Strabon

La Ciotat-Ceyreste, Hyères), les colonies romaines (Arles, Orange, Valence, Béziers, Fréjus, Narbonne) et les oppida de droits latins, toutes les autres cités, elles ont un statut intermédiaire par le bénéfice du ius Latii. Il a été définit par Strabon pour Nîmes. « Nemausus jouit de ce qu’on appelle le ius Latii, droit qui assure la citoyenneté romaine à qui a revêtu l’édilité ou la questure » ; c'est-à-dire celui qui a été élu à une première magistrature locale, la promotion sociale intervenant

Strabon (en grec ancien Στράϐων / Strábôn, « qui louche », en latin Strabo), né à Amasée dans le Pont (actuelle Amasya en Turquie) vers 58 av. J.-C.HYPERLINK \l "cite_note-0"[1], mort entre 21 et 25 ap. J.-C., est un géographe grec. Peu de choses de sa vie sont connues. Sa famille habitait à Amasée, une ville dans la région du Pont-Euxin. Strabon lui-même dit qu'il a étudié auprès d'Aristodème de Nysa, précepteur des enfants de Pompée, en Carie. Ensuite, il s'installa à Rome et étudia auprès d'un

active et vagabonde, curieux de voir et d'apprendre, sensible aux charmes du passé, sans dédaigner les beautés du présent, il avait reculé à l'idée de se retirer dans un monastère, et, envieux de la gloire de Hannon, de Scyllax, de Pythéas et de Strabon, il avait résolu d'explorer la terre. A vingt ans, il était parti de Byzance, sa patrie, et, durant un demi-siècle, il avait couru le monde, des colonnes d'Hercule aux confins de la Scythie, des îles Cassitéries, où l'on recueille l'étain, jusqu'au

Narcisse (la plus ancienne date du IIIe siècle av. J.-C.) remontant vraisemblablement « à l’âge du bronze finissant ». Il émet l'hypothèse que Narcisse est originaire non de la Béotie mais de la tribu Narkittis[4] dans l'île d'Eubée. Le géographe grec Strabon[5] mentionne dans la région d’Oropos le mnêma, tombeau de Narcisse l'Erétrien, appelé aussi le Silencieux ou le Silenciaire. L'helléniste Denis Knoeplfer date ce tombeau aux alentours de -600, date à laquelle Oropos était une possession d'Erétrie

Tarente à travers les écrits d’Antiochos et Trogue Pompée retranscrits par Justin et Strabon Le corpus présenté dans le folio étudié est composé d’un extrait des Histoires philippiques de Justin,historien romain du IIIème siècle, s’étant inspiré de l’œuvre de Trogue Pompée (Sous Auguste) et du sens de la rhétorique de Tite-Live (selon John Yardley). Le second extrait du corpus provient de Géographie de Strabon, géographe grec du Ier siècle av. JC, ouvrage inspiré quant à lui de celui d’Antiochos

témoignage littéraire de Strabon, qui visita l'Égypte en 25-24 av. J.-C., c'est-à-dire au début du règne d'Auguste, et séjourna au moins deux années dans la ville. L'emplacement choisi de la ville, sur le littoral de la mer Méditerranée et à proximité du lac Maréotis fut stratégique. En effet, la ville avait ainsi une large ouverture sur le monde méditerranéen, et donc sur le commerce dans le monde antique. Surnommée le « comptoir du monde » par  Strabon 1, elle formait

légats-gouverneurs. (Lignes 1 à 2) Ce texte est tiré du livre de Patrick LE ROUX, “L’armée romaine et l’organisation des provinces Ibériques”, historien émérite spécialiste de l’histoire de la Rome antique, le texte n’est pas écrit par lui mais par Strabon, qui est un grand Géographe Grec ( 63 av. J.-C. - 27 ap. J.-C.). La partie que nous avons est tirée du tome III des livres intitulés Géographie, il y a en tout 17 tomes. Le tome III décrit les provinces d’Europe et le paragraphe 20 du chapitre 4,

démocratie AT. Il est alors probable que Platon ne prend pas en compte les particularismes des autres cités et la pensée de ses interlocuteurs, le dialogue étant dirigé à des fins précis. D’autre part nous avons un extrait de l’œuvre Géographie de Strabon. Strabon qui à vécu entre 63 av. J.-C. et 23 ap. J.-C. était un historien et géographe grec ancien originaire d'Amasée en Asie Mineure. On le connait pour son ouvrage encyclopédique la "Géographie", qui est alors une description de l'ensemble du monde

continue à nourrir les auteurs latin consiste sur les éventements du passé, que les grecs sont les seuls qui ont écrit sur ce sujet. C’est un point de vue grec qui continue à nourrir plusieurs auteurs surtout des auteurs romains d’origine grecque : Strabon par exemple lorsqu’il parle de la largeur et la longueur d’Illyrie, il cite Théopompe : Στάδιοι δ' ἀπὸ τῶν Λιβυρνῶν ἐπὶ τὰ Κεραύνια μικρῷ πλείους ἢ δισχίλιοι. Θεόπομπος δὲ τὸν πάντα ἀπὸ τοῦ μυχοῦ πλοῦν ἡμερῶν ἓξ εἴρηκε, πεζῇ δὲ τὸ μῆκος τῆς Ἰλλυρίδος

équestre de province. Son arbre généalogique Strabon Mère Pompée Antistia Emilie Mucia Julia Cornelia Sa vie, son caractère, sa politique Ses débuts Quand Pompée était jeune, il était sous les ordres de son père Strabon. Le jeune homme commence à se faire connaître en empêchant une mutinerie en 87 av J.C. A la mort de son père, il doit se défendre contre des accusations de détournements de fonds portées contre Strabon. Il en sort vainqueur et épouse la fille du préteur