Strophes pour se souvenir

de musique (la lyre), propre à exprimer des sentiments, notamment l’amour. La versification est l'ensemble des techniques employées dans l'écriture poétique traditionnelle, qui obéissent à des usages: l’utilisation du vers, le regroupement en strophes, le jeu des rythmes et des sonorités… 1) Le découpage syllabique Lorsque l’on compte les syllabes, il faut faire attention à deux cas particuliers : - le « e »muet : en fin de mot, il ne se prononce pas si le mot suivant commence par une voyelle

composé de 7 strophes - Comme un poème en prose il n'y a pas de vers ni de rimes - On a un effet de bouclage caractéristique du poème en prose : "Laisse-moi + vb inf + longtemps" + "souvenirs" à la fin de ces 2 strophes on voit que le plaisirs est recherché fait du premier et du dernier § - On a une anaphore de "dans" dans la 3ème, 4ème et 5ème strophe - Mais cette effet de bouclage est également construit sur des oppositions : des verbes : "respirer" / "mordre" et les souvenirs : "secouer" /

les vers qui encadrent les quatrains où il s’agit de rimes masculines (ant/ent). Les pauses et les césures sont placées au milieu (ici à l’hémistiche) des vers qui se suivent dans toutes les strophes. On peut voir plusieurs enjambements, au début des 1ère et 2ème strophes ou à la fin de la dernière strophe ainsi qu’un contre-enjambement au vers 10. On trouve aussi plusieurs figures de styles : un chiasme au vers 2 et des parallélismes dans les vers suivants de ce quatrain. On relève, dans les tercets

des attributs meuble «sculpté», «le chêne sombre» Mais le poète lui donne dès le vers 2 des attributs humains grâce la comparaison avec des personnes âgées «a pris cet air si bon des vieilles gens».Le meuble prend alors un visage. Dans la dernière strophe, le buffet apparaît comme une grand-mère qui à beaucoup d'histoire à transmettre «tu sais bien des histoire, et tu voudrais conter tes contes» De plus le buffet possède une volonté «tu voudrais v,13». On passe progressivement du verbe d'état qui sert

Laurencin sur le poéme. Une fois la rupture consommée entre le polte et la jeune peintre, Apollinaire assume ce fait comme une trahison qui met en cause sa propre vie, faite de souvenirs déchirants, d'amours fugitifs, d'infidélités et de ruptures qui ont le go ^ t de la mort. Mais le poéte est celui que écrit pour sauver les souvenirs mourants, pour sa racheter lui-mème de la mort. , C'est pourquoi, malgré l'abandon et la détresse éprouvés, se sachant porteur du feu et de la flamme, le polte est un alchimiste

illustre l'ambivalence de Baudelaire à l'égard de la femme, objet d'adoration autant que de détestation. Ainsi, les quatre premières strophes célèbrent la beauté rayonnante d'une femme « trop gaie », associée à la beauté de la nature. Les cinq dernières strophes esquissent l'autoportrait du poète, diamétralement opposé au portrait de la femme, à travers l'expression d'un souvenir (st. 5-6), puis d'un fantasme d'agression (st. 7-9). C'est le vers 16 — « Je te hais autant que je t'aime » — qui fait figure

Analyse formelle 1│Nombre de strophes Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Nombre de strophes : 4 2│Nom de la strophe Une strophe est dite carrée lorsque le nombre de syllabes de chaque vers est égal au nombre de vers dans chaque strophe. On appelle une strophe de : 2 vers, distique 3 vers, tercet 4 vers, quatrain 5 vers, quintil 6 vers, sizain

Victor Hugo. Le poème est composé de cinq quatrains d’alexandrins à rimes croisées. En quoi ce poème fait-il parti du mouvement romantique ? Nous étudierons d’abords les sentiments du poète. Nous analyserons ensuite la fatalité liée au temps, le souvenir et la force que possède le poète. Tout d’abord, nous allons étudier un important thème lyrique présent dans ce poème, celui des sentiments et de l’amour. On retrouve dans ce poème, la présence de la première

Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe

Exemple : Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne                 Faisait voler la grive à travers l'air atone ». Paul Verlaine 5- La strophe : La strophe est une structure complète. Syntaxiquement, chacune des strophes doit être indépendante et doit se terminer par un point. Elle comporte un ensemble de vers régulier. On distingue :l - le distique : strophe de deux vers : - le tercet : strophe de trois vers : - le quatrain : strophe de quatre vers : - le quintil : strophe de cinq