Strophe 6 à 9 Métaphore

I. Analyse de l'énonciation Strophe 1 à 5 : L'énonciateur est le poète / Le destinataire est le lac ( cf. apostrophes : o lac ! ) Strophe 6 à 9 : L'énonciateur est la femme aimée disparu / Le destinataire est le temps ( cf. apostrophe : o temps -> tu - cf apostrophe : et vous heures...) Strophe 10 à 12 : L'énonciateur est le poète / Le destinataire est le temps ( cf. apostrophe : Temps jaloux ) Strophe 13 à 16 : L'énonciateur est le poète / Le destinataire est le lac ( cf. o lac ) La nature

la femme est présent durant tout le recueil des Fleurs du Mal, elle s'y fait tour à tour être sensuelle et envoûtante, figure maternelle et aimante, mais aussi beauté inaccessible, allégorie de l'absolu. Ce poème le Serpent qui danse est dédié à Jeanne Duval, une des maîtresses et principales muses de l’auteur, une jeune métisse surnommée la Vénus noire, rencontrée à Paris en 1842. A travers l’animalisation (métaphore animale) du serpent qui danse, Baudelaire sublime Jeanne. Nous verrons dans un premier

désespoir. Le vers 9, « Moi, mon âme est fêlée », est une analogie entre la cloche et l’âme du poète. I – Le système des analogies opposées (le poète et la cloche sont fêlés) Il y a donc des correspondances entre sensations physiques et la physiologie (Ce qui est du corps et de la psychologie). Ces correspondances permettent de comprendre l’intérieur du poète. Dans ce poème, on va aller de l’extérieur à l’intérieur du poète (son âme). Le poème est structuré en 4 strophes, les deux premières révèlent

En latin, en effet, « char­mes » (carmina) signifie à la fois « poèmes » et « chants magiques » (la magie étant censée percer les secrets de la Nature). Cette ambivalence du titre a souvent incité à rechercher, au-delà des apparences, un sens caché aux vingt et un poèmes qui composent le volume. Le poème comprend quatre quatrains (strophes de qua­tre vers)octosyllabiques (vers de huit pieds). Les rimes se combinent selon un ordre régulier, tour à tour féminines et masculines. Elles sontféminines (s’achevant

En latin, en effet, « charmes » (carmina) signifie à la fois « poèmes » et « chants magiques » (la magie étant censée percer les secrets de la Nature). Cette ambivalence du titre a souvent incité à rechercher, au-delà des apparences, un sens caché aux vingt et un poèmes qui composent le volume. Le poème comprend quatre quatrains (strophes de quatre vers) octosyllabiques (vers de huit pieds). Les rimes se combinent selon un ordre régulier, tour à tour féminines et masculines. Elles sont féminines

"Spleen et idéal", la deuxième partie du recueil Les Fleurs du mal. Cette partie évoque l'homme déchiré entre l'aspiration à l'élévation et l'attirance pour la chute, déchirement à l'origine de l'envie nommé spleen, indissociable de la condition humaine et qui finit par triompher. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros

En latin, en effet, « char­mes » (carmina) signifie à la fois « poèmes » et « chants magiques » (la magie étant censée percer les secrets de la Nature). Cette ambivalence du titre a souvent incité à rechercher, au-delà des apparences, un sens caché aux vingt et un poèmes qui composent le volume. Le poème comprend quatre quatrains (strophes de qua­tre vers) octosyllabiques (vers de huit pieds). Les rimes se combinent selon un ordre régulier, tour à tour féminines et masculines. Elles sont féminines

ROUSTAIN TOM 1ère L Charles BAUDELAIRE Né en 1821 à Paris Mort en 1867 à Paris (46 ans) -1827 : Mort de son père -1828 : Sa mère se remarie avec le comandant Aupick (Baudelaire le haïe tout de suite) -Il étudiera à : -Lycée Lousi-Le-Grand - 1841 : découverte de l’exotisme et sensualité - 1842 : (21 ans) Dilapide son héritage ( Sa famille : Conseil judiciaire A 24 ans ( Publication d’œuvres critique d’art Le Salon 45 / Le Salon 46

Problématique : Comment Baudelaire évoque-t-il sa condition de poète à travers la métaphore ou la comparaison de l'albatros ? I. (Quoi ?) Bonheur et malheur d'un albatros : un point de départ narratif a) Le contraste entre les airs et la terre Contraste de sens entre les adjectifs : « vastes » (v. 2), « indolents » (v. 3), adjectifs à connotation positive pour qualifier les albatros dans les airs / « maladroits et honteux » (v. 6), adjectifs à connotation négative pour qualifier les albatros sur le pont

la « poésie pure ». Il est né à Sète en 1871. Il a fait des études de droit mais s'est très vite intéressé au symbolisme (Admiration pour Mallarmé). Sa vie comme son œuvre, sont dominés par une exigence de rigueur et de clarté. o De 1892 à 1917, une crise psychologique l'amène à considérer l’imaginaire et les sentiments comme des pièges pour l’activité intellectuelle et à renoncer à la littérature pour se consacrer aux mathématiques. o Il se remet à écrire grâce à l’insistance de Gide et publie