Stoicisme Vigny

Polyptote: Ajoutant régulièrement une once supplémentaire de désespoir dans la soupe d'un désespéré. A l'attention des forces armées, ferventes utilisatrices de bombes, parfois à mauvais escient. Chaque jours , des pertes civiles inhérentes à un conflit armé sont à déplorer. Nés où il ne faut pas, ceux qui le peuvent subsistent la peur au ventre, entre feux croisés et famine associée aux dégâts engendrés. Qu'y a-t'il qui puisse justifier ces pertes ? En 2010, 1325 civils Afghans

Une illusion est une tromperie, une fausse apparence qui se joue de nos sens, qui nous montre les choses autrement qu’elles ne le sont, une chimère, quelque chose d’irréel. Le bonheur, cet état durable de satisfaction d’où toute forme de souffrance ou d’inquiétude est absente, semble quant à lui bien réel. Cependant, il peut parfois avoir l’air fugitif et imaginaire, tant il y a de nombreuses personnes qui ne le connaissent pas, qui sont plutôt en proie à l’ennui et au malheur, et qui ont une conception

Peut-on parlé d’une beauté de la vie ? La beauté par Jean Albert carlotti peintre du Xxéme siécle : « C’est la somme de tous les éléments, s’harmonisant de telle sorte que rien ne devait être ajouter ou enlever ou changer. » Dans l’idée primaire que l’on peut parler de tous et sans retenue , nous pouvons donc parler , donc debattre d’une beauter de la vie, seulement ici nous parlerons plutôt si la vie peut être qualifier d’un adjectif quelquonque, ici la beauter. La beauté est relative à

Dépend il de nous d’être heureux ? Etre heureux peut, d’après l’étymologie se traduire par l’idée de bonheur. L’Homme définit alors ce dernier tel l’assouvissement des besoins, la consécration des désirs, la fin du rêve, d’où les expressions «  Le comble du Bonheur », et Eudémonisme. Pour l’Homme, « être » heureux n’est pas qu’un sentiment, comme la joie, la tristesse ; c’est un état, basé sur la longévité, un bon présage, qui se perpétue au fil du temps. L’Homme part alors, durant sa vie, à

de ses préjugés. Nous pouvons alors nous intéresser à la vision de la liberté d’autres philosophes tels que Descartes ou Spinoza afin d’apporter des réponses supplémentaires à notre réflexion. Les deux visions antiques de la liberté qui sont le stoïcisme et l’épicurisme ne signifie donc pas que l’homme est totalement libre, il n’y a pas alors vraiment de liberté pour l’homme. Avec l’arrivée des religions monothéiste, croyance en un seul Dieu, le terme providence remplace le destin. Car Dieu est censé

Le sujet Le sujet = au sens philosophique, désigne l'être, ce à quoi on rapporte des qualités, des attributs. On attribut au sujet la conscience, le langage, la raison.. Le sujet est l'être conscient, celui qui prend conscience de lui même, qui se reconnait dans ses pensées, dans ses actes. C'est un sujet qui est potentiellement libre. Le "je" est un principe auquel on va rapporter nos états d'âme. Qu'est ce qu'on peut connaitre de soi-même, qu'est ce qu'on peut découvrir sur soi même

18 A. Satisfaire nos désirs : l’hédonisme 18 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 19 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 20 B. Modifier nos désirs : le stoïcisme 20 1. Modifier nos désirs 20 2. Se satisfaire de son action : que notre vertu fasse notre bonheur ! 21 3. Être conscient des maux qui nous guettent 21 C. Supprimer nos désirs : le pessimisme 22 D. Transformer nos désirs :

DOGVILLE Analyse du personnage de Grace : Grace vient bouleverser la routine de Dogville, ce petit village dans lequel la plupart des habitants ont un rôle, un statut social. Les différentes professions et tâches auxquelles s’adonnent les uns et les autres créent des liens entre eux. De plus, le décor dénué de murs et d’objets superficiels nous permet de nous concentrer sur les relations humaines. Au début du film, Grace distingue le bien du mal, elle est persuadée qu’il faut aller dans

diversité de désirs. Le désir n’est autre que la puissance d’exister elle-meme. Pb de cette conception : Grande conséquence sur la morale ! Si l’homme est par essence désir, la morale ne peut pas proposer a l’homme la suppression du désir (stoicisme). De plus, si le désir est source de valeur, il n’est plus question d’imposer aux hommes des modèles et des fins objectifs extérieurs à elle. La seule morale possible est celle qui permettra la meilleure réalisation du désir pour atteindre à la plus

libre. Il cherche donc à accéder naturellement à ce qu’on nomme le libre arbitre, qui désigne la faculté pour un homme, par sa volonté, de se déterminer librement : Il choisit de façon absolue son évolution. Ce qui s’oppose à des théories comme le Stoïcisme, le fatalisme ou encore le déterminisme qui se basent sur une formation de chaque individu de manière passive. Encore une fois le libre arbitre est une notion qui varie en fonction du mode de vie de chaque individu, de ses besoins et désirs. Qui