Strabon

controversă ; s-a propus o identificare cu cel mai vechi sanctuar al lui Dionysos la Atena, „Limnaios" (Sanctuar al lui Dionysos „în regiunea de mlaştini") ; se admite în mod mai curent că termenul de Lenaion ar veni de la lenoi, teascuri ; totuşi Strabon socoteşte leneele printre credincioasele lui Dionysos, împreună cu bacantele şi cu tiadele, iar Denis Periegetul vorbeşte despre „corul sacru al leneelor" şi despre „leneele cu scut din piele de ied de ciută (neboide)", de unde reiese că era un alt

qu’ils doivent être moins exigeants que les dieux antiques. – Et comment appelles-tu cette île où tu veux me faire adorer ? – Oh ! sois tranquille, me répondit-il, les hommages des hommes ne t’y fatigueront pas ; car, du temps de Strabon, elle était déjà déserte ; mais tu y entendras, nuit et jour, le murmure de la mer ; tu y seras visité par les alcyons de Délos et de Méconi, et, de temps en temps, quelque pirate qui n’osera pas jeter l’ancre dans le port d’une ville, et dont l’enfant

77. Starodoub (duché de), 220. starosta, fonctionnaire polonais, 203. Staupitz (Jean de), théologien allemand, II, 19, 159. Steyn, couvent en Hollande, 382 ; II, 190. Stirling, ville d’Écosse, 128. Stockholm, 225, 403, 407, 408 ; II, 122. Strabon, 513. Stralsund, ville de Poméranie, 225, 405, 542 ; — (traité de), 227,402. Strasbourg, 386, 388 ; II, 45 ; — vie religieuse, intellectuelle, artistique, 34, 105-106, 272-274, 327, 369, 507 ; II, 158, 192, 224, 247-248. Střibro (ou Mies), ville

exactes avec les spartiates. Déjà les auteurs antiques n’étaient pas d’accord sur leur origine. Pour certains, c’étaient d’anciens citoyens qui auraient été écartés de la cité à la suite de dissensions et qui auraient perdu leurs droits civiques. Pour Strabon et d’autres, ce seraient les premiers habitants, vaincus par les spartiates, donc une population pré dorienne. La première explication transpose un peu trop facilement les luttes entre l’oligarchie et le demos dans le passé spartiate. La seconde explication

filles, est rentree dans son berceau primitif. C'est aujourd'hui tout bonnement une ville d'une demi−lieue de tour, qui compte cent seize mille ames, et qui est entouree de murailles, de bastions et de courtines batis par Charles V. Du temps de Strabon, elle avait cent vingt mille habitants, autant qu'en renferme la ville moderne, et cent quatre−vingts stades de tour. Puis, comme sa population s'augmentait de jour en jour, et que ses murailles et ses cinq villes ne pouvaient plus la contenir,

l’histoire de ces époques. (91)B. Je vous prie de me citer quelques-uns de ces auteurs et de ces lieux. A. D’abord, qu’étaient les druides des anciens temps en Bretagne et en France ? Quelle autorité ils avaient, vous pouvez le voir dans César, Strabon et d’autres, et surtout chez Diodore de Sicile, peut-être le plus grand antiquaire qui ait existé, qui, parlant des druides de France (qu’il appelle Sarovides) dit ceci : « Il y a aussi parmi eux certains philosophes et théologiens qui sont extrêmement

l’évergétisme d’un citoyen qui embellit Lyon. Le document 3 est une mosaïque représentant les jeux du cirque à Lyon. Les élèves y retrouvent un aspect connu de la civilisation romaine : les courses de chars. Le document 4 associe un extrait de Strabon et une pièce de monnaie qui présentent le sanctuaire des Trois Gaules. Réponses aux questions Question 1 : La cité de Lyon (Lugdunum en latin) se trouve en Gaule. Elle est la capitale de la province des Trois Gaules qui regroupe la Gaule Aquitaine

espère » les Goncourt pour sa réception du dimanche. Flaubert prépare sa réponse à l’article de Froehner sur Salammbô : « Je suis maintenant décidé à mener ces messieurs tambour battant ». Il déjeune chez Maxime Du Camp, qui lui a prêté un volume de Strabon dans lequel puiser des arguments en défense de son livre. Flaubert est invité chez la Princesse Mathilde à une réception à laquelle assistent Napoléon III et l’Impératrice, qui lui demande le costume de Salammbô pour un bal. Il passe prendre les Goncourt