Stomate

structure La tige a une symétrie axiale . Structure primaire Existe chez toutes les plantes. Sur une coupe transversale , on distingue 3 régions : l’épiderme , l’écorce ,le cylindre central . l’épiderme : une seule assise cellulaire , présence de stomates.  l’écorce : constituée d’un tissu de nutrition ou parenchyme possédant de la chorophylle ( couleur verte des tiges )  , de tissus de soutien ( collenchyme ou sclérenchyme ) , de cellules sécrétrices ( essences , résines …). Le cyclindre central :

arbitraire car les critères utilisés sont les critères morphologiques visibles sur l’adulte les séries de fossiles sont faciles à suivre stomates (quelques exceptions expliquées par des mutations réverses) Bryophytes : pas de racines = mousses mais ils ont des amas de cellules = rhizoïdes appareil végétatif feuillé -muscinées : ex : polytric perte des stomates -les autres : pas d’appareil végétatif dressé ni de feuilles structures de reproduction particulières : capsules = sporange de grande

d’eau, de boue, de sables … thalassomer cyphoscolioméso- bosse tortueux au milieu (mésothérapie) pharyng(o)laryng(o)gastrohépatcholcholecystcolentero- pharynx larynx estomac foie bile vésicule biliaire colon intestin Série 3 : l’appareil digestif stomat(o)-, bucc-, orbouche dent(o)-, odont-, -odontie dent gingivgencive cheil(o)-, lablèvre gloss(o)-, lingu(o)langue gust-, -gueusie goût parotides : glandes salivaires, exocrines parathyroïde : glandes endocrines laparo- ceoliocavité abdominale phago-

Par lyse enzymatique : cutinase Par des stomates Production : - d’enzymes lytiques - de mycotoxines Par pression mécanique : appressorium appressorium Etapes conidie hyphe Cellule végétale Amplification de la maladie Spore asexuée Spore sexuée V.1) Les champignons phytopathogènes Quelques exemples de modes de pénétration  Les pathogènes peuvent utiliser des blessures (vent, pratiques culturales, insectes …) ou des ouvertures naturelles (Stomates, lenticelles …)  Les parties aériennes

plantes sont souvent succulentes : leur tige est épaisse et gorgée d'eau, et les feuilles sont réduites à des épines, ce qui limite la perte d'eau par évaporation(évapo-transpiration) : l'eau s'évapore par des 'ouvertures' en forme de bouche, les stomates qui sont essentiellement disposés des feuilles (dans l'épiderme)).     FIG. 2: Les différentes morphologies de différentes espèces d'épicéas. | 1.3 L'action des facteurs externes1.3.1 La lumièreLa lumière exerce un effet sur les végétaux : une

adaptables • L'organisation fonctionnelle des plantes à fleurs est liée aux exigences de leur mode de vie fixée, à l'interface entre l'air et le sol. La partie aérienne est le siège de la photosynthèse. Elle constitue, grâce aux feuilles et à leurs stomates, une vaste surface d’échange avec l'atmosphère. Elle assure efficacement l’absorption de CO2 et le captage de la lumière indispensable à la photosynthèse. La partie souterraine constitue, grâce aux poils absorbants localisés sur les racines secondaires

de température aussi est défavorable pour les végétaux. 2. La lumière: l’intensité de la lumière a une influence directe sur la vie des végétaux. La lumière est indispensable pour la photosynthèse, la synthèse de la chlorophylle, l’ouverture des stomates, la transpiration. Les rayons du soleil de différentes longueurs d’ondes sont absorbés par les végétaux. 3. L’eau : l’eau et l’humidité sont indispensables pour la croissance et développement normaux des végétaux. L’eau, provoque la pression de turgescence

système d’absorption de la lumière. La face supérieure de la feuille est constituée d’un tissu dense, le parenchyme chlorophyllien et formé de cellules bourrées de chloroplastes. L’épiderme inférieur de la feuille est percé de micro-orifices, les stomates, qui permettent les échanges gazeux. Les nervures de la feuille contiennent les vaisseaux conducteurs de la sève : les vaisseaux xylèmes = eau et sels minéraux et les vaisseaux phloèmes emportent les produits de la photosynthèse.

s’adaptent aux conditions environnementales. On utilise différentes méthodes pour faire ces analyses ; -Systèmes portables de mesure de photosynthèse et de conductance (mesurent la fluorescence de la chlorophylle). -Mesure de la conductance stomatique (stomates : pores de la feuille) par POROMETRIE (vapeur d’eau des feuilles). -Mesure de la transpiration par GRAVIMETRIE (les plantes sont pesées à intervalle régulier, c’est la différence du poids entre deux mesures qui provient de la transpiration de la

rapidement et permettent leur croissance. 3-Comment respire l’arbre ? L’arbre respire par tous ses organes, mais essentiellement par ses feuilles : il absorbe de l’oxygène et rejette du gaz carbonique. Les échanges gazeux se font au niveau des stomates, petits orifices ovales microscopiques capables de s’ouvrir et de se fermer selon les conditions extérieures.
Les racines respirent comme les autres parties de l’arbre. Elles peuvent s’asphyxier si elles sont plongées de façon prolongée dans l’eau