Stratification Sociale Et Mobilité Sociale

d’un chantier. Introduction : La réalisation d’un chantier implique l’utilisation de moyens humain, de matériel et de fournitures : il a donc un coût appeler coût de revient. Coûts direct : - Main d’œuvre - Salaire - Charges sociales - Déplacement - Panier - Primes - EPI Coûts indirects : - Frais de secrétariat (comptabilité) - Entrepôt, Hangar, Atelier - Eau, électricité, chauffage - Téléphonie, Internet - Impôts - Assurances - Communication/Publicité

Dynamique de la stratification sociale [pic] Le thème de la stratification sociale décliné en trois cours et formant la deuxième partie du programme de terminale fait référence à des notions déjà vues en première. Nous savons d'ores et déjà que toute société peut être découpées en différents groupes sociaux plus ou moins homogènes, lesquels entretiennent des rapports les uns avec les autres souvent sur une base hiérarchique. Dans certaines sociétés ces rapports peuvent se figer sous forme de castes

un même logement. Mobilité/immobilité : la mobilité sociale est le fait, pour un individu, de changer de position sociale, l'immobilité signifiant alors le maintien dans la même position sociale. Mobilité structurelle/nette : la mobilité structurelle est la mobilité sociale imposée par les évolutions de la structure socioprofessionnelle. La mobilité nette (ou résiduelle) est la mobilité qui n'est pas imposée par l'évolution de la structure sociale. La fluidité sociale est le degré d'indépendance

ratifié par tous les pays. b- parce qu’elle s’adresse à tous les Hommes. c- parce qu’elle défend tous les droits. 5- En France, comment cherche t-on à obtenir l’égalité des situations ? a- par la Sécurité Sociale b- par l’impôt progressif c- par l’impôt proportionnel 6- Quels sont les effets pervers de la passion pour l’égalité selon A. de Tocqueville ? a- la réduction de la liberté b- la tyrannie

Chapitre 4 : Comment analyser la structure sociale. Thème 3 : Classes, stratification et mobilité sociale. I) La multiplicité des inégalités. Les inégalités sont des différences qui conduisent une hérarchie entres les individus c’est-à-dire à des avantages ou des désavantages à l’accès aux ressources rares (exemple : l’emploi). Une discrimination est une différence de traitement basé sur des critères non légitimes. Toutes les inégalités ne sont pas des discriminations (exemples : différences

nous avec la crise et les conséquences sociales qui en découlent au retour d’une société de classe ? INTRODUCTION : En 2007,les 10 % des Français les plus riches avaient un niveau de vie, en moyenne, 6,6 fois plus élevé que les 10 % les plus pauvres. Le ralentissement de la croissance depuis les années 70, la montée du chômage, le maintien voir le creusement des inégalités économiques et sociales sont autant de facteurs qui replace le terme de classe sociale au cœur de l’actualité ( qui avait

importance au sein des transformations sociales. Néanmoins, nous pouvons nous interroger sur l’avenir de cette classe à travers le questionnement récurrent de la moyennisation : tenderait-on vers une société sans classes ? En poussant la réflexion plus loin, pouvons-nous seulement encore utiliser la notion de classe sociale telle que nous la connaissons pour comprendre la stratification sociale ? I- Bref rappel des théories sur les classes sociales, et tentative de définition de “classe moyenne”

divergences de chances de réussite face à l’Ecole souvent liées à l’origine sociale des individus. Pour certains auteurs, cette inégalité est perçue comme illégitime. Même si la France est régit selon le principe de méritocratie où les plus méritants sont récompensés, on peut contester ce système qui profite le plus souvent aux individus issus des milieux favorisés. Bibliographie : R. BOUDON, L’inégalité des chances. La mobilité sociale dans les sociétés industrielles. Paris, A. Collin, 1973. A. GIRARD

préliminaires 17 Analyse 24 Autres écrits 29 Conclusion 31 Bibliographie 32 Le rêve américain existe-t-il encore? « The American Dream », a toujours été le rêve de gravir l’échelle sociale en étant financièrement prospère et libre. À l’origine, il était possible d’accéder à ce rêve dans l’aide de la classe sociales et des circonstances de naissance. Il s’agissait seulement de travailler ardument et d’être très persévérant. Cependant, avec l’avènement de la société de consommation durant le 20e siècle

normes et valeurs de son groupe d'appartenance et construit son identité sociale, mécanismes tels que l’inculcation ou l’imprégnation. D’autre part, la reproduction sociale est la tendance d’un système social à se perpétuer dans le temps, c'est-à-dire une conservation de la structure sociale. Un laboureur, qui est à la fois fils d’un agriculteur et petit-fils d’un paysan, est un exemple commun de reproduction sociale dans la société françaises lors de l’Ancien Régime, période où plus de 95