Strophe

*Louis Argon Le premier Poète étudié dans cette anthologie sera Louis Aragon. Nous étudirons son œuvre « Strophes pour se souvenir ». Louis Aragon, née le 3 octobre 1897 a Neuilly-sur-Seine et mort le 24 décembre 1982 à Paris, est un poète, romancier et journaliste célèbre du XXème siècle. Il dut l'un des animateurs du surréalisme. À partir de la fin des années 1950, beaucoup de ces poèmes ont été mis en musique et chantés ( Jean Ferrat, Léo Ferré, etc... ). Il est également connu pour

séjour qu’ont bâti mes aïeux => synérèse : 1 syllabe Que des palais romains le front audacieux. » => diérèse : 2 syllabes 2°) Le vers libre Privilégie la recherche du rythme. Chez La Fontaine, par exemple et dans la poésie moderne. Les strophes : groupes de vers Un seul vers : monostiche Deux vers : distique Trois vers : tercet Quatre vers : quatrain Cinq vers : quintil Six vers : sizain Les rimes C’est la répartition de sons identiques à la fin de deux ou plusieurs

fantaisie des polices de caractères utilisées (italiques, caractères gras), mots écrits à l'envers, et accolades qui donnent au lecteur le choix entre deux options. Le thème est loin d’être lyrique, les vers sont irréguliers dénués de rimes et les strophes sont cassées. Blaise Cendrars se moque des genres littéraires les comparant à un cirque, et ignorant délibérément les règles d’usage : il compare le sonnet à un "saut périlleux". Au fil des époques, on notera que les auteurs s’affranchissent des

Introduction Dans Les Contemplations, la mort de Léopoldine inspire à Hugo tantôt des réminiscences heureuses, tantôt de douloureux cris de désespoir. À la veille du quatrième anniversaire de l'accident, Hugo compose ces trois strophes d'une simplicité harmonieuse et d'un lyrisme touchant. Avec une détermination qui n'exclut ni l'émotion ni l'imagination, il décrit par avance le cheminement qui le conduira auprès de son enfant bien-aimé. Mais par la magie des images, des rythmes et par le charme

sur la forme du poème. Une forme fixe est employée : une ballade. C'est une forme médiévale. Il y a trois strophes dans lesquelles le nombre de vers correspond à la longueur du mètre : Le mètre est l'octosyllabe, les strophes sont des huitains puis une quatrième strophe qui est un quatrain et qui constitue l'envoi. Il ya un refrain «  Mais ou sont les neiges d'antan ?» à chaque fin de strophes. Outre le fait que le poème est une forme fixe, on remarque que le poème est une question, il va se développer

d'octosyllabes (dans chaque sizain, 4 rimes embrassées suivent 2 rimes plates), l'évolution des idées suit le découpage formel3 mouvements. 1 strophe: l'invitation d'un érotisme léger et symboliquement suggéré à la jeune fille "allons voir si la rose..." + éloge comparatif 2 strophe : Lamentations du poète devant la mort de la mort de cette rose aussi fragile que belle. 3 strophe : la conclusion de 1'épisode l'élucidation du symbole et le conseil hédoniste. (L'hédonisme, à ne pas confondre avec l'épicurisme

par un poème d’auteur inconnu. 1) Attente J’ai retenu ce poème car il met en évidence les doutes humains. On ne sait pas de quoi sera fait demain, ce poème le relate parfaitement. Les quatre premiers vers des deux premières des deux premières strophes m’ont particulièrement plu car ils marquent une anaphore, reprenant des mots dans des constructions semblables pour marquer un rythme sensible : Cette graine que je tiens dans le creux de ma main

première et deuxième strophe, mais aussi à la fin de chacune de ces strophes. Cela crée une monotonie, accentuée par le rythme binaire. La première strophe est consacrée à décrire la scène. Les verbes associés à Yolande : « déplie » v.2, « coud » v.3, ainsi que les groupes nominaux : « étoffes » v.2, « fil d’or » v.3 et « de soie » v.3, relèvent tous du registre de la couture, de la broderie. Cela ajoute au sentiment de monotonie qui se dégage de cette chanson. A la strophe 3, Yolande émet des hypothèses

en 2 tercets avec rimes embrassées. Le poème est construit en 4 strophes (14 vers). Ce présente, dans un cadre intime et chaleureux, une rêverie exotique inspirée par le parfum de la femme aimée. L’idée est dans le titre, le parfum de la peau de la femme, sa image disparaissant au profit de son seul parfum, devient le prétexte à une rêverie sensuelle accomplie dans la poésie. D’abord, la structure syntaxique de la première strophe met en avant l’importance accordée au cadre de la rêverie, par example

comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne Commentaire Ce poème aligne trois strophes irrégulières formées successivement de sept vers, de cinq vers, de trois vers, des vers aux rimes suivies qui sont pour la plupart des alexandrins, certains étant cependant formés de deux hémistiches (vers 2 et 3), d’autres, légèrement plus longs