Strophe 6 à 9 Métaphore

cycle est associé à une femme aimée par Baudelaire. Les 2 poèmes que nous étudierons font partie de ses cycles. On peut également assimilée les 2 poèmes à l’expression “Je t’aime, moi non plus” qui symbolise l'attirance mais aussi le repoussement de 2 amants qui n’arrivent pas à se comprendre ce qui

L'albatros.docxBAC première STMG: Modèle de fiche de révision pour le textes à l’oral sur L’albatros. OBJET D’ETUDE / GENRE LA POÉSIE DU XIX° AU XXI° SIÈCLE PARCOURS L’OR ET LA BOUE : L’ALCHIMIE POÉTIQUE AUTEUR Charles Baudelaire TITRE DE L’OEUVRE Les Fleurs du Mal Titre du texte « L’albatros » ANNÉE / SIÈCLE 1857 (19e siècle) Eléments d’introduction : -Époque: romantisme, parnasse, symbolisme. (exaltation des sentiments ) -Projet d’écriture : Baudelaire semble être quelqu’un de renfermé, de torturé

Le poème L'Albatros est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant  donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois  premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé  tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une  comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de  géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparaît donc comme une 

        Le poème s'intitule "Aube". Il décrit le point du jour, c'est à dire le moment du basculement entre la nuit et le jour. D'où la présence de champs lexicaux en opposition de l'ombre et de la lumière, de la mort et de la vie, de l'immobilité et du mouvement.  • Ombre et lumière : dans la deuxième strophe, la nuit encore maîtresse du lieu est évoquée par la métaphore militaire des "camps d'ombre" occupant la route du bois. Ligne 6, de "frais et blêmes éclats" de lumière apparaissent timidement

comment apollinaire reprend il les registres lyriques et élégiaques du temps qui passe et des amours mortes pour les renouveler ?Strophe 1 : · Vers 1 : Mai étant le titre du poème, puis dans le 1er vers, l’auteur donne un marqueur de temps, cependant pas de date précise. Personnification de « mai » en « barque sur le Rhin » = temps semble en mouvement.· Vers 2 : « regardaient » à l’imparfait donc souvenir ? · Vers 3 : « mais » placé après la césure, cela rompt l’illusion joyeuse. « la barque s’éloigne »

horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. II me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. Pour qui? - C'était hier l'été; voici l'automne ! Ce bruit mystérieux sonne comme

râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? - Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Analyse des thèmes[modifier | modifier le code] Paul Henderickx a tenté dans son article

symbole est une représentation figurée de la réalité (mot ou expression renvoyant à autre chose). Par exemple la Colombe qui symbolise la paix ou alors la faux et le squelette qui symbolisent la mort. POur Baudelaire le poète doit déchiffrer le monde, le réel et le retranscrire aux hommes: "Qu'est-ce qu'un poète si ce n'est un traducteur, un déchiffreur?" donc pour lui la poésie sert à retranscrire le réel, à montrer sous un jour nouveau les choses qui nous environnent. Il faut bien sur

"Spleen et idéal", la deuxième partie du recueil Les Fleurs du mal. Cette partie évoque l'homme déchiré entre l'aspiration à l'élévation et l'attirance pour la chute, déchirement à l'origine de l'envie nommé spleen, indissociable de la condition humaine et qui finit par triompher. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros

poésie mondiale, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Par son recueil Les Fleurs du mal, publié le 23 juin 187, il a renouvelé en profondeur les motifs poétiques et dans ses poèmes il a tente de tisser et de démontrer les liens entre le mal, la beauté, le bonheur, l'idéal inaccessible, la violence et, la mélancolie, l'envie d'ailleurs et l'horreur. Le Poème « Spleen » (LXII) que nous allons étudier se situe entre un état exalté où il rend hommage à l’idéal et à la beauté et un