi ressemblant fortement à la caricature du juif, Gargamel. En effet, tout comme le stéréotype, Gargamel est cupide, représentant le capitalisme méprisé par les Schtroumpfs, avec un nez crochu, symbole de dénigrance physique faite par les antisémites. D'après lui, la communauté Schtroumpfs n'est rien d'autre qu'un stéréotype idéologique et utopiste véhiculé par des bandes dessinées. b) Mais comment vivent les Schtroumpfs ? Une utopie dans laquelle

Page 4 Qu’est-ce qu’une discrimination  ? La discrimination et la loi ................................................... Page 5 .............................................................................. Page 7 Discrimination et stéréotypes ................................................................. Page 15 Les différentes fonctions et leur rôle en matière de discrimination ................................................................................................

joie d'être marié à une si jolie et intelligente personne, et à la fin, le desepoir 2 de l'avoir perdu. Ensuite vint les deux amants d'Emma: Julien Dupuis et Rodolphe Boulanger. Le jeune clerc est un beau garçon doté d'une belle chevelure blonde, avec une culture et des sujets de conversation qui attire tout de suite Madame Bovary. Il est cependant timide et pour cela n'osera pas déclaré son amour à la belle bourgeoise. Par contre la seconde fois où ces deux jeunes gens se rencontrent, il

d’impression. Confirmation d’hypothèse. Dissonance cognitive. Attribution causale. Comportements non verbaux et émotionnels. Un des processus les plus importants est la confirmation d’hypothèse. III. CONFIRMATION D’HYPOTHÈSE ET CONFIRMATION DES STÉRÉOTYPES Anecdote : Parmi les « Baruya », une tribu de la Nouvelle-Guinée, il existe certaines différences entre les hommes et les femmes (dominance des hommes dans cette tribu). Un anthropologue écrit alors : « Au cours d’une épreuve « sportive organisée

temps de Rome, l’atellane fait figure d’ébauche de la commedia dell’arte. L’atellane, au milieu du IIème siècle avant J.-C., était une farce burlesque, souvent obscène, jouée à la suite d’une pièce tragique. Elle mettait en scène quatre personnages stéréotypés et masqués : Maccus, le glouton, Bucco, l’imbécile bavard, Pappus, le vieux gâteux et Dossennus, le bossu plein de malice. Le spectacle reposait également sur un canevas, mais laissant toutefois un large champ fertile d’improvisation. Canevas=

est subjective, car chacun adopte un point de vue différant sur la question. Il est en effet difficile de déterminer à partir de quel moment la notion d'argent n'existe plus. 3) Les raisons de cette " classe sociale à part" : Texte a: Le stéréotype d'une classe à part, " La jeunesse dorée". Il fut un temps où la jeunesse dorée symbolisait le préambule à la réussite sociale. Fréquentant les meilleures écoles privées, inscrits en rallyes, les ados friqués se rencontraient en private clubbing